Espérance et Foi d’un Franc-Maçon

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

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vendredi 23 juillet 2010
  • 4
    Hayt
    23 juillet 2010 à 12h39 / Répondre

    Cher Corto,

    C’était bien mon intention!

    Ceci dit, vous conviendrez que des phrases chocs de ce type exposent à ce genre de remarques :-).

  • 3
    CORTO
    23 juillet 2010 à 11h59 / Répondre

    Chers amis,
    De grâce, avant tout, il faut lire ce livre.
    Jacques Rolland est un auteur de talent et formidable orateur que j’ ai rencontré plusieurs fois à Nancy. Il a écrit beaucoup d’ ouvrages, en particulier sur les Templiers, sur la Genèse de l’ Univers, etc ….
    Jacques Rolland aime provoquer les réactions, animer les débats, l’ homme est ainsi.
    Acceptons-le tel qu’il est et lisons ce nouveau livre qui ne manquera certainement pas de provoquer des questionnements en nous.
    (…)

  • 2
    Hayt
    23 juillet 2010 à 10h22 / Répondre

    Il me faudra le lire pour me faire une idée…

    Mais, en lisant le résumé, je me suis posé la question. Si le « rejet de l’autre » marque l’échec des trois « grands » monothéismes, en quoi désigner celles-ci comme du « coca-cola métaphysique » marquerait-il un effort d’inclusion de cet « autre »-là?

    Sur un autre point, je ne suis pas certain que, par exemple, l’économie de marché soit une spiritualité, ni même un succédané de spiritualité. Les adversaires de ce mode de production le désigne comme une « foi » ou une « religion » afin de le discréditer, de laisser penser que tout cela ne repose sur rien d’autre qu’une révélation qu’aurait eue quelques traders illuminés. En sens inverse, les tenants de l’économie de marché considèreront le marxisme comme une « fable » et Marx comme un « prophète ». Cela me semble plutôt ressortir du débat de mauvaise foi que d’une volonté réelle de les définir en tant que spiritualités (même si les deux ont leurs zélotes).

    Ce que je veux dire par ce détour, c’est que j’espère que l’auteur prend le temps de définir les concepts qu’il emploie, qu’il n’est pas dupe de l’usage orienté, et superficiel, que notre monde moderne peut faire de concepts tels que « religion », « spirituel », ou « Dieu ». Après tout, Ronaldo est un Dieu du foot, les stades sont des « temples » et la coupe du monde une « grand Messe »… De là à mettre la Charte de la FIFA sur le même plan que la Torah…

  • 1
    xul
    23 juillet 2010 à 8h16 / Répondre

    Le mot «Dieu», servant à désigner tout et n’importe quoi, ne peut que susciter le dégout des personnes qui préfèrent une pensée claire.

    Reste l’énigme : pourquoi M. Jacques Rolland, ne classe-t-il pas la franc-maçonnerie actuelle parmi «… les divers temples solaires .. le coca-cola métaphysique des peuples» ? Sa liste semble oublier «l’alcool des peuples» dont l’arrosage spirituel collectif et copieux fait partie importante des activités de beaucoup de loges franc-maçonniques.

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