Wirth Guenon Francois Morel

Quand René Guénon rencontre Oswald Wirth

Publié par Géplu
Dans Humour

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lundi 20 janvier 2025
  • 5
    Yasfaloth
    29 janvier 2025 à 12h14 / Répondre

    Merci mon TCF Ergieff.
    .
    Bien vu le dialogue ! Si c’est vraiment du ChatGPT on a du souci à se faire pour l’authenticité des futures planches des nouvelles recrues… et même de plus anciennes…
    .
    Mais, j’ai quand même comme l’impression que ce n’est pas… vraiment… du ChatGPT ! 🙂

  • 4
    Remi
    23 janvier 2025 à 11h12 / Répondre

    A 3 Merci mon cher Ergief pour ce dialogue entre Guénon et Wirth, relatif à la Tradition Primordiale. « primordiale » me gêne un peu. Je préfèrerais une Tradition qui prime sur les autres, si tant est que cela soit correct. Cela posé, est plus proche de la vérité celui qui la cherche, que celui qui croit l’avoir trouvée, pour ainsi parler. Voilà qui fera sans doute plaisir à JvW, avec résolution, je reste « Contre Guénon ».😉

  • 3
    ERGIEF
    23 janvier 2025 à 9h32 / Répondre

    Voici le dialogue proposé par ChatGPT:

    Titre : Dialogue entre René Guénon et Oswald Wirth sur la Tradition Primordiale

    Lieu : Un salon feutré, éclairé à la lueur tamisée des lampes à huile. Des ouvrages anciens jonchent les tables, et une odeur de papier vieilli emplit l’air. René Guénon, vêtu sobrement, feuillette un manuscrit, tandis qu’Oswald Wirth, un cigare à la main, observe son interlocuteur avec curiosité.

    Guénon : Cher Wirth, vous qui avez consacré votre vie à l’étude du symbolisme maçonnique, que pensez-vous de l’idée d’une Tradition primordiale, d’une vérité unique et transcendante dont toutes les traditions initiatiques ne seraient que des reflets ?

    Wirth : Je conçois que derrière les multiples formes initiatiques, il y ait une source commune, mais je crois que chaque tradition doit être étudiée dans son contexte propre. Vous insistez sur l’unité transcendante, tandis que je vois plutôt une évolution progressive des formes initiatiques, adaptées aux époques et aux besoins des hommes.

    Guénon : C’est précisément là où nos vues divergent, mon cher ami. La Tradition primordiale n’évolue pas ; elle est d’essence métaphysique, intemporelle et immuable. Ce que vous percevez comme une évolution est en réalité une dégradation, une fragmentation due à la perte de la véritable connaissance initiatique.

    Wirth : Mais alors, comment expliquez-vous la diversité des symboles et des rites ? Si tout procède d’une source unique, pourquoi ces différences parfois profondes entre traditions ?

    Guénon : Parce que les formes initiatiques sont adaptées aux conditions particulières des civilisations et des époques, mais leur essence demeure la même. Derrière le symbolisme maçonnique, hermétique ou pythagoricien, il y a toujours une même vérité universelle, que seuls ceux qui possèdent une véritable compréhension ésotérique peuvent percevoir.

    Wirth : Je ne puis nier qu’un fond universel semble sous-tendre les traditions, mais je pense que la Maçonnerie, par exemple, a sa propre autonomie symbolique. N’est-ce pas dans l’étude des rites et des mythes qu’on découvre la vérité, plutôt que dans une quête d’une origine unique et insaisissable ?

    Guénon : L’étude des rites et des mythes est précieuse, mais elle ne doit pas être réduite à une approche simplement historique ou psychologique. Si l’on ne reconnaît pas le principe métaphysique sous-jacent, on risque de s’égarer dans l’illusion d’un savoir fragmenté. La Maçonnerie, telle qu’elle est aujourd’hui, a perdu en grande partie son caractère initiatique véritable.

    Wirth : Je vous concède que certaines déformations ont eu lieu, mais la Maçonnerie recèle encore, pour qui sait la comprendre, un enseignement profond. Il ne faut pas être trop pessimiste quant à l’avenir des initiations modernes.

    Guénon : Hélas, je crains que nous soyons dans un cycle de décadence où la véritable transmission initiatique s’est presque éteinte en Occident. Seules certaines formes orientales conservent encore une transmission ininterrompue de la connaissance primordiale.

    Wirth : Je reste plus optimiste que vous, cher Guénon. La quête initiatique ne s’éteint jamais totalement, et tant qu’il y aura des chercheurs sincères, le feu sacré ne disparaîtra pas.

    Guénon : Je l’espère, Wirth, mais il faut que ces chercheurs dépassent le symbolisme exotérique pour retrouver la source véritable…

    (Les deux hommes poursuivent leur échange à voix basse, plongés dans une réflexion qui semble les mener chacun aux confins de leur propre quête initiatique…)

  • 2
    Yasfaloth
    20 janvier 2025 à 14h29 / Répondre

    C’est clair qu’il faut être « allumé » pour émettre un peu de lumière !
    🙂
    Sinon pour ceux ou celles qui souhaiteraient avoir un aperçu de la façon dont René Guenon considérait dans ses écrits Oswald Wirth il y a un moyen très simple :
    .
    https://www.index-rene-guenon.org/index.php?txtKeyword2=oswald+wirth&EngineSearch=1&txtKeyword=oswald+wirth&mode=search&affichage=aff_chap&Lang=FR&TableMat=0&Scroll_bar=0&police=Times+New+Roman&taille=3&largeur=45&InclLivre=on&InclRevue=on&InclPseudo=on&InclCorr=on

  • 1
    Brumaire
    20 janvier 2025 à 13h53 / Répondre

    Heureusement que c’est un rêve( un cauchemar), car rassembler deux allumés comme Wirth et Guenon, qu’est-ce que ça donnerait!

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