les jeudis maçonniques parfois un peu moqueurs, 33

Publié par jissey
Dans Humour

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vendredi 16 octobre 2020
  • 12
    HARLÉ
    18 octobre 2020 à 8h20 / Répondre

    Bof …

  • 11
    joabs
    17 octobre 2020 à 11h36 / Répondre

    En voyant le titre, je me suis pris à rêver. Allions commencer à réfléchir sur l’utilité de ces obédiences diverses ? Allions nous dépasser cette déférence, fatalité des obédiences et le conformisme ?
    Au delà du chemin, se pose aussi la question de la finalité de notre engagement maçonnique. Mais aussi qu’est ce qui est outils/moyens.
    Car il apparait hélas un renversement complet où les outils/moyens (les obédiences) se trouvent « sacralisés » et deviennent un élément structurant prioritaire aux valeurs de la FM quand ce n’est pas contre la FM.
    Mais je me suis réveillé en lisant et a vu que nous sommes toujours dans cette triste approche de compétition obédentielle.

  • 10
    willermoz 59
    17 octobre 2020 à 8h56 / Répondre

    Oui, ce qui est remarquable c’est le fauteuil.. qui constitue un chemin peut être…un Frère passé hélas passé à l’OE me faisait remarquer :  » Certains de nos Frères veulent faire des voyages initiatiques extraordinaires mais ils ne veulent pas prendre le métro.. »

  • 9
    Cassandra Verde
    17 octobre 2020 à 5h23 / Répondre

    Évidemment, c’est le but qui est le plus important. Mais le chemin aussi parce que, malgré tout, tous les chemins ne mènent pas à Rome sauf pour Machiavel bien qu’il ait parlé des moyens.

  • 8
    Durruti
    16 octobre 2020 à 18h14 / Répondre

    Caminante, son tus huellas
    el camino y nada más;
    Caminante, no hay camino,
    se hace camino al andar.
    Al andar se hace el camino,
    y al volver la vista atrás
    se ve la senda que nunca
    se ha de volver a pisar.
    Caminante no hay camino
    sino estelas en la mar. (Antonio MACHADO) Poète républicain espagnol et FM, mort en exil à Collioure.

  • 4
    MarcosTestos
    16 octobre 2020 à 13h52 / Répondre

    L’incohérence des propos de certains /croyance en un Dieu révélé m’épatera toujours !

  • 2
    Nicolas Leroidec
    16 octobre 2020 à 11h27 / Répondre

    ça, pour être moqueur, c’est moqueur ! Qu’est-ce qu’on se poile !

  • 1
    Mai 68
    16 octobre 2020 à 10h22 / Répondre

    L’important n’est pas le chemin mais de cheminer.

    • 3
      Désap.
      16 octobre 2020 à 11h54 / Répondre

      1 – Je suis assez d’accord, cependant le chemin reste important, notamment la nécessité de son objectivité.
      L’avantage de la maçonnerie, c’est qu’en aucun cas elle ne parle à la place de son GADLU.
      C’est aussi pour cette raison qu’il inutile de l’écarter des travaux pour garantir la liberté de conscience, celle-ci est de fait préservée.
      De fait également, exiger une croyance en une volonté révélée pour y être admis est particulièrement incohérent.

    • 5
      JEAN PIERRE DOURNEAU
      16 octobre 2020 à 16h02 / Répondre

      Je dirai même plus: cheminer ensemble!
      Mais attention,
      Le meilleur capitaine, le meilleur équipage et le meilleur voilier ne peuvent se déplacer que s’il y a du VENT.
      Au début il y a le verbe NON, il y a le vent.

      • 7
        Lazare-lag
        16 octobre 2020 à 17h31 / Répondre

        Deux idées me traversent l’esprit (comme mon esprit est quasiment vide et ne contient pas grand-chose, elles traversent vite, donc vite ne perdons pas de temps pour les attraper!).
        1/ Un proverbe de je ne sais plus quel pays asiatique dit quelque chose comme: « Ce que le vent a déplacé, c’est au vent à le replacer ».
        2/ On ne connait que trop les aphorismes dont Edgar Faure était friand, notamment celui-ci: « Ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent ».
        Je trouve que, dans les deux cas, ça mérite de s’y attarder un petit peu, ces formules en disent plus qu’une lecture trop rapide…

    • 6
      Lazare-lag
      16 octobre 2020 à 17h21 / Répondre

      La réflexion du chemin en tant qu’objet et de cheminer en tant qu’action est intéressante.
      Nous avons le choix du chemin, quand plusieurs routes s’offrent à nous, mais une fois sur le chemin, n’est-ce pas le chemin qui nous guide, voire nous impose ses pleins et ses déliés?
      A quel moment avons-nous une liberté qui guide nos pas? A quel moment avons une liberté qui nous ouvre la barrière?.
      Symboliquement comme réellement la randonnée est-elle totalement neutre? Géographiquement, toutes les routes suivent-elles une ligne droite? Non, pourquoi? Ici, une montagne à contourner, là une rivière dont il faut tenir compte, soit pour la longer, soit pour la franchir.
      Aucun terrain, pas même un désert de sable n’est entièrement neutre. La géographie impose sa loi, on dit même que l’Histoire des pays et des peuples dépendent beaucoup de la géographie.
      Là question est: quelle « géographie » symbolique ou pas, s’impose au franc-maçon dans son cheminement?
      D’une certaine manière, et si je puis parler par « images », sur un plan autant profane que franc-maçon, à quel moment sommes-nous plus influencés par les Ponts et Chaussées (nos racines romaines, pour simplifier) et à quel moment cédons-nous davantage aux Eaux et Forêts (notre côté davantage gaulois)?
      Tout chemin et tout cheminement est comme une sorte de balancement entre ces deux tendances, un rien poétiques, me semble-t-il.

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