UN Jacques Fontaine

UN, le nombre fantôme dans nos rituels. Mais demain ?

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vendredi 20 septembre 2019
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  • 6
    Fontaine Jacques
    23 septembre 2019 à 17h46 / Répondre

    À Yasfaloth, en réponse ouverte ses lignes du 20 septembre; Mon Frère, tu me blesses vraiment avec ton jugement lapidaire. Tes mots visent le texte mais moi aussi . Je suis désappointé de lire ces insultes car je crois, et d’autres aussi, que je ne suis pas »en déroute », « onaniste,, « comique, en dérive new-âge…Un de nos préceptes est « connais-toi toi-même. Alors je te propose de te poser deux questions qui peuvent t’aider, car elles portent sur TES émotions et non sur des raisonnements : 1) Demande -toi ce qui repousse intérieurement , dans l’article, à réagir ainsi. 2)Interroge-toi : pourquoi j’ai besoin d’agresser l’autre anonymement? Quelle déchirure au fond de moi?. Quelque soit l’âge, et le tien est avancé, nous avons toujours à progresser dans la découverte de nos démons ». Je ne retiens pas ta méchanceté mais ton audace. Sois donc assure ,à défaut de mon affection, de ma fraternité inaltérable; Jacques

    • 8
      de Flup
      23 septembre 2019 à 20h02 / Répondre

      Mon très cher Fr.,tu ne devrais pas te sentir blessé:c’est celui qui t’insulte qui a des problèmes,c’est lui qui porte une plaie…

  • 5
    Camille
    22 septembre 2019 à 18h16 / Répondre

    Unité ou unicité? Mon TCF Jacques, je ne vois pas dans ton texte le mot « unicité ». Or, la formule « Un le Tout » qu’on trouve au 1er degré se réfère à l’unicité et non à l’unité. Cela fait toute la différence, car l’unité appelle irrésistiblement la dualité et la suite des nombres, le discontinu, le limité, le fini (ou tout au plus l’indéfini: cf. Guénon!), le temps, etc. Alors que l’unicité exclut tout nombre et se réfère au continu, à l’infini, à l’éternel.

  • 1
    yasfaloth
    20 septembre 2019 à 9h19 / Répondre

    Les déblatérations d’un maçon en sortie de route… je ne vois rien d’insolent, juste peut être, par moments… comique… c’est juste une compilation de dérives new-age, de scientisme, d’idées pseudo politiques et d’onanisme intellectuel : relire Jean Verdun : « vertige des intellectuels séparés » !

    • 2
      de Flup
      20 septembre 2019 à 14h15 / Répondre

      « onanisme…dérives »Qu’advient il du respect maçonnique que nous devons avoir pour le travail des autres, même s’il n’y a pas correspondance avec notre propre approche?

      • 3
        Maxime
        20 septembre 2019 à 17h34 / Répondre

        Tu vois, mon Frère Jean-Jacques, c’est à ce genre de réflexion que mène le Rite Français quand il est vulgarisé à l’extème.
        Je suis un héritier de Guilly et de Zavaro, mes maîtres dans ce domaine.
        Pour un athée, comme moi, le rituel est le « feu de camp » de ma jeunesse, ce que les croyants nomment « l’égrégore »
        Rien de mystique, simplement la communion avec la nature dont nous sommes un élément
        Il ya, dans ton texte, plein de choses qui me plaisent…et d’autres qui me déplaisent.
        La vie a inventé le(s) sexe(s), donc l’évolution, sinon nous serions encore des amibes siscipares et/ou éternelles.
        Et je te l’ai déjà dit, pour moi GADL’U signifie « Grande Architecture de L’Univers », c’est un féminin, et je n’ai rien à cirer d’un hypothétique archi … tecte.
        Pour ne pas être trop long : Le GIEC me rappelle étrangement mes prises de bec avec un certain « professeur » PELERIN, tu sais, celui qui prétentait que le nuage de Tchernobyl n’avait pas franchi la frontière.
        3 BBB

        • 4
          lazare-lag
          21 septembre 2019 à 17h03 / Répondre

          Je ne suis pas tout à fait certain que le fait, en maçonnerie j’entends, d’utiliser le terme « égrégore », catalogue ipso facto l’utilisateur du mot comme croyant.
          J’ai pour ma part appris le terme et le concept dans ma loge mère, du G.O.D.F.,rite R.E.A.A., de FF:. qu’on ne peut pas explicitement considérer comme croyants,ils en seraient eux-mêmes surpris, et chaque fois qu’un développement a pu être fait en ma présence autour de cette notion d’égrégore, en loge bleue, comme ailleurs, il ne m’est jamais venu à l’esprit qu’elle puisse être évoquée sous l’angle d’un quelconque rapport à une religion, si l’on part du principe que, lorsqu’on parle de croyants, on aborde une croyance à une quelconque religion, à une foi déïste.

          • 7
            Maxime
            23 septembre 2019 à 19h39 / Répondre

            Je te demande d’essayer de comprendre ce que je’écris, pas ce que tu crois lire.
            Donc, pour que le mot ait le même sens pour nous deux, je te suggère d’ouvrir un dictionnaire.
            Mais je peux me tromper.

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