Les Francs-Maçons chez Historia

@Klaus

J’aurais dû suivre mon propre « enseignement ». Lorsque je donnais des formations en e-écriture, je spécifiais que l’humour passait mal dans l’Internet (blogs, e-mails, forums, listes de discussion). Je n’aurais donc pas dû écrire les 2 seuls journalistes français capables d’approcher la Franc-Maçonnerie sans a priori, sans parti pris puisque la phrase se voulait quelque peu ironique et que ce trait est donc mal passé.

C’est un peu fort de café de désigner S. Cognard comme « neutre. Ses articles et son livre abondent en allusions, suppositions et insinuations antimaçonniques. Son dada c’est le « secret » qu’elle accuse de façon non qualifiée. Koch c’est mieux, mais comme tous les profanes il écrit aussi avec certaines erreurs. Du moins il n’ est pas malveillant.

@arnaudbzh : Oscar Wilde disait quelque chose chose comme ça : il ne faut jamais lire un livre avant de donner son avis dessus, sinon on risque d’être influencé !
🙂

C’est dommage,

Coignard et la Maçonnerie ont tout pour s’entendre : http://www.ets-coignard.com/

Si Madame Coignard et Monsieur Kosh sont les seuls journalistes « experts » de la Franc-Maçonnerie, que Historia à déniché. On est en droit de se poser des questions sur la rigueur de cette revue. Historia aurait pu interviewer un certain Jiri, qui il me semble apporterait un peu plus de rigueur et d’objectivité.

Je croyais que Historia était plus rigoureux. Dommage.

Sans remettre le moins du monde en cause les qualités d’AN Dubart qui ne sont pas en question ici, je trouve professionnellement étrange de la part de la revue d’aller interroger sur le Symbole Perdu de Dan Brown quelqu’un qui ne l’a pas lu et qui ne le cache pas. Et de ce fait, son avis sur l’ouvrage en question paraît hors de propos car sur le fond -et cela a déjà été souligné par d’autres- le Symbole perdu ne paraît pas totalement à l’écart de la démarche maçonnique (avec, forcément, toutes les réserves liées à la forme d’un roman). Il y avait quand même suffisamment de frères ou de soeurs de premier plan qui avaient lu le livre et qui auraient pu donnert un avis plus avisé.

Petite réflexion aigre douce :

De ci de là quelques employés, dans nombre d’entreprises, déstabilisés par les stress engendrés par le fait de devoir faire dans l’urgence un nouveau métier pour lequel ils ne sont pas préparé sombres dans la maladie mentale appelée « dépression » … voire pire, mais un c.. a dit que c’était une mode !!!
Par contre il est des personnages qui parlent parlent parlent de ce qu’ils ignorent …
Non seulement ils ne dépriment pas … mais ils transforment une infériorité, une ignorance crasse « ne pas être du « mestier » en un titre de gloire médiatique valant savoir !!!

Je me souviens d’un livre « la guerre du faux » de Umberto Ecco je crois ??? On assiste à une extension vertigineuse de cette « guerre du faux », les technologies modernes de l’information occupent les cerveaux avec un tsunami de faux, ce n’est pas nouveau mais les techniques sont de plus en plu sophistiquées et addictives … au sens drogues dures …

Coignard n’est pas une soeur mais elle rejoint de plus en plus ce qu’elle dénonce, sur les journaliste, au vu de son omniprésence dans la presse. Assure-t-elle un lobbying dans les rédaction française.
C’est de l’humour bien sur, quoique.
BAV