Un Franc-Maçon dans la tourmente

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

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mardi 3 avril 2007
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  • 3
    Philippe
    4 avril 2007 à 9h06 / Répondre

    Concernant l’une des obédience et « le surtout pour l’un des deux » il voyagait beaucoup à l’époque au USA avec le Grand Commandeur de son Obédience, invités ( hé oui ) tous les deux par des Suprêmes C …  » réguliers »
    En bas on se doit de s’ignorer en haut on s’embrasse !!!
    Peut être que le Grand Chancelier a voulu jouer au Calife qui, eux,n’ont pas été contents !!!
    Tout cela est vraiment sans intérêt pour notre démarche maçonnique, le très petit bout de la lorgnette, qui n’en existe pas moins !!!

  • 2
    EMEREK
    3 avril 2007 à 21h36 / Répondre

    Je n’ai pas lu le livre mais l’histoire, entrevue dans le résumé, me semble exemplaire

    Est-ce que lorsque l’on est maçon « rassembler ce qui est épars » n’est pas un bon projet fraternel. ?
    S’agit il, en cela, d’une « magouille » ou d’un comportement:
    « machiavélique » ?
    Ce frère était, semble-t-il, Grand Chancelier, c’est-à-dire un peu comme un
    « ministre des affaires étrangères ».Qu’il ait tenté de se rapprocher des États-Unis peut sembler normal dans ce genre de fonction. Il ne faut pas oublier que, aux Etats-unis, la juridiction sud est le premier Suprême Conseil du monde et donc un peu la « loge mère »du rite écossais ancien et accepté, rite que pratique la Grande Loge de France.
    Peut on critiquer un désir de renouer avec ses racines…. ?
    Mais, à mon avis l’intéressé a dû très mal tomber…Essayer de renouer avec les Etats-unis en pleine période de « la maçonnerie française » cela ne pouvait que déplaire aux deux grands maîtres de la Grande Loge et du Grand Orient de l’époque(dont je tairai les noms très connus surtout pour l’un des deux) .L’un et l’autre ne pouvaient laisser passer cela et ont probablement fait ce qu’il fallait pour que l’affaire capote et que le « Yalta » maçonnique conclu se maintienne…

    Mais tout compte fait, ces Grands Maîtres ont rendu,sans le savoir, un fier service au rite Ecossais et à la maçonnerie en général .Lorsque l’on voit aujourd’hui ce qu’est devenue cette maçonnerie américaine ,on ne peut que pousser un « ouf » de soulagement.

    Ce rendez vous manqué n’en sera que profitable..
    La « maçonnerie Française » c’est déjà de l’histoire ancienne …oubliée.
    La maçonnerie Européenne, fidèle à la tradition et non déposée à l’INPI :
    c’est aujourd’hui et pour demain….

  • 1
    Michel L. Brodsky
    3 avril 2007 à 17h42 / Répondre

    Excellent commentaire à propos d’un auteur qui a fait plus de mal a lui seul que toute la FM française ces cinquante dernières années; Le récit de la
    séance où il a été convaincu de mensonges devant toutes les gL américaine est un délice.

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