Les jeudis maçonniques parfois un peu moqueurs… 3

Publié par Géplu
Dans Humour

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jeudi 6 février 2020
  • 14
    Désap.
    9 février 2020 à 15h06 / Répondre

    Voici ce que rappelle la GLUA quatre ans auparavant, en 2009, bien lire le point n°8 :
    .
    Réaffirmation en 2009 des principes de reconnaissance commune (Angleterre, Écosse, Irlande) de 1938 Modifier
    En août 1938, les trois grandes loges, d’Angleterre, d’Écosse et d’Irlande, ont émis des règles communes de reconnaissance des autres obédiences maçonniques. Ces règles furent acceptées par la Grande Loge Unie d’Angleterre le 7 septembre 1949. Le texte de ces règles est strictement identique pour les trois Grandes Loges, excepté le nom. Il s’agit donc ici du texte où le nom de la Grande Loge Unie d’Angleterre est placé.

    En 2009, les trois grandes loges estiment que rien n’est de nature à modifier leur attitude et que seule une adhésion rigide à ces principes permettra à la Franc-maçonnerie de survivre.

    1- De temps à autre, la Grande Loge unie d’Angleterre a jugé souhaitable de préciser les objectifs de la franc-maçonnerie tels qu’ils furent constamment pratiqués sous sa juridiction depuis qu’elle a été créée comme un corps organisé, en 1717, et ainsi de définir les principes régissant ses relations avec les autres Grandes Loges avec lesquelles elle est en accord fraternel.
    2- Compte tenu des observations qui ont été reçues, ainsi que des déclarations récemment émises qui ont déformé ou occulté les véritables objectifs de la franc-maçonnerie, il a été une fois de plus jugé nécessaire de mettre l’accent sur certains principes fondamentaux de l’Ordre.
    3- La première condition pour être admis, et être membre, de l’Ordre, est la croyance en un Être suprême. Ceci est essentiel et n’admet aucun compromis.
    4- La Bible, déclarée par les francs-maçons comme le Volume de la Loi Sacrée, est toujours ouvert dans les Loges. Chaque candidat est tenu de prendre son obligation sur ce livre ou sur le Volume qu’il tient capable, pour sa foi particulière, de transmettre la sainteté d’un serment ou de la promesse, prise sur elle.
    5- Pour toute personne qui entre dans la franc-maçonnerie, il est, dès le départ, strictement interdit de tolérer tout acte qui peut avoir tendance à troubler la paix et le bon ordre de la société, il doit faire acte d’obéissance à la loi de l’État dans lequel il réside ou qui peut lui offrir la protection, et il ne doit jamais être négligent dans l’allégeance due au Souverain de son pays natal.
    6- Dès lors que la franc-maçonnerie anglaise inculque à chacun de ses membres les comportements de loyauté et de citoyenneté, il réserve à chaque individu le droit d’organiser sa propre opinion en ce qui concerne les affaires publiques. Mais ni dans une loge, ni à n’importe quel moment en sa qualité de, et en tant que franc-maçon, il ne lui est pas permis de discuter ou de faire avancer son point de vue théologique ou sur des questions politiques.
    7- La Grande Loge a toujours systématiquement refusé d’exprimer une opinion sur les questions de politique d’un État étranger ou le sien, soit ici ou à l’étranger, et il ne permettra pas que son nom soit associé à toute action, même celle qui apparaîtrait humanitaire, ce qui porterait atteinte à sa politique immuable de se tenir à l’écart de toutes les questions touchant aux relations entre un gouvernement et un autre, ou entre les partis politiques ou les questions débattues par le gouvernement.
    8- La Grande Loge est consciente qu’il existe des corps se déclarant franc-maçons, qui n’adhèrent pas à ces principes, et bien que cette attitude existe, la Grande Loge d’Angleterre refuse absolument d’avoir des relations avec de tels organismes, ou de les considérer comme francs-maçons.
    9- La Grande Loge d’Angleterre est un organisme souverain et indépendant ne pratiquant la franc-maçonnerie que dans les trois degrés et seulement dans les limites définies par sa Constitution comme «pure Ancienne Maçonnerie». Elle ne reconnaît, ni n’admet l’existence d’aucune autre autorité.
    10- À plus d’une occasion, la Grande Loge a refusé, et continuera de refuser, de participer à des conférences avec les soi-disant associations internationales qui prétendent représenter la franc-maçonnerie, qui admettent l’adhésion des organismes en défaut de se conformer strictement aux principes sur lesquels la Grande Loge de l’Angleterre est fondée. La Grande Loge n’admet aucune réclamation à ce sujet, ni que ses opinions soient représentées par de telles associations.
    11- Il n’y a aucun secret à l’égard de l’un des principes de base de la franc-maçonnerie, dont certaines ont été mentionnées ci-dessus. La Grande Loge a toujours envisagé la reconnaissance des Grandes Loges qui professent et pratiquent, et peuvent montrer avoir toujours professé et pratiqué de tels principes établis et non altérés, mais en aucun cas elle n’entrera dans des discussions en vue de changer ou de modifier l’interprétation de ceux-ci. Ils doivent être acceptés et mis en pratique sans réserve et dans leur intégralité par ceux qui désirent être reconnus comme des francs-maçons par la Grande Loge Unie d’Angleterre.

    • 15
      André C.
      9 février 2020 à 18h48 / Répondre

      à Désap : Tu sais, moi je suis membre du GODF, et franchement toutes ces « prétentions » anglaises, j’en ai vraiment rien à foutre. Ils font ce qu’ils veulent chez eux, et nous ce qu’on veut chez nous. Point.
      Et je comprend pas que tu t’excites à ce point sur un sujet qui n’a pas à être.

      • 16
        pierre noel
        9 février 2020 à 19h24 / Répondre

        C’est dans sa nature ! Comme dans celle du scorpion de la fable.

      • 17
        Désap.
        9 février 2020 à 19h26 / Répondre

        15 – Question de respect de soi-même, de la maçonnerie française, même du pays d’ailleurs, dont l’insulte est une véritable obsession de la GLUA, 1929, 1938, 1949, rappel en 2009 et 2013.
        Eux s’occupent de promouvoir leur maçonnerie, jusqu’à le faire sur des bases fallacieuses ; tant pis, pas grave du moment qu’ils occupent 90% de l’espace, et ils occupent 90% de l’espace.
        Pendant ce temps la maçonnerie française est marginalisée,
        et qu’est-ce qui triomphe aujourd’hui ? La politique anglo-saxonne et so libéralisme ultra-inégalitaire,
        et qu’est-ce qui est menacé de facto ? Les principes républicains.
        Ça t’indiffère ? Pas moi et j’espère qu’on est beaucoup parce qu’il en va aussi de l’avenir de l’Europe.
        Tu ne le crois pas ? Vous ne le croyez pas ?
        Je vous assure que la GLUA prend ça très au sérieux ; à l’image des USA, tout le monde est sur le pont, entreprises comme associations pour défendre les intérêts du pays.
        Et nous pendant ce temps ? On regarde passer les trains et on se fait tailler les croupières.
        Je ne peux pas rester indifférent, ce n’est pas concevable, c’est même surréaliste de l’être, je regrette.

        • 18
          William
          9 février 2020 à 23h38 / Répondre

          Désap, inspecteur gadget qui déjoue le complot politico-maconnique anglo-saxon pour s’assurer la domination du monde… Comme en toutes choses, Desap sait. Il était dans le bureau d’Anderson en 1723, il prend maintenant le thé dans celui du Duc de Kent avec Trump et Johnson. Ne lui dites pas qu’il est fou, pauvres ignorants qui ne savez pas !
          #sauvonsdesap

  • 11
    Désap.
    8 février 2020 à 23h19 / Répondre

    L’art des trois singes appliqué :
    On démontre qu’un Dialogue certifié par la GLUA comme ayant été écrit circa 1725 a de toute évidence scientifique été écrit au mieux au 19è et au regard des circonstances rocambolesques de sa sortie vraisemblablement au 20è et on nous évoque l’affaire Dreyfus pour remettre en cause la graphologie.
    En 2009 la GLUA écrit mot pour mot que toutes personne et organisation qui ne respectent pas ses règles n’est pas franc-maçon, et on nous sort des propos démagogiques dont seule la GLUA a le secret.
    On est sourd, muet et aveugle à tout ce qui démontre l’abjecte mentalité de la GLUA et d’une ouie, d’une voix et d’une vue d’une acuité exceptionnelle quand il s’agit de démolir tout ce qui démonte son historiographie de bazar.
    Il y a un moment où il va bien falloir faire preuve d’un peu plus d’objectivité parce que le manque total va commencer sérieusement à se voir.

  • 8
    pierre noel
    8 février 2020 à 14h45 / Répondre

    Pour permettre de déverser sa bile en connaissance de cause (et non sur les ragots de salle humide), voici la position actuelle et officielle de la GLUA (2013) .

    REGULARITY AND RECOGNITION INTRODUCTION
    1. The regularity and recognition of Grand Lodges are separate but allied subjects. Unless a Grand Lodge is regular, it cannot be recognised. Unless a Grand Lodge is recognised, its Brethren cannot (or should not) be met as Freemasons by Brethren of regular and recognised Grand Lodges.
    BASIC PRINCIPLES
    2. The « Basic Principles for Grand Lodge Recognition » were adopted by Grand Lodge in 1929. This was a codification, and not a statement of new principles. summarised the tests which the United Grand Lodge of England had applied and would apply in recognising regular Grand Lodges throughout the World. Eight principles are set out in ‘the Book of Constitutions, and restated in Grand Lodge’s leaflet « Freemasonry’s External Relations » To be eligible for recognition, a Grand Lodge must
    a. be regular in its origin (see paragraph 3 below)
    b. be truly independent and self-governing (see paragraph 4 below)
    c. adhere to ‘landmarks’ (a landmark is an essential characteristic of regular Freemasonry), viz:
    (I) its Brethren must believe in a Supreme Being (the GAOTU);
    (ii) Obligations must be taken on or in full view of the VSL;
    (iii) it must display the three Great Lights of Freemasonry when it or its Lodges are open;
    (iv) discussion of religion and politics in its Lodges must be prohibited, and
    (v) its membership must be male, and it must have nothing to do with mixed or women’s Lodges.
    REGULARITY OF ORIGIN
    3. The original Grand Lodges (England, Ireland and Scotland) were formed by private Lodges which had formed themselves Time immemorial Lodges, in English parlance. the 18th Century, three State Grand Lodges in the United States of America were formed by two Lodges, and one was formed by a Grand Convention of Masons Subsequent Grand Lodges follow the modern rule in paragraph 4.
    4. A Grand Lodge must have been established by: a) a recognised Grand Lodge, or b) three (nowadays) or more regularly constituted private Lodges, formed in accordance within the rules and customs of a regular Grand Lodge.
    5. A Grand Lodge must have undisputed authority over Craft (or basic) Freemasonry within its jurisdiction, and not be subject in any way to or share power with any other Masonic body.
    6. This principle is expressed overseas as exclusive Territorial jurisdiction, but has recently been qualified as being « subject to exceptions » This qualification means the principle is not violated if Grand Lodges agree to share territory while remaining authority over Brethren under their jurisdiction (e.g., our recognition of four Grand Lodges in Colombia; the acceptance of the Grand Lodges of New Zealand and South Africa (etc.) of Lodges under the UGLE (etc.) in their territory, and the fact that Lodges under the Grand Lodge of the State of Washington work in the territory of the Grand Lodge of Alaska). Agreement by one Grand Lodge to share its territory with another does not imply license for other Grand Lodges to insert Lodges into the territory of the first Grand Lodge.
    7. England’s view, of jurisdiction over the Brethren in its constitution regardless of where their Lodges meet, has the merit of simplicity, and is compatible with the territorial view described above. In practice, England does not ignore territorial sovereignty when it considers recognition.
    RECOGNITION
    8. Recognition is a series of bi-lateral relationships between Grand Lodges. If a Grand Lodge seeks recognition from England, and in due course is recognised, the mutual recognition between it and England cannot bind a third Grand Lodge.
    9. England’s recent policy on recognition has been described as needing to be convinced that it should be granted, rather than noting an absence of reasons why it should not.

    • 9
      AR28
      8 février 2020 à 16h28 / Répondre

      Rappel intéressant, édifiant et certainement utile pour les « irréguliers » que nous sommes…
      Notons que l’Article 6 de ces principes garde un silence pudique sur la tolérance UGLEsque (en français, on dit GLUAnte …) pour l’apartheid maçonnique qui perdure aux USA entre les Loges « Prince Hall », noires, et les autres …
      Oups … j’ai laissé échapper un peu de bile !

      • 10
        pierre noel
        8 février 2020 à 17h41 / Répondre

        Je rappelle simplement que si la majorité des GL « blanches » des USA reconnaissent aujourd’hui leurs homologues PH, c’est suite à un appel du pied de la GLUA au début années nonante de l’autre siècle (cela commença par le Massachusetts). L' »apartheid » ne subsiste que dans les Etats du Sud (anciennement confédérés), de moins en moins nombreux d’ailleurs (mais avec quelques irréductibles !).
        J’entends cet argument depuis des années, toujours répété avec la même satisfaction par des intervenants sincères et convaincus, qui refusent de tenir compte de l’évolution des esprits en trente ans. (On peut dire la même chose de l’Angleterre ! Celle de 1929 n’est plus celle de 2020).

    • 12
      Adèle
      9 février 2020 à 10h18 / Répondre

      Bonjour. On pourrait avoir la traduction en français s’il te plaît. Merci

      • 13
        pierre noel
        9 février 2020 à 14h08 / Répondre

        A défaut d’une traduction de ce texte, voici ce qui se trouve sur wikipédia :

        « La Franc-Maçonnerie est pratiquée sous l’autorité de nombreuses Grande Loges indépendantes dont les principes et les normes sont similaires à ceux établis par la Grande Loge Unie d’Angleterre tout au long de son histoire. »

        Normes :

        Pour être reconnue par la Grande Loge Unie d’Angleterre, une Grande Loge doit respecter les normes suivantes :

        1) Elle doit avoir été légalement constituée par une Grande Loge régulière ou par trois Loges particulières ou plus, si chacune d’entre elles a été légitimée par une Grande Loge régulière.

        2) Elle doit être véritablement indépendante et autonome, et avoir une autorité incontestée sur la Franc-Maçonnerie du Métier – ou de base – (c’est-à-dire les degrés symboliques d’Apprenti, de Compagnon et de Maître) au sein de sa juridiction, et ne pas être sous la dépendance, ni partager son pouvoir en aucune manière avec aucun autre organisme Maçonnique.

        3) Les francs-maçons placés sous sa juridiction doivent croire en un Être suprême.

        4) Tous les francs-maçons placés sous sa juridiction doivent prendre leurs Obligations sur ou en pleine vue du Volume de la Loi Sacrée (qui est la Bible) ou sur le livre qui est considéré comme sacré par l’homme concerné.

        5) Les trois Grandes Lumières de la Franc-Maçonnerie (qui sont le Volume de la Loi Sacrée, l’Équerre et le Compas) doivent être exposés quand la Grande Loge ou ses Loges Subordonnées sont ouvertes.

        6) Les discussions politiques et religieuses doivent être interdites dans ses Loges.

        7) Elle doit adhérer aux principes établis (les « Anciens Landmarks ») et aux coutumes du Métier, et insister pour qu’ils soient observés au sein de ses Loges.

        8) Grandes Loges irrégulières ou non reconnues : il existe quelques soi-disant obédiences maçonniques qui ne respectent pas ces normes, par exemple qui n’exigent pas de leur membres la croyance en un Être Suprême, ou qui encouragent leurs membres à participer en tant que tels aux affaires politiques. Ces obédiences ne sont pas reconnues par la Grande Loge Unie d’Angleterre comme étant maçonniquement régulières, et tout contact maçonnique avec elles est interdit.

  • 5
    Philippe Liénard. GLB
    7 février 2020 à 22h17 / Répondre

    Les commentaires que je lis sont du plus haut intérêt.
    Ne devrions nous pas rappeler la différence entre la régularité selon la Règle de la GLUA limitée à une Obedience par pays en Europe et la reconnaissance?
    Ne devrions nous pas définir la notion d Europe hors Royaume Uni pour cause de Brexit ? L’UE passe de 27 à 26 États membres sauf erreur. Parle t-on de cette Europe là ?
    Dans l’affirmative il s’agit de prendre en compte les Obédiences de tous ces États y compris les Loges affiliées à des structures dites libres et non obédientielles. Les chiffres sont surprenants. Voir ouvrage conjoint de Alain de Keghel et Philippe Liénard à paraître ce 10 mars 2020 aux Éditions Champs Élysées Paris: Penser la Franc-Maçonnerie du XXIe siècle.

  • 4
    Erwan HENAFF
    7 février 2020 à 21h47 / Répondre

    Ça au moins, c’est dit . ». !

  • 3
    Daniel Leroy
    7 février 2020 à 21h46 / Répondre

    Je connais plein d’Anglais dans le sud ouest et nous discutons bcp du brexit. Pour et contre. Si on est un démocrate, on doit accepter leur choix même si le brexit est basé sur pas mal de mensonges.

    • 7
      Désap.
      8 février 2020 à 10h28 / Répondre

      3 – Mais il ne s’agit pas de contester quoique ce soit.
      Il s’agit de constater l’irrespect qui consiste à instrumentaliser l’UE à des fins de politique intérieure et la connerie crasse d’un peuple se considérant supérieur à tous les autres d’accorder du crédit au minable Nigel Farage et ses mensonges, et voter pour ce qu’il propose.
      Constater également l’égoïsme de ce peuple qui a régulièrement perdu sa respectabilité issue des deux guerres mondiales par l’avidité financière que le ronge.
      Il y a cependant un point positif à cette débâcle, l’UE ne pourra pas se permettre d’être molle face à l’Angleterre dans les négociations du futur accord d’échanges, ce serait signer son arrêt de mort.
      Il faudra qu’elle soit ferme et que les futurs échanges n’aient rien de libre, on compte sur Barnier qui jusqu’ici a fait un sans faute.
      D’ailleurs, ils nous doivent soixante milliards d’euros, c’est marrant on n’en entend pas parler de ça.
      S’agissant de ce qui nous concerne plus directement, la GLUA fait preuve depuis trop longtemps d’une attitude inacceptable vis à vis de la maçonnerie française, jusqu’à rappeler en 2009 qu’elle la considère non-maçonnique.
      S’il est possible de renvoyer la GLUA à l’ostracisme, comme un renvoi de la pareille, qu’elle n’ait plus pour seules lèche-culs les GGLL sudistes américaines et la GLNF, ce serait grande joie et vraie justice.

  • 2
    Daniel Leroy
    7 février 2020 à 21h42 / Répondre

    Qui peut m’aider à trouver l’adresse de lLoge à Villefranche de Rouergue ?

    • 6
      Lazare-lag
      7 février 2020 à 22h20 / Répondre

      Si tu es un frère, adresses-toi à ton obédience, c’est le B A BA à suivre pour y parvenir.
      Si tu n’es pas un frère, pourquoi donc cette recherche? Quelle est la motivation?

  • 1
    Faget
    6 février 2020 à 16h27 / Répondre

    Ces pauvres Anglais je les aime bien .Je regrette leur départ car ils font partie de l’Europe mais ils n’arrêtaient pas de nous faire chier. Barnier tient bon nous sommes d équerre et n hésites pas à utiliser la pointe du compas

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