La franc-maçonnerie américaine selon Netflix…

Publié par Géplu
Dans Divers

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dimanche 22 décembre 2019
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    Stella Matutina
    22 décembre 2019 à 11h41 / Répondre

    360 degrés ? Oui sans difficulté ! Aux USA il y a bien évidemment le REAA au travers de 2 juridictions (Nord et Sud) qui conservent et transmettent, différemment d’ailleurs, 30 degrés (4e au 33e). Il faut ajouter l’échelle du Rite York avec 10 degrés post-maitrise pour « la colonne vertébrale » (souvent les FF sont au REAA et au York en même temps…), sur laquelle se souche par voie d’accès les « Allied Masonic degrees », comprenant les Nautoniers notamment ainsi que de très nombreux autres degrés salomoniens. Leur origine est principalement anglaise et l’Angleterre revendique presque 180 degrés maçonniques « alliés » bien qu’ils n’en pratiquent qu’un petit nombre et qu’il leur arrive d’en réveiller un de temps en temps dans le cadre d’une cérémonie particulière et sur invitation. Il faut y ajouter la présence des « Masonic bodies » sur « invitation » comme le Royal Ordet of Scotland (2 degrés), La Croix Rouge de Constantin (3 degrés), les Knights Templar Priest (33 degrés résumés en 1 puis redécomposés après réception) et le Rite de Memphis (95 degrés) qui est toujours présent de façon « régulière » au sein de l’un des plus anciens souverains sanctuaires qui est particulièrement élitiste. Il faut ajouter le Rite Écossais Rectifié (MX, EN, CBCS…) « au moins » 3 grades, mais aussi la SRICF (SRIA américaine) en 9 grades… et j’en oublie encore beaucoup (Ordre of Eri, St Thomas of Acon, Athelstan…) ! Je pense que tout réuni on atteint sans difficulté les
    360 degrés… voir plus !

  • 1
    yonnel ghernaouti, YG
    22 décembre 2019 à 6h15 / Répondre

    C’est pourquoi le livre reste encore (et toujours) une valeur sûre…
    Je ne citerai, sur ce sujet, que l’ouvrage de Lauric Guillaud, essayiste et universitaire français, spécialiste des littératures de l’imaginaire et du roman d’aventure (Prix IMF au SML Paris 2019 catégorie Essais pour « Le sacre du noir : Imaginaire Gothique, Imaginaire Maçonnique »), « Histoire secrète de l’Amérique » (Ed. du Félin, Coll. Philippe Lebaud, 1997).
    Il y traite notamment du millénium rosicrucien de Johannes Kelpius (c. 1667-1708), théologien piétiste allemand, de la fondation maçonnique des États-Unis, ou encore de « l’explosion » sectaire du XIXe siècle.

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