Sachons relativiser…

Publié par Géplu
Dans Divers

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mardi 16 février 2021
  • 19
    MARC FAGET
    23 février 2021 à 2h52 / Répondre

    Je comprends un peu toutes ces réactions mais je n’en n’en partage totalement aucune. Les uns disent qu’avant les contraintes étaient pires que maintenant , les autres arguent que les éléments de comparaison sont différents.Beaucoup pensent qu’avant c’était mieux parce que c’était le temps de leur jeunesse , d’autres estiment que les jeunes de maintenant ont beaucoup plus qu ‘hier.
    Javais 20 ans au début des années 70,le chômage et le sida n’existaient pas ,il y avait des espoirs de changer le monde.Nous avons vécu avec mon épouse et notre fils avec un petit Smic pendant 3 ans ,nous avons travaillé à plein temps et pendant nos temps libres nous préparions des concours .Nous n’étions pas malheureux même si nous aurions préféré une vie avec moins de contraintes.
    Nos trois enfants qui sont devenus parents n’ont pas-subi les mêmes obligations mais connaissent des technologies inimaginables. Sont ils plus heureux ?J’ai l’impression qu’ils ont moins d’expérience que nous et que leur monde est plus resserré que celui que nous avons connu.En effet ,nés au milieu du XX siècle nous avons connu nos grands parents nés à la fin du XIX et nous sommes déjà en 2020. La pandémie si elle nous met a rude épreuve est un révélateur de nos faiblesses t de nos capacité à faire face.
    .Tout cela pour affirmer que la perception du bonheur est personnelle et qu’une bonne compréhension des valeurs maçonniques aide à .chercherr la voie . je vous souhaite de la trouver

  • 18
    Olivier
    19 février 2021 à 18h34 / Répondre

    Bonsoir,

    Loin de disposer de tant de savoir que les uns et les autres ici, je me permets d’apporter ma réaction à ce texte.

    Il a un côté qui me dérange, c’est cet aspect « les jeunes, ne vous plaignez pas ». Je ne crains rien plus que ces discours qui visent une catégorie en particulier et qui tente d’ériger une autre catégorie en « meilleure » que l’autre. Le mot à la mode serait celui de stigmatisation, mais je m’y refuse. Je préfère réellement rester sur cette idée de « l’un est meilleur que l’autre ».

    Je suis à cheval entre la génération de ces jeunes qui vont – un scandale pour la France de 2021 – se procurer de la nourriture aux Restaurants du Coeur et celle qui, dans les années 60 se plaignait du litre de super à 1 Franc. Je ne veux pas dire laquelle de ces deux catégories est la plus à plaindre, la moins chanceuse ou la plus aisée. En fait, je ne le sais même pas, simplement car chaque époque, chaque génération dispose de ses richesses intrinsèques traditionnelles et de ses nouvelles richesses. Les poilus de 14 trouvaient sans doute facile la vie des résistances de 39, mes parents trouvent sans doute que j’ai eu trop tôt un walkman.

    Et, moi, du haut de mes 45 ans, je trouve que ma fille aura besoin trop tôt de faire usage de son assurance chomage.

    Le travail, je me permets de penser, n’est pas d’inciter les uns à se taire ou à « cesser de chialer », mais de remettre en perspective les choses. C’est la façon, à priori, la plus sage de recréer cette Nation Une et Indivisible que ces discours discriminants détruit, petit à petit.

    Je vous souhaite à toutes et tous une excellente soirée,

    Olivier

  • 16
    boaz46
    17 février 2021 à 15h28 / Répondre

    Mon tcf
    imagine que tu es 20 ans aujourd’hui, que tu doives aller au restau du coeur ou a la soupe populaire pour remplir ton frigo, car tu as perdu le petit job qui te permettait de suivre tes études ou alors l’entrepreneur qui a tout perdu à cause du covid, sans droits au chômage et qui doit nourrir sa famille, entendre tout cela venant d’une personne qui a connu les 30 glorieuses sans chômage avec des salaires en perpétuelle augmentation qui a eu la chance d’être a la retraite a 60 ans et qui tombe tous les mois ?
    Cette même personne, qui, pour la protéger on soit obligé de mettre sous cloche tout un pays augmenter la dette ect.ect
    aurait tu le même discours ?
    Pour être née dans les années 60 je peux t’affirmer que les jeunes aujourd’hui ne vivent pas mieux que dans les années 60,70 ou 80 et loin de la, ce qui est valable pour certain ne l’ait pas pour tous, je suis restaurateur et 3 fois par semaine je sers au restau du coeur ou a la croix rouge des repas a des jeunes de 20 ans ou a des gens qui il y a encore quelques mois n’était pas dans le besoin, et oui on vie une triste époque et il serait temps qu’un homme qui se dit maçon s’en aperçoive et fasse preuve de compassion .
    Pour quelqu’un qui voit la misère ce texte est juste a vomir, on oublis que pendant la révolution ou certaines crises c’était des maçons qui distribuaient de quoi survivre ou est passé notre empathie et notre générosité sommes nous devenue si orgueilleux pour ne pas voir les choses en face ?
    Je suis comme coyote ce texte n’est même pas digne d’un travail d’apprenti !

    • 17
      Désap.
      17 février 2021 à 18h20 / Répondre

      16 – Mon TCF Boaz46, tout ce que tu décris là existaient en 14/18 et 39/45 plus …
      les bombardement, les rafales de mitrailleuses, le bruit incessant des combats (les types de 14 sont devenus fous à cause de ça) les exécutions sommaires, les famines organisées par les Allemands dans les villages de la Somme en 14/15, les rafles des nazis et de la Milice, la torture, la méfiance généralisée pcq Pétain et Laval avaient institué la délation comme devoir national, bref j’en passe, tu n’ignores rien de tout cela, enfin … comme moi tu connais l’Histoire, mais on ne l’a pas vécue !
      Non, le propos du Coyote est insupportable, il ne parle pas des étudiants qui crèvent la dalle en ce moment (ce que je ne supporte absolument pas !!) il parle de sa petit personne qui se sent agressée, pov’ choux !
      Et puis, la situation actuelle ? La situation actuelle ce n’est pas le covid19, c’est le résultat de la dérégulation depuis 25 ans, ce sont les banques, les grandes entreprises, les riches (les vrais n’est-ce-pas) qui ne paient pas d’impôts, c’est le Luxembourg qui abritent six mille cinq cents milliards d’Euros qui échappent à l’impôts des pays européens, c’est à nous que l’on a fait payer la faillite bancaire de 2008 et c’est à nous que l’on fera payer la dette covid.
      Il ne se sent pas agressé là le Coyote ? Il devrait ! On le prend pour une bille.

  • 15
    Mesureur357
    17 février 2021 à 15h12 / Répondre

    Merci Coyote d’avoir pointé les faiblesses de ce texte qui comme tu le soulignes partaient pourtant bien. Je souscris totalement à ton analyse.

  • 12
    Le Coyote
    17 février 2021 à 10h14 / Répondre

    J’ai bien lu vos commentaires Désap., Lazare-Lag et Géplu et je vous en remercie car j’avais besoin de comprendre.
    Comprendre comment un auteur (présenté par notre Administrateur préféré Géplu dont je lis les articles depuis si longtemps qui m’apprennent chaque jour) « un vieux maçon » peut, après tant d’années de travail sur lui-même, produire un texte et finir avec des mots qui me paraissaient tout sauf fraternels.

    Dans vos commentaires, j’ai retrouvé le même ton, peut-être légèrement moins agressif mais tout y est passé : de la dérision de mes propos sans prendre la peine d’argumenter, aux attaques personnelles sur chaque mot de moi que j’ai laissé entendre et pour terminer par une magnifique infantilisation « je dois avoir des enfants de ton âge ». Alors que chacun de mes propos étaient polis, portés seulement sur la raison et l’envie de construire ensemble.

    Jeune maçon je m’interroge sur mes aînés. Sur ce que la méthode maçonnique apporte réellement, sur la personne que je vais peut être réussir à devenir moi aussi, si je poursuis dans la démarche en faisant ces 43 ans de maçonnerie dont a parlé Jean-Pierre.

    Mon erreur est peut être d’attendre et d’espérer qu’on se comporte à l’extérieur comme à l’intérieur de nos loges. Plein de réflexions qui m’apportent des questions et ouvrent des portes.

    • 13
      ERGIEF
      17 février 2021 à 10h53 / Répondre

      Mon frère Coyotte, si à chaque mot que formulent tes contradicteurs tu te sens agressé c’est que tu as un sérieux problème avec ta relation aux autres. La FM ne t’aidera à le résoudre que si tu abandonnes définitivement tes métaux qui semblent être préjugés et certitudes. A moins que tu ne préfère emprunter la voie de l’erémitisme…
      Mais s’il te plaît fais preuve d’humilité et n’accuse pas les autres de tes propres maux.
      Fraternellement

    • 14
      ERGIEF
      17 février 2021 à 10h59 / Répondre

      Permets moi d’ajouter qu’il me vient spontanément à l’esprit que le choix de ton pseudo n’est pas innocent. Je ne sais pas en quoi il t’attire mais j’y vois un animal peureux, mordeur, hurleur et peu sociable , sauf quand il s’agit de chasser en meute pour manger.
      Je me trompe peut-être?

  • 10
    Lazare-lag
    16 février 2021 à 19h42 / Répondre

    @ Coyote (2 et 6):
    Si je puis me permettre, MTCF, quand on se lance dans une analyse de texte d’autrui, qui plus est du texte d’un autre frère, et qu’on se repropose jusqu’à le réécrire et suggérer des phrases entières de correction, ne se prend-on pas soi-même à son propre piège?
    C’est bien beau de suggérer, je te cite, d’écrire « sans induire de jugement et en maîtrisant ses passions », mais n’es-tu pas tombé dans les mêmes travers?
    Et ce, à supposer d’ailleurs que notre frère petit-fils de deux anciens combattants de 14 y soit tombé lui-même? Ce qui n’est pas forcément un avis partagé, loin de là.
    Es-tu bien sûr de n’émettre ainsi aucun jugement?
    Es-tu bien sûr de maîtriser ainsi tes propres passions?
    – – –
    Quand tu dis être peut-être trop sensible, est-ce là l’affirmation d’une maîtrise des passions?
    En quoi y-a-t-il, je pioche dans tes termes, dureté, agressivité, violence, et même perplexité devant ce texte dont on peut certes discuter, mais pas jusqu’à aller le casser et proposer sa reconstruction pour qu’elle puisse t’agréer?
    – – –
    Tu as dix ans, de fréquentation des colonnes et, a priori, jeune également au niveau des artères, en tout cas tu nous le laisses supposer.
    Et tu viens jusqu’à nous dire:  » Ce texte, en l’état, aurait-il pu être lu en loge ? ».
    Mais j’espère bien qu’il aurait pu, et j’espère bien que son auteur le reprendra en planche dans son propre atelier, et en fera profiter l’ensemble de ses frères, tous âges confondus.
    Car il a du sens et du fond.
    Et je peux t’assurer, mon F:. Coyote, que j’ai entendu en loge des choses un petit peu plus rugueuses que celles-ci. Et on a survécu.
    – – –
    Par ailleurs, si tu critiques un peu le style du frangin du jour, je pense que tu ne t’offusqueras pas qu’on dise un mot sur le tien?
    En espérant n’être pas catalogué ni violent, ni agressif, je m’en voudrais de traumatiser; bref tu sauras me le dire.
    – – –
    Astucieuse ta méthode:
    Pour donner du poids à ton argument, tu en changes la conjugaison.
    Frangin Papy 1900 (pas trop violent le surnom que je donne à notre échotier du jour? pas trop bousculant? ou au contraire trop affectueux, peut-être) nous dit:

    « Il serait peut-être temps d’être moins égoïste, et d’arrêter de se plaindre et de chialer ».

    Il s’agit d’une formulation générique, on pourrait même dire vu la tournure de l’ensemble de son texte, une formule générationnelle.
    Elle ne vise personne en particulier, elle ouvre un spectre.

    Toi, j’observe que tu réponds en personnalisant, en individualisant, en culpabilisant:
     » (je t’assure que lire « tu chiales pour rien » et « tu es égoïste » quand tu es « un jeune qui pleure quand il n’a pas plus de 15 likes sur sa photo Facebook »).
    Que cherches-tu alors à nous dire ainsi en abordant une sorte de victimisation, en passant d’un pluriel à un singulier?
    – – –
    J’ai peut-être un début d’explication, en tout cas il me semble.
    Tu trouves le texte de Frangin Papy très intéressant et tu dis vouloir le réutiliser à ton niveau, sauf la dernière partie.
    Bref tu apprécies favorablement ce qui est dit sur les générations antérieures, natives de 1900, et tout ce qui est historique jusqu’à la guerre d’Algérie et celle du Vietnam.
    Et en fait, tu changes d’appréciation lorsqu’apparaissent les natifs de 1985, puis ceux de 1995.
    N’est-ce pas la critique des actuels jeunes qui te dérange?
    Bref, n’est-ce pas générationnel plus que maçonnique?
    Tu dis avoir des « sensibilités littéraires et [être] porté sur la psychologie ».
    Est-ce par profession? Es-tu psychologue? Es-tu enseignant?
    Il me semble que l’expression maçonnique n’est pas de celles qu’on critique ou de manière universitaire, les colonnes ne sont pas la fac, ou par une analyse psychologique, le temple n’est pas un cabinet avec un divan.
    Elle peut se critiquer, mais peut-être pas tout à fait en gardant des réflexes professionnels, si ta profession est l’une de celles-là.
    J’espère que ces quelques remarques ne vont pas te traumatiser, MTCF Coyote, je m’en voudrais de désordonner violemment une façon de penser.
    Et si tel était le cas, j’espère que pour l’avenir, tu ne me demanderas pas de m’auto-censurer.
    Car c’est alors moi qui pourrait me sentir agressé.
    (Allez! C’est rien, juste un peu d’humour, je dois avoir des fils de ton âge).

    • 11
      GépluAdministrateur
      16 février 2021 à 20h13 / Répondre

      Merci Lazare,
      Je suis tout à fait d’accord avec toi. ?

  • 9
    Désap.
    16 février 2021 à 15h32 / Répondre

    Cette phrase « Il serait peut-être temps d’être moins égoïste, et d’arrêter de se plaindre et de chialer. » serait donc d’une rare violence
    ………… d’une rare …………. violence ………………………
    Pincez-moi de manière à ce que je sois assuré de ne pas rêver, c’est surréaliste.

  • 8
    YakaYaka
    16 février 2021 à 14h25 / Répondre

    « Les ados ne savent plus attendre » …
    mon grand-père qui était menuisier me disait que dans les années 50 lorsqu’un couple commandait une garde-robe ou un meuble de salon à son patron, il réalisait un croquis dans un petit cahier, puis en discutait avec les clients. Ensuite il commandait le bois ou se servait dans sa réserve ,et estimait le temps nécessaire à sa réalisation. Souvent plusieurs semaines, voir quelques mois … et les clients étaient heureux que ce soit si rapide.
    Aujourd’hui, me dit-il (on était fin début des années 70), les clients vont au magasin et se font livrer leurs meubles dans la semaine ; ils n’ont plus le temps d’attendre que les artisans fabriquent sur plan.
    Cette notion de vitesse (que je rencontre tous les jours en commerce) n’est donc pas si nouvelle. C’est la société de consommation qui nous a habitués à ce que tout aille vite, et nous l’avons transmis à nos enfants et petits enfants sans nous en rendre compte.
    Vous imaginez un instant que les réponses que nous postons ici prennent 3 semaines d’envois, de dépouillement et de retranscription par Geplu ?

  • 7
    Nestor MAKHNO
    16 février 2021 à 14h18 / Répondre

    Il m’arrive de penser à mon grand oncle, confiné pendant 3 ans dans une tranchée, là-bas dans les vosges ! Mais il y a longtemps.

  • 5
    Luciole
    16 février 2021 à 11h10 / Répondre

    N’est ce pas un jugement que de trouver ce texte dur,agressif et insultant? Pour ceux qui ont connu ne serait-ce qu’une partie des éléments décrits la vision que donne une partie des jeunes (et moins jeunes) adeptes du « Tout maintenant,surtout pas d’efforts et sans attendre » et des politiques jouant la carte de la démagogie à fond est assez rebutante. Je redis « une partie des jeunes » qui met sur le même plan « Ne pas voir les copains » et subir 4 ans d’occupation militaire.

  • 4
    Choplin Jean-Pierre
    16 février 2021 à 10h50 / Répondre

    Non mon cher Frère « Coyote » je ne trouve pas du tout que la fin soit ni agressive, ni insultante. Notre Frère rédacteur inconnu, malheureusement, dit tout simplement une réalité dommageable, il ne juge pas, il constate que malgré certains désagréments nous vivons mieux, matériellement, que nos ancêtres. On trouvera toujours des gens qui se plaignent, ceux-ci devraient regarder autour d’eux et ils constateraient que nous sommes privilégiés à notre époque. On a toujours tendance à regarder les petits riens qui nous chagrinent sans voir à côté tout ce qui fonctionne relativement correctement. Le verre à moitié vide ou à moitié plein? De quel(s) principe(s) Maçonnique(s) parles-tu? Après 43 ans de Maçonnerie je ne vois pas en quoi ce Frère a enfreint un quelconque principe. Fraternellement. Mon nom apparaît en clair sans pseudonyme.

    • 6
      Le Coyote
      16 février 2021 à 12h06 / Répondre

      Ton point de vue m’intéresse Jean-Pierre car je suis un jeune maçon par l’âge réel (comme maçonnique : 10 ans). J’ai des sensibilités littéraires et porté sur la psychologie, peut-être suis-je trop sensible.

      Mais tu vois, l’idéal que je me fais de la Maçonnerie, c’est qu’un de ses membres ne finisse pas un texte… qu’il soit destiné au public ou non… par des mots comme « égoïstes » ou « chialer », quand il désigne d’autres personnes.

      Exercice linguistique auquel je propose de se livrer :
      — la même idée n’aurait-elle pas pu mieux passer et être moins blessante pour les concernés (je t’assure que lire « tu chiales pour rien » et « tu es égoîste » quand tu es « un jeune qui pleure quand il n’a pas plus de 15 likes sur sa photo Facebook ») en tournant les choses comme par exemple :

      « Au regard de cette génération de 1900 qui a vu plusieurs guerres et des malheurs allant jusqu’à remettre la vie elle-même en question… Je cherche à comprendre comme les mêmes êtres humains et vu la période de Paix que ceux nés après 1995 ont vu ils en arrivent à penser qu’e des choses qui m’apparaissent comme moins important que ceux cités… sont au final la fin de leur monde… »

      Plutôt qu’un version stéréotypée, généraliste et incomprise de ce qui fait la réalité des jeunes, en parlant d’Amazon et Facebook.
      Et finissant sur un « temps d’être moins égoîste, arrêter de se plaindre et chialer ».

      Si tu ne perçois pas la rare violence de ces mots Jean-Pierre, je suis perplexe.
      Si tu ne comprends pas ce que j’ai voulu dire sur l’engagement du maçon qui vise à « maîtriser ses passions » (verbales entre autres), je soumets à ta réflexion celle-ci :

      Ce texte, en l’état, aurait-il pu être lu en loge ?
      En face de jeunes apprentis ? Et l’Égrégore, la Fraternité et la Paix Intérieure vers laquelle nous souhaitons tendre aurait-elle profité de cet apport en l’état ?

      Je cherche à comprendre et merci de ton point de vue qui me porte à réfléchir.

  • 3
    réboussié
    16 février 2021 à 10h30 / Répondre

    ce sont les mêmes qui veulent supprimer l’histoire ..pour la remplacer par quoi ???? question à l’étude des ….le masque ? pour cacher quoi ??? le coté symbolique , le mystère ? ça devait nous réunir ?? nous réunir ? c’est une image bien sur ….
    merci au « vieux frère » , donner à réfléchir ? n’est ce pas un des fondements de notre start-up ?

  • 2
    Le Coyote
    16 février 2021 à 10h16 / Répondre

    Le début de l’analyse et la mise en perspective est vraiment intéressante. Je pense même qu’il va m’arriver de la reprendre en loge pour élargir le débat (« réfléchissons un instant et relativisons par rapport à quelqu’un né en 1900 qui… ») Elements portés à ma réflexion dont je remercie l’auteur.

    Au centre du texte on passe de la raison à l’émotion avec un jugement sur des situations visiblement peu comprises sur des stéréotypes du genre c’était mieux avant (un de nos principe fondateur n’est il pas l’acceptation, totale, de l’Autre et l’absence de jugement sur la manière dont il conduit sa vie ?)

    Et je vois finir cette réflexion qui avait pourtant brillamment commencée par des mots durs, agressifs et qui seront perçus par beaucoup comme insultants. Tout ce que notre démarche maçonnique travaille à améliorer.

    N’y aurait il pas eu un moyen d’écrire ce texte, cette pensée en respectant les principes maçonniques ? En portant à la réflexion des lecteurs, sans induire de jugement et en maîtrisant ses passions ?

  • 1
    Annwn
    16 février 2021 à 6h34 / Répondre

    Pathétique !

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