Un livre, un auteur: Jean Jacques Zambrowski

Publié par Jiri Pragman
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dimanche 13 octobre 2013
  • 19
    Ronan
    16 octobre 2013 à 14h35 / Répondre

    « la nouvelle Grande Loge de France qui comprend ainsi désormais toutes les Loges de France travaillant au Rite Écossais »…

    Il doit y avoir un aspect qui m’échappe dans l’articulation du raisonnement.
    Je ne citerai pour mémoire que la loge « Les Zélés Philanthropes » à l’Orient de Paris, GODF, qui a toujours travaillé au… REAA.

  • 18
    G.Verval
    14 octobre 2013 à 19h11 / Répondre

    Le Dr George Martin (1844-1916), athée et rationaliste, fut initié le 21 mars 1879 dans une loge du SCDF (Union et Bienfaisance), quelque mois avant que celle-ci et 8 autres constituent la Grande Loge Symbolique Ecossaise, officialisée le 24 août 1880.

    Préambule : le ternaire républicain, le progrès humanitaire, la souveraineté du peuple maçon,, élections libres et annuelles, limitation des mandats, représentativité des loges, égalité des loges et des Frères, limitation aux trois premiers degrés, interdiction des questions politiques et religieuses mais non des questions sociales. La GLSE proteste de son attachement au REAA mais se base sur le principe : le maçon libre dans la loge libre.
    Déclaration de principes : liberté de conscience
    Principes généraux : indépendance des loges par rapport aux hauts grades, indépendance des loges dans leur vie quotidienne, le convent et la GL prennent en charge les intérêts collectifs.
    71 articles : pas de GM mais un président, représentation permanente…

    Le 7 novembre 1880, Martin en est élu président pour l’année suivante avec G.Mesureur comme orateur. Le 12 septembre 1881, la GLSE rejette la demande des Libres Penseurs (du Pecq, fondée en 1880) d’initier des femmes (proposition de Houbron et Goumain-Cornille). Le 28 septembre : la loge du Pecq sort de l’obédience de la GLSE et reçoit, le 25 novembre, une demande d’initiation de Maria Deraismes. Le 9 janvier 1882, la GLSE annonce que la loge du Pecq, Les Libres Penseurs, n’est plus membre de la GLSE, car elle avait introduit dans son règlement des articles fixant les conditions d’admission des femmes.

    Règlement particulier
    de la
    La Loge maçonnique N°13
    Les libres penseurs du Pecq
    * * *

    Art. Addionnel
    Admission des femmes au sein de la L.

    Confiants dans la Déclaration d’autonomie inscrite en tête de la Constitution
    de la Gr\ L\ Symb\ Ecossaise, Chap\ 1° Art\ 2 et en vue de l’émancipation
    intellectuelle de la femme, comme aussi de l’extinction du cléricalisme. Les
    libres penseurs ont le 6 mai dernier, fait part à la Gr\ L\ de l’intention
    qu’ils ont, d’Initier les femmes aux travaux maçonniques, de les acceuillir ensuite
    dans leur at\ comme franches maçonnes afin de participer à leurs travaux
    et sur le pied de la plus parfaite Egalité. Persuader que la Gr\ L\ sanctionnera
    cette idée, et en conséquence, les libres penseurs ajoutent à leur règlement
    les paragraphes suivants qu’ils supposent de nature à donner satisfaction
    à tous les intérêts à quelques titres que ce soit.

    Art\ 1er.
    En vue de l’émancipation intellectuelle de la femme et de la destruction
    des préjugés anti-sociaux qui l’entravent, les femmes sont admises à l’Initiation maçonnique dans la L\ les libres penseurs du Pecq.

    Art\ 2.
    La femme qui sollicitera cette faveur devra à cet effet être
    proposée par son père, son frère,(ce mot civilement entendu) son mari, ou à
    défaut par sept M\ de la L\ possédant le Gr\ de M\

    Art\ 3.
    Si elle est mariée elle devra produire un acte authentique et civil de son
    mariage, et une attestation de son mari affirmant qu’il désire que sa femme
    fasse partie de la franc-maçonnerie. Si elle n’est pas mariée cette dernière
    formalité sera remplie, par le père, le frère, ou les sept membres de l’at\ désignés
    en l’art\2.

    Art\ 4.
    Les conditions pour l’admission qui sont définies au Chap\ 3
    art\ 19,20,21,22 et 27 de la Constitution de la Gr\ L\ Symb\ Ecossaise
    seront formellement et rigoureusement respectées.
    Le prix des Initiations féminines est le même que celui fixé en l’art\7.

    Extrait certifié conforme à l’original (déposé en décembre 2011 au service des archives privées des Archives Nationales de Paris au bénéfice de l’OMMIDH)

    Grâce à cela, le 14 janvier 1882, Maria Deraismes est initiée par la loge du Pecq (VM : Houbron), en présence de Georges Martin, membre de la commission exécutive, qui prend la parole pour désavouer la GLSE qui a violé le principe du maçon libre dans la loge libre.
    La GLSE est saisie du cas Martin qui a assisté à l’initiation de Maria Deraismes Il n’y aura pas de suite.
    Le 23 juillet, la GLSE reçoit une demande de réintégration de la loge du Pecq, par 14 membres hostiles à l’initiation des femmes. La loge est réintégrée le 8 août sans qu’il soit encore fait mention de Maria Deraismes.
    Martin ne semble pas s’en formaliser puisque il est, le 11 décembre, réélu membre de la commission administrative alors que Mesureur en est élu président (Mesureur sera plus tard grand maître de la GLDF). Par contre, Houbron démissionne le 13 décembre. Il sera radié peu après pour avoir conservé les archives de la loge.

    Le 8 mai 1886, La Jérusalem Ecossaise dont le VM est G.Martin adopte un projet de statuts de constitution d’ateliers mixtes, projet refusé par la GLSE.
    Le 6 juillet Goumain-Cornille, Martin, Andrieu et Schaeffer demandent l’admission des femmes en FM. Ils ne se présentent pas à la réunion de la commission exécutive de la GLSE. Celle-ci refuse le projet. Donc par deux fois, la GLSE a refusé le projet d’initiation des femmes avant que Martin ne passe outre et ne crée le DH

    Après avoir essuyé les refus à deux reprises de la GLSE de laisser le libre choix à chaque Loge d’initier et d’accepter des femmes , Georges Martin crée en avril 1893 avec Maria Deraisme une nouvelle Loge Mixte la GLSE de France le Droit Humain et ils initient des femmes…
    Ils choisissent de travailler au REAA.

    Le 4 mars 1893, M.Deraismes réunit dans son salon, rue Cardinet (17°), plusieurs femmes de grande valeur. Le 14 mars, en présence de G.Martin, elle initie 17 femmes (dont Clémence Royer, Anne Feresmes-Deraismes, Marie Pierre, Marie Georges Martin) au 45, rue de Sèvres, chez Marie Becquet de Vienne. Le 24 mars : Elle leur confère le 2ème degré. Le 1er avril, Elle leur confère le 3ème degré et Martin est affilié.

    Le 4 avril : Fondation de la Grande Loge Symbolique Ecossaise de France, Le Droit Humain.
    VM d’honneur : Clémence Royer- VM titulaire : Maria Deraismes – 1er S : Marie Bequet de Vienne – 2ème S : Marie Georges Martin – Or : Georges Martin – Sec : Maria Martin – Très : Anne Feresse-Deraismes – Hosp : Levy-Maurice – Exp : Julie Pasquier – 1er Exp : Floretine Mauriceau – 2ème Exp : Eliska Vincent – M. des Cér : Louisa Wiggishoff. Plus les App. Maria Pognon et Marguerite Cremnitz.
    1899

    L‘année suivante, le 7 novembre 1894, le Suprême Conseil de France (le masculin !) décide de fédérer les ateliers du 1er au 3ème degré.er de leur donner le droit de s’administrer eux-mêmes. La Grande Loge était née. Elle sera établie officiellement le 23 février 1895. A la suite de pourparlers d’entente, la Grande Loge Symbolique Écossaise, créée en 1879, se réunira, en 1896, à la nouvelle Grande Loge de France qui comprend ainsi désormais toutes les Loges de France travaillant au Rite Écossais.

  • 17
    Paperette
    14 octobre 2013 à 17h26 / Répondre

    Si les Frères de la GLDF sont tellement opposés à la mixité, pourquoi fréquentent-ils si assidûment les loges féminines (ou mixtes)?
    quant à recevoir les Soeurs dans certaines cérémonies, c’est à condition qu’elles ne portent ni tablier ni sautoir; Pour moi, c’est une variante des tenues blanches ouvertes; nous ne sommes pas reconnues comme telles.

  • 16
    niaclabut
    14 octobre 2013 à 15h42 / Répondre

    Il y a décidément sur le site des écorchés vifs qui ne parviennent pas à vaincre leur passion.

  • 15
    eMeReK
    13 octobre 2013 à 21h00 / Répondre

    Après le Bashing Dachez,voici poindre le Bashing GLDF …

    Sympa…. on ne s’ennuie pas en ce moment….

    Je dirai simplement que le REAA est à l’origine du DH et de la GLFF …
    après….. discussion du sexe des anges ..pardon du genre des anges ….. 😉

  • 14
    dld
    13 octobre 2013 à 20h50 / Répondre

    « Je ne mettais bien sûr pas en cause l’intervieweur, mais le premier commentaire… »
    Et moi je mets en cause tes commentaires qui n’apporte rien au débat !

  • 13
    dld
    13 octobre 2013 à 20h49 / Répondre

    Quelle proxénétisme ? Les Soeurs de la future GLFF ne se sont pas retrouvées sur le trottoir de la rue de Puteaux quand on leur a fermé les portes des temples ? Si c’est l’interprétation que tu en fais, merci de ne plus me répondre.

  • 12
    Yasfaloth
    13 octobre 2013 à 20h30 / Répondre

    @Jiri

    « Quant à l’interviewer, il ne peut être suspecté d’hostilité envers la GLDF. « 

    Je ne mettais bien sûr pas en cause l’intervieweur, mais le premier commentaire…

    Bonne soirée

  • 11
    Yasfaloth
    13 octobre 2013 à 20h26 / Répondre

    @Jiri

    J’ai beau réécouter l’interview…

    Question de Jacques Carletto :

    « Certaines frères de certaines obédiences disent que ne pas initier les sœurs ne pas les recevoir c’est faire preuve de passéisme, c’est ne pas reconnaitre les femmes et d’une certaine façon les maltraiter… »

    Désolé, mais je n’arrive pas à voir la « noyade de poisson » dans la réponse…

    Quand à utiliser des termes issu du proxénétisme à notre encontre, pour moi il s’agit d’une insulte minable, et cela disqualifie la personne qui s’y adonne, point.

    Sur le plan historique, effectivement… je ne sais pas comment s’est passé (en détail) la fondation de la Glff… je poserai la question lors de ma prochaine visite dans cette obédience, mais je doute très fortement que les sœurs fondatrices y aient été « obligées », et rêvaient de prolonger la situation qui prévalait avant la guerre…

    De toute façon, l’important c’est notre état d’esprit aujourd’hui vis à vis des femmes : il est parfaitement fraternel, je suis certains que la plupart des frères de la Gldf les reconnaissent comme « maçons » à part entière… simplement nous avons choisi la non-mixité, et personnellement j’y tiens beaucoup, je me suis déjà assez exprimé sur ce sujet.

    Cordialement

  • 10
    dld
    13 octobre 2013 à 19h43 / Répondre

    Yasfaloth, il n’y a rien d’insultant, je ne fais que rappeler quelques points d’Histoire (avec un grand H), Histoire que la GLDF et ses dirigeants utilisent comme bon lui semble et dans le sens qui l’arrange. Peux-tu, de ton côté, me prouver la filiation entre DH et GLDF ? Non. Peux-tu me prouver que les Soeurs des loges d’adoption n’ont pas été virées ? Non plus. Parce que l’Histoire a parlé dans ce sens.

  • 9
    Jiri Pragman
    13 octobre 2013 à 19h10 / Répondre

    Il ne lui était pas demandé de se lancer dans une exégèse d’une demi-heure mais de répondre à une question sur les Frères, pas de noyer le poisson en se servant des Soeurs.

    Quant à l’interviewer, il ne peut être suspecté d’hostilité envers la GLDF.

  • 8
    Yasfaloth
    13 octobre 2013 à 19h06 / Répondre

    @Jiri

    Bah, bien sûr, il lui fallait se lancer dans une exégèse historique d’une demi heure; peut être… comment ne pas prendre de raccourcis dans une interview de ce genre ? De toute façon quand on cherche prétexte à des discours haineux on en trouve toujours… les termes insultants de Dld en sont la preuve !

    Une fois de plus un dignitaire de la Gldf se retrouve rassembleur et fraternel et il est quand même pris à parti… c’est sans doute une habitude à prendre…

    Cordialement

  • 7
    Annie 78
    13 octobre 2013 à 11h48 / Répondre

    Ne pas oublier le rôle de Georges Martin et de ses frères, de la loge des libres penseurs du Pecq de la GLSE. Abusif de prétendre que c’est la GLDF qui est à l’origine de la création du DH mais c’est bien des Frères de l’ancêtre de la GLDF qui sont à l’origine de la création du Droit Humain.

    C’est l’histoire, rien à faire contre ça ! Et réhabiliter Houbron ! super idée.

  • 6
    JB Bienvenue
    13 octobre 2013 à 10h54 / Répondre

    Il serait peut-être bon, à propos de l’Initiation de Maria Deraismes, d’évoquer un personnage trop oublié, Houbron, le Vénérable de La Loge «Les Libres penseurs» à l’Orient du Pecq qui avait procédé à cette Initiation.

    Après la réintégration de la Loge dans la GLSE, Houbron fut radié, non pour le fait même, mais pour avoir refusé de brûler le livre d’architecture qui le relatait.

    Ne serait-il pas temps de réhabiliter Houbron, exclu comme un malfaiteur, et de lui restituer « post mortem » sa qualité de maçon ? S’il en a été privé, c’est certes « de plein droit » puisque conformément au RRRèglement (Galilée avait aussi été condamné « de plein droit »). Mais en fait, l’intention d’une sanction aussi disproportionnée ne pouvait être que de le punir de sa « dérive idéologique ».

    La maçonnerie ne s’honorerait-elle pas en accomplissant un tel « devoir de mémoire »? Qui en prendra l’initiative? Pourquoi pas la GLdF, puisqu’elle entend maintenant annexer l’histoire de la GLSE ?

    Rêvons un peu : de la part des Obédiences libérales masculines, ne serait-ce pas une manière décente de reconnaître l' »erreur historique » qu’elles ont commise pendant tant d’années – non pas en refusant d’initier des femmes, ce qui est sans doute leur droit le plus strict, mais en proclamant le dogme que toute initiation non masculine ne pouvait être reconnue comme régulière ni instituer un maçon ? (erreur à laquelle elles ont, depuis, implicitement renoncé en reconnaissant DH et GLF).

     » Si quelques Frères nous reprochaient notre manière d’envisager la Franc-Maçonnerie et nos devoirs disciplinaires, nous répondrions que nous considérons l’obéissance passive à la discipline comme une atteinte à la liberté, d’autant plus dangereuse dans notre Société qu’elle peut avoir pour conséquence de s’opposer à la marche du progrès dont elle a toujours été et est encore le drapeau « .
    (extrait du discours du Frère Houbron, le 14 janvier 1882, à l’occasion de l’Initiation de Maria Deraismes)

  • 5
    dld
    13 octobre 2013 à 10h24 / Répondre

    Sur le trottoir de la rue de Puteaux, en leur fermant les portes des temples, voyons… 😉

  • 4
    Jiri Pragman
    13 octobre 2013 à 10h07 / Répondre

    Je cite: les soeurs sur le trottoir. N’exagérons rien: la GLDF ne donne quand même pas dans le proxénétisme.

  • 3
    dld
    13 octobre 2013 à 10h00 / Répondre

    Ce sont surtout exactement les mêmes termes qu’Alain Noel Dubart avaient sortis il y a deux ans dans un journal de l’océan indien et qui avait donné lieu à débat déjà (« nous sommes à l’origine du DH et de la GLFF)
    Pour le DH : non, pour la GLFF, oui, mais après avoir mis les soeurs sur le trottoir. Soyons réalistes !

  • 2
    Jiri Pragman
    13 octobre 2013 à 9h34 / Répondre

    Effectivement, le Grand Chancelier m’avait semblé très fort dans le bottage en touche et beaucoup moins en histoire maçonnique. Les précisions étaient les bienvenues. Il est toujours dommage de voir l’histoire malmenée pour servir ses thèses.

  • 1
    dld
    13 octobre 2013 à 9h30 / Répondre

    « Le Grand Chancelier fait appel au caractère traditionaliste de l’Obédience et revient sur son rôle dans l’initiation de Maria Deraismes, la création de la GLFF »

    LOL !

    Maria Deraismes : elle a été initiée dans une loge libre qui s’est séparée de la GLSE afin de pouvoir justement l’initier en toute tranquillité. MD a par la suite démissionnée de sa loge afin que cette dernière puisse rejoindre son obédience. Petit rappel : la GLSE a été fondée par des Frères en rupture de ban avec le SCDF (qui lui reprochait le contrôle complet du 1er au 33e), le DH a été fondé en 1893 avec l’aide de personne (seuls de Frères issus de la GLSE), et aucunement du SCDF et la GLDF en 1894 par l’autonomie accordée par le SCDF à ses loges bleues ainsi qu’une grande partie des loges de la GLSE (encore masculine) et après que ces dernières aient obtenu un grand nombre de concessions du SCDF (dont : pas de bibles sur l’autel des serments, pas d’invocations au GADLU… ce qui a bien changé depuis !). Donc comment la GLDF a pu initier MD alors que l’obédience a été fondée 11 ans après son initiation !!!!!

    La GLFF : la GLDF a été OBLIGÉE d’intégrer les sœurs de la GLSE mixte et maintenue dans des loges d’adoptions recréées pour cela (elles avaient trois choix : partir, le DH ou les loges d’adoptions). La GLDF créera pour elles un rite d’adoption rénové (dont l’auteur est Oswald Wirth). À plusieurs reprises, la GLDF a essayé « d’accorder leur indépendance » à ces loges (en fait a essayé de les virer à grands coups de pied dans le derrière) dans les années 30 afin d’obtenir la reconnaissance anglaise. Elles refuseront, ne se sentant pas prêtes. Elle les virera finalement manu militari en les mettant sur le trottoir en 1945 !

    Traditionaliste : très progressistes, encore plus progressiste que le GO en 1894 (cf ci-dessus) !

    Ah, révisionnisme historique de la GLDF, quand tu nous tiens !

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