Nancy fin de vie 060524

Fin de vie : pour une ultime liberté !

Publié par Géplu
Dans Divers

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dimanche 5 mai 2024
  • 5
    Brumaire
    6 mai 2024 à 9h28 / Répondre

    4-Henri, avant chaque anesthésie générale, on te demande tes directives anticipées. Mais tu peux toujours dire où écrire ce que tu veux! Lorsque l’échéance fatale approche, le malade n’a pas toujours la même assurance, et tout moment de vie, si difficile qu’elle soit devenue, est à respecter.
    Tu as raison, la fin de vie peut être accompagnée convenablement en dehors d’une loi! C’est quoi la valeur morale d’une loi face à quelques moments de vie?

  • 4
    Henri CAICEDO
    5 mai 2024 à 20h54 / Répondre

    A Brumaire
    Une chose à faire c’est écrire ses directives anticipées ( ce que je souhaite au cas où j’ai une maladie grave, un traitement lourd, un accident grave, un séjour en réanimation) et dire ce que j’accepte ou n’accepte pas que les médecins fassent pour moi. Il faut donner une copie à ses proches, à son médecin traitant et à faire connaitre en cas de passage aux urgences ou hospitalisation (si événement grave)
    En général on vous demande de désigner une personne de confiance qui sera chargée d’être votre porte-parole si vous n’êtes pas en mesure de vous exprimer
    Les médecins hospitaliers, en gériatrie et dans les maisons de retraite et EHPAD, ils demandent souvent si tel ou tel proche âgé ou malade a rédigé ses directives anticipées et comme cela ils ont un support pour ne pas aller au-delà du raisonnable
    La fin de vie peut être contrôlée et gérée convenablement en dehors d’une loi qui autoriserait une aide à mourir: il faut pouvoir compter sur des professionnels expérimentés et en nombre et c’est cela qui fait défaut
    Les Obédiences voudraient demander des choses qu’on connait et qu’on demande depuis des années alors leurs positionnements sont redondants et dans leurs augmentations, il y a des imprécisions

  • 3
    Brumaire
    5 mai 2024 à 11h49 / Répondre

    Le « droit à une fin libre et choisie », ça, c’est quand on peut encore choisir tout seul!
    J’ai accompagné deux proches en soins palliatifs, qui, lorsque la santé était encore là, ne voulaient pas d’une fin de vie « légume ». L’échéance fatale se rapprochant, il n’était plus question pour eux d’aide à mourir, surtout bien shootés, mais conscients .
    Qui a le droit de décider de la fin malgré les écrits, les paroles antérieurs?

  • 2
    Remi
    5 mai 2024 à 11h47 / Répondre

    En effet, très souvent je me pose la question, : est-ce que les maçons savent de quoi ils parlent ?

  • 1
    Henri CAICEDO
    5 mai 2024 à 8h20 / Répondre

    Un nouveau colloque sur la fin de vie.
    Les intervenants ou représentants des Obédiences qui agissent es qualités mais on peut se demander si quelqu’un parmi eux, a déjà accompagné une personne en soins palliatifs, un mourant ou une personne qui vous demande expressément de faire le nécessaire pour la faire partir !?
    Pour se faire entendre il faut déjà savoir de quoi on parle ou si on maitrise un sujet

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