Le petit livre de la grande histoire de l’initiation

Publié par jissey
Dans Edition

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
vendredi 18 décembre 2020
  • 8
    Lazare-lag
    23 décembre 2020 à 22h13 / Répondre

    @ Désap 7):
    TCF Désap, d’abord, je ne doute pas une seconde ni de Masonica ni du GRA, pour la simple raison que l’essentiel des renseignements qui me font douter du CV de Jacques Trescases, tel que communiqué, s’appuie sur la documentation ouverte, donc disponible, du site même du GRA.
    Et que je ne la remets pas en cause, bien au contraire.
    En se donnant la peine de chercher un peu, de fureter, on découvre, sans vraiment trop de peine d’ailleurs les statuts, et donc le fonctionnement et l’organisation propres au GRA.
    Je n’ai pas su y trouver explicitement la fonction de Directeur du GRA.
    Un président, oui, il s’agit de Dominique-Alain Freymond, qui intervient parfois ici même, en particulier à propos de cinéma, et il est encore cité aujourd’hui dans un article, mais pas de directeur.
    En tout cas pas dans la version actuelle des statuts.
    Or, ce terme de: « directeur de Masonica, du Groupe de Recherche Alpina », on le trouve très fréquemment s’agissant de J. Trescases sur les sites proposant ses livres et sa biographie.
    D’où mon étonnement, puisqu’il ne semble pas exact.
    Voilà tout.
    J’ai cependant poussé un peu plus loin la recherche ailleurs sur Internet.
    Jusqu’à trouver, toujours pour J.Trescases, le qualificatif de: « membre du comité directeur de Masonica ».
    D’ici à ce que certains des sites de ventes de livres aient laissé tomber « membre du comité » pour ne conserver que « directeur de Masonica », il n’y a pas loin…
    J’ajoute que, et ce n’est pas lui faire injure que de le mentionner, Jacques Trescases est né le 8/11/1929, donc et sauf erreur il est dans sa 92ème année.
    Partant de là, et même s’il conserve une agilité intellectuelle au point de publier encore récemment, je ne suis pas certain que ses implications, au GRA, à Masonica, ou ailleurs, soient toujours du même niveau que celles annoncées par son CV.
    J’ai donc tendance à penser que s’il a eu de réelles implications organisationnelles ici ou là, pour le lecteur qui lit son CV aujourd’hui, je me demande s’il ne serait pas plus exact de mentionner qu’il a été ex-ceci ou ex-cela, qu’il est membre (ou directeur) honoraire, ou qu’il « a été » telle ou telle fonction.
    Intellectuellement ça serait plus proche de la réalité.
    J’ajoute aussi que J.Trescases a publié (vérifiable aussi sur le site du GRA), un total de 9 articles, du n°14 au n°22 de Masonica, soit de 2004 à 2008.
    Donc une collaboration épistolaire avec le GRA qui remonte à 12 ans pour le plus récent des articles, à 16 ans pour le plus anciens.
    Enfin, J.Trescases est à la GL-AMF depuis le début de cette obédience.
    On peut imaginer qu’il était à la GLNF auparavant, et donc que si collaboration étroite il y a eu avec le GRA (sous forme d’articles publiés dans Masonica ou comme membre éventuel du comité de direction) cela pourrait s’expliquer par les liens étroits entre obédiences régulières GLNF et GLSA, à l’époque.
    Je t’accorde qu’ici j’avance une simple hypothèse, ne pouvant la vérifier.
    Sinon, pour en revenir au point de départ: J.Trescases est-il ou a-t-il été directeur de Masonica ou l’un parmi les membres du comité directeur du GRA?
    Seuls nos amis suisses peuvent se permettre, s’ils le souhaitent, de remettre la réalité en perspective.
    S’ils nous lisent…
    Jusqu’à plus ample informé, je maintiens donc mon interprétation du CV de J.Trescases tel qu’actuellement publié.
    Au moins pour ce qui concerne le GRA et Masonica, il ne semble pas, ou plus, correspondre à l’actualité.
    Cela pose question.
    MTCF Désap, est-on autorisé à se poser question?

    • 9
      Désap.
      24 décembre 2020 à 12h21 / Répondre

      8 – TCF Lazare-Lag, se poser des questions, certes, c’est vertueux ; poser affirmations ou suppositions appuyées implique, en revanche, d’avoir de bons renseignements et, s’agissant des personnes, au minimum les connaitre.
      Etre « membre du comité directeur de Masonica » c’est être l’un des directeurs de la revue, sa direction est collégiale, et ainsi être autorisé à se prévaloir du titre de « directeur ». Y voir une prétention est un bien étrange procès.
      Etre « membre actif » du GRA, comme « directeur de Massonica », n’est pas conditionné par l’appartenance à la GLSA ni par la nationalité suisse.
      Ces qualités ne sont en revanche qu’accordées selon l’intérêt de ce que l’on est en mesure d’apporter ; ceci conformément au principe de la fraternité maçonnique appuyé sur l’apport et non sur la gratuité, ceci selon les mêmes principes de la première GL qui lui valut le qualificatif, fruit d’une réflexion un peu primaire, d’élitiste.
      A ce sujet, il est à noter que les GLSA et GRA sont deux organisations très fidèles aux principes d’Anderson 1723 et seulement de convenance vis à vis de 1813 et 1929, ce qui motiva la menace de la GLUA dans les années ’90 de perte de reconnaissance de la GLSA (qui recevait dans ses loges des maçons français non GLNF.
      Par ailleurs, les mêmes entretiennent des relations très étroites avec le GODF, la GLDF, la GLFF, la GLTSO et la GLAMF pour ce qu’il en est des GGLL françaises.
      Enfin, je ne vois pas le rapport entre l’âge avancé, les capacités intellectuelles et l’implication dans le GRA.

  • 6
    Lazare-lag
    21 décembre 2020 à 19h58 / Répondre

    Lorsqu’on nous expose le CV d’un auteur, la question n’est pas tant de savoir s’il est opportun ou non de l’exposer, d’en dire ce qu’il se doit, ou trop, comme certains commentaires semblent le suggérer.
    La question est plutôt de savoir si le CV est à jour et s’il est compréhensible pour tous.
    Par exemple, si l’on n’est pas prévenu, ou pas initié si l’on préfère, (un profane ou un frère ou une soeur n’ayant pas atteint le 33ème degré), que va penser le lecteur face au titre de: « Souverain Grand Inspecteur Général du REAA ».
    Certes c’est déjà bien d’avoir précisé que REAA correspond à Rite écossais ancien et accepté, mais je ne suis pas certain que tout le monde ici va automatiquement lier la phraséologie, le titre à sa représentation numérique de 33ème degré, degré terminal du R.E.A.A.
    Autre point, je suis assez intrigué par l’appellation de: « directeur de Masonica, du Groupe de Recherche Alpina (Suisse) ».
    Sauf erreur de ma part, je ne suis pas certain qu’il y ait un directeur pour Masonica, la revue du Groupe de Recherche Alpina.
    Un rédacteur en chef, je veux bien, assisté de deux adjoints, l’un pour la langue allemande, l’autre pour l’expression française, j’en suis d’accord.
    Un directeur, ou plutôt un président du G.R.A. lui-même, je veux bien encore, et comme partie prenante du comité de publication, c’est fort possible.
    Mais indépendamment de l’aspect purement technique de l’aspect éditorial et de publication, je vois mal un franc-maçon français, membre d’une obédience française et donc non membre actif du G.R.A., et surtout non membre de la G.L.S.A., et par voie de conséquence non suisse, pouvoir prétendre à l’appellation de directeur de Masonica, même si ses qualités maçonniques peuvent être indéniables par ailleurs.
    Je crois que ça mériterait quelques éclaircissements, car en l’état cela manque de la clarté nécessaire à une bonne compréhension. Cela peut même installer comme un certain trouble, si rien n’est fait pour le dissiper.
    Nous ne demandons qu’à être rassurés.

    • 7
      Désap.
      22 décembre 2020 à 11h28 / Répondre

      6 – Cher Lazare-Lag, sur quels renseignements appuies-tu tes doutes s’agissant de Masonica et du GRA ?

  • 5
    Luciole
    19 décembre 2020 à 10h47 / Répondre

    Vous êtes bien sévères.,nous sommes aussi des personnes dans le monde. J. T exprime son sentiment par rapport à un terme très abondamment utilisé par les FM. Il a parfaitement le droit d’avoir une opinion et de l’écrire dans un livre. Si ce livre rapporte de l’argent très bien, pourquoi pas surtout s’il est utile à la réflexion.

  • 4
    Annwn
    19 décembre 2020 à 3h02 / Répondre

    L’Initiation n’est pas un commerce, sauf pour les « marchands du Temple ».

  • 2
    Chaboud
    18 décembre 2020 à 11h08 / Répondre

    Vanitas, vanitatum et omnia vanitas.

    JC

  • 1
    Villant
    18 décembre 2020 à 10h47 / Répondre

    Je croyais qu’en maçonnerie, nous laissions nos métaux à la porte du temple.

    • 3
      Nestor MAKHNO
      18 décembre 2020 à 12h23 / Répondre

      C’est à dire ?

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous