Le DH et la liberté d’expression

Publié par Géplu
Dans Divers

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lundi 28 septembre 2020
  • 4
    BART JC
    4 octobre 2020 à 9h37 / Répondre

    La démocratie ne devrait pas être la liberté de dire n’importe quoi, de même s qu’il est déraisonable de condamner un propos parqu’il est non conforme à la démocratie, ce qui reviendrait à dire que nous n’y sommes pas ou plus!
    L’acharnement judiciaire envers les manifertans (Amnesty du 2 octobre 2020) est aussi un deni à la démocratie, comme l’acharnement médical à vouloir protéger des personnes contre leur volonté, quelque soit le cadre!
    Nous sommes dans une dérive étatique qui ressemble à s’y méprende à une gouvernance venue de l’est de l’europe comme de l’Asie.
    Il serait temps que la Maçonnerie se réveille avant de disparaitre de son immobilisme. La « pandémie » à touché les anciens, dont je fait partie, mais pourquoi les aurait-elle rendu muet?
    Le silence assourdissant des Obédiences montre leur penchant bien plus connus pour les métaux que pour la condition humaine!
    Reveillons-nous mes FF et SS avant la mort et la désafection, déjà constatée, de notre art qui s’il est qualifié de royal ne le doit pas à son soutient actif à la royauté, jupitérienne ou pas!

  • 3
    Lazare-lag
    30 septembre 2020 à 22h02 / Répondre

    « Je ne parle plus de République en dehors du nom, nous n’y sommes plus… »
    Oui, bon.
    Donc où sommes-nous?
    Dans quoi sommes-nous?
    Quels sont les éléments constitutifs d’une République? Quelle en est la définition? Que doit-elle offrir théoriquement et qui nous manquerait concrètement et cruellement pour sombrer dans un tel pessimisme?
    Et, a contrario, quels éléments pourraient laisser à penser que nous n’y sommes plus?
    Pourquoi devrions-nous arriver à une telle conclusion?
    Et question subsidiaire, à quel moment, si nous n’y sommes plus, avons-nous, aurions-nous cessé d’appartenir à la République? Aurions-nous pu glisser vers un autre régime.
    Autre régime qui, s’il existe, mériterait d’être nommé et qu’on le définisse tout autant que la République elle-même.
    Avant que d’affirmer, voilà le questionnement à avoir.
    Et vraisemblablement bien d’autres questions encore.
    – – –
    Par ailleurs, je crois t’avoir déjà demandé il y a quelques jours, je ne sais plus sous quel article ici publié, d’où sort ce taux de 90%? D’où sort-il, sur quoi se base-t-il? Comment a-t-il été calculé?
    Quel type de presse englobe-t-il pour arriver à un tel constat?
    Il ne me semble pas qu’il suffise de répéter à l’envi une telle affirmation pour que sa répétition, fût-elle maintes fois reprise, la transforme aussitôt en vérité avérée?
    Pour convaincre, encore faut-il prouver, faut-il démontrer, faut-il argumenter.

  • 2
    Brumaire
    28 septembre 2020 à 17h42 / Répondre

    Et qui va lire ce communiqué, lequel restera, comme tous les autres, confidentiel? Au moins le texte qui est dans le dernier Charlie Hebdo sur ce sujet précis est dans tous les kiosques.
    En parlant de liberté d’expression, il serait judicieux qu’elle soit présente partout, y compris au sein des obédiences qui apprécient surtout qu’on soit en accord avec toutes leurs initiatives.
    Dans les communiqués qui sortent presque chaque semaine, je vois « Les FM de la FFDH », « les FM du GODF », etc…mais, les a-t-on consultés, ces FM, quel que soit le thème du communiqué?

  • 1
    Astérix
    28 septembre 2020 à 10h08 / Répondre

    La liberté d’expression gravement menacée..?
    Elle peut l’être de deux manières, soit activement lorsque la presse par exemple et sous toutes ses formes, appartient pour 9O% a quelques 6 ou 7 milliardaires qui disent ce qui est bien et ce qui est mal, soit en occultant volontairement des faits qui devraient être connus de tous, soit en propulsant et en créant artificiellement un homme providentiel pour notre bien à tous mais qui en réalité n’en sert que quelques uns..
    Elle peut l’être lorsque le délit de blasphème revient avec l’aide de certains nos tribunaux. A toute interdiction de facto sous peine de sanction, je préfère l’échange et le débat, pas l’interdiction.
    Quoiqu’il en soit c’est salutaire que le DH ouvre ce débat fondamental pour la démocratie, je ne parle plus de République en dehors du nom, nous n’y sommes plus…Il était grand temps. J’ose espérer que les autres obédiences vont suivre.

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