Square Langevin 1

La photo maçonnique du dimanche 9 novembre 2025

Publié par Géplu
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dimanche 9 novembre 2025
  • 10
    Jean-Michel Mathonière
    13 novembre 2025 à 15h43 / Répondre

    Quand je me réincarnerai, je pense qu’avec tout ce que j’ai réussi à ramasser de droite et de gauche sur la franc-maçonnerie et le zozotérisme, avec ce gloubi-boulga chatoyant je serai fondateur d’un nouveau Rite Opératif des Signes et d’une nouvelle obédience promise à beaucoup d’avenir. Je l’appellerai le GOGODF — acronyme de « Gogos de Filousophie (mystique) »… Parce que vu la manière où une majorité de Maçons préfèrent prendre des vessies pour des lanternes, pourquoi se priver de les encourager dans leurs croyances ? Pourquoi se fatiguer à propager les lumières de la raison alors qu’en fait, chacun a bien le droit de se faire du bien à réécrire l’histoire telle qu’il a envie de la croire ? C’est décidé : dans ma prochaine réincarnation, je serai éditeur de zozotérisme !

  • 9
    Henri CAICEDO
    11 novembre 2025 à 20h07 / Répondre

    Les éléments à caractère maçonnique de ces céramiques n’ont pas forcément un lien direct avec le parcours maçonnique de P. Langevin. Comme c’est mentionné dans la présentation, ces céramiques sont des vestiges des ornements du palais des Beaux Arts de l’exposition universelle de 1889. Ces ornements ont été conçus et fabriqués pour le palais des Beaux Arts (1889) et P. Langevin est né en 1872.
    Quand on lit sa biographie et sa riche carrière, autant que ses apports dans différents domaines, on comprend que le Président Auriol ait décidé du transfert de ses cendres au Panthéon en 1948.
    Le square qui porte son nom est à deux pas du Panthéon, du Collège de France (où il a enseigné) et de l’École supérieure de chimie et physique industrielles de la Ville de Paris (où il s’est formé)
    On peut dire qu’entre les représentations maçonniques de ces céramiques et le parcours de vie de P. Langevin, il existe une heureuse coïncidence, continuité, reconnaissance

  • 8
    Hélène PERI
    11 novembre 2025 à 12h23 / Répondre

    « Paul Langevin, professeur au Collège de France, successeur de Pierre Curie, membre du GODF » dixit le guide du Paris maçonnique by Dervy.
    Et sans doute a-t-il été Vénérable, ce que laisse à penser la position de l’Equerre, dont les branches dans un rapport de 3 à 4 sont ici comme l’Equerre en sautoir portée le VM, branche la plus longue du côté droit, marquant ainsi la prépondérance de l’actif (côté droit) sur le passif (côté gauche) in J.Boucher. (symbolique malheureusement réductrice). J’aime bien la notion de « gamma grec », écrit « debout ».
    En position traditionnelle il devient réceptif de la lumière provenant du point central s’ouvrant sur les 2 branches du compas…

  • 5
    ERGIEF
    9 novembre 2025 à 23h12 / Répondre

    Juste pour mémoire Paul Langevin était Franc Maçon au GODF.

  • 4
    Jean-Michel SERVAIS
    9 novembre 2025 à 11h08 / Répondre

    Aveuglement ? Chez moi c’est ignorance crasse…
    Merci de guider mes yeux vers le « M »
    Sur le cartouche de droite je crois voir un fil à plomb ? Y a t-il en plus de la plume un flambeau ?
    La riche et variée végétation en guirlande est-elle simplement ornementale ou faut-il y voir quelque grenade ou quelqu’esquisse de grappe ?
    Langevin était-il musicien ? (cf la Lyre ?)
    Je tends le bras pour être pris par une main secourable.
    JM

    • 7
      Jean-Michel Mathonière
      10 novembre 2025 à 16h12 / Répondre

      L’élément qui ressemble de loin à un flambeau est un porte-mine de dessinateur. La guirlande fait partie du vocabulaire ornemental de l’époque et n’a pas de signification ésotérique, à moins que les grands Zinitiés ne me contredise…

      Ces vestiges d’ornements proviennent, comme l’a dit Géplu dans sa présentation, du palais des Beaux-Arts de l’Exposition Universelle de 1889. Ce qui explique la thématique architecturale des médaillons et l’allusion à la musique via la lyre (d’Apollon). La Ville de Paris les aura disposé là plutôt que de les détruire et ils ne concernent donc absolument pas Paul Langevin, qui, comme le rappelle Ergieff, était un Frère du GODF, mais évidemment pas un alchimiste comme mon commentaire ironique le prétend, sous l’autorité d’un titre d’ouvrage fictif – histoire de rappeler que les symboles ne sont nécessairement ésotériques.

  • 1
    Jean-Michel Mathonière
    9 novembre 2025 à 8h08 / Répondre

    Ah mon cher Geplu, permets-moi de remarquer que tu ne sembles pas avoir tiré toutes les leçons des maîtres depuis Hypatie, lesquels ont semé dans nombre d’œuvres d’art les signes incontestables de la transmission au travers les siècles de la connaissance secrète ! Fulcanelli lui-même a révélé l’importance essentielle de Paul Langevin et de son testament philosophico-alchimique caché sous la forme apparente de simples vestiges dans le square portant son nom (cf. Fulcanelli, « Finis gloriae mundi », page 345, note 7, à paraître aux éditions Grasset d’Orsay). Il est pourtant évident que l’entrecroisement des palmes sur le motif pseudo décoratif au centre de ces vestiges dessine à qui sait le voir et en comprendre le sens caché le fameux M des Maîtres (à ne pas confondre avec le M de McDo, ni celui de Métropolitain), la marque secrète de la (Franc-)Maçonnerie. Le public des amoureux de science serait curieux de recueillir là-dessus l’avis de la réincarnation de Matila C. Ghyka !

    • 2
      GépluAdministrateur
      9 novembre 2025 à 8h15 / Répondre

      Merci de tes lumières Jean-Michel, et désolé de mon aveuglement.

      • 3
        Jean-Michel Mathonière
        9 novembre 2025 à 8h16 / Répondre

        Comme nous sommes le jour du Seigneur des maîtres, tu es tout pardonné.

    • 6
      Christian Schirvel
      10 novembre 2025 à 15h41 / Répondre

      Très Cher Jean-MiMi… j’aime proposer, parfois, des photos à Géplu (voir dimanche passé ou un peu avant)… en espérant secrètement un commentaire du genre « il voit des francs-macs » partout ;-), presqu’en connivence !
      En faisant le tour de la grand place de Bruxelles et alentours, on en trouve un tas de choses… liées à des corporation de métier (et pi c’est tout), par exemple.
      Tout est symbole, certes, mais tout n’est pas franc-maçon.
      BBB

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