

« Pour rester libre un média ne doit dépendre que de ses lecteurs »
Amis lecteurs, Frères, Sœurs, ou profanes,
La gestion professionnelle et indépendante d’Hiram.be, Le Blog Maçonnique a un coût, qui croît régulièrement. Aussi, afin d’assurer la pérennité du blog et de maintenir sa qualité, je me vois contraint de rendre son accès payant. Rassurez-vous, la somme demandée est très minime : 20 € par an !
De plus, afin de ne pas « racketter » les nombreux visiteurs occasionnels et de permettre aux nouveaux lecteurs de découvrir un peu le blog avant de s’y abonner, la consultation de trois articles est offerte aux non abonnés. Mais dans tous les cas, afin de pouvoir gérer ces gratuits et l’accès permanent, la création d'un compte est préalablement nécessaire.*
Alors, si vous aimez Hiram.be et êtes satisfaits du service d’informations maçonniques qu'il vous rend chaque jour, soutenez-le, créez votre compte et réglez dès aujourd’hui vos 20 € pour votre accès permanent et illimité d'un an au blog.
D’avance je vous en remercie.
Géplu.
* Je certifie qu’Hiram.be ne fera aucun commerce et ne transmettra à personne les données recueillies, collectées à la seule fin de la gestion de ses abonnements. Géplu.
Ou les font rire… c’est selon…
Ils ne prennent sens que dans le cadre de la Tenue au degré qui est le leur.
On parle parfois des dynasties de francs-maçons sur plusieurs générations.
On se pose moins la question des familles où cette transmission ne s’est pas réalisée. Et qu’elles pourraient en être les causes.
Il ne s’agit pas forcément d’un rejet de la maçonnerie en tant que telle, mais ce peut être d’en avoir vécu quelques inconvénients.
Par exemple les nombreuses absences du foyer familial. Qui peuvent aussi agacer l’épouse, et donc la mère, ce qui peut dissuader les enfants de s’engager sur cette voie.
Ce peut être aussi le fait de se démarquer du père, en n’adoptant pas les passions ou les intérêts de celui-ci. D’aucun dirait même que cela a quelque chose d’oedipien.
J’ai pour ma part connu le cas d’un père assez dominateur qui avait entraîné son fils en maçonnerie, et dans la même loge que lui.
Le fils le vivait assez mal. Par exemple, il a refusé, une fois atteint le grade de maître, d’occuper aucun plateau.
Muté ensuite à Paris, il a par la suite démissionné. De la loge c’était compréhensible à 7 ou 800 km de distance, mais il n’en a pas cherché une autre.
A l’inverse, les candidatures spontanées, donc sans influence familiale aucune, peuvent démontrer un intérêt réel pour la Franc-maçonnerie.
Bref, il y a autant de Franc-maçonnerie que de francs-maçons.