GCRE Convent Lausane 050925

Colloque « Le Convent de Lausanne »

Publié par Géplu
Dans Divers

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vendredi 20 juin 2025
  • 5
    Yasfaloth
    20 juin 2025 à 11h42 / Répondre

    L’un des points fondamentaux des conclusions du Convent de Lausanne (qui ne concerne que le REAA il faut le rappeler), et celui qui est à l’origine des césures qui ont suivies, me semble avoir été l’abandon de fait de l’obligation de croyance en une « vérité révélée ». L’agent de cette révélation étant évidemment les Prophètes des 3 « Religions du Livre ». Ceci permettant l’acceptation des déistes, généralisée plus tard aux polythéismes et aux conceptions monistes.
    .
    Pour ce qui concerne la question des inter-visites au SCDF je ne m’aventurerai pas sur ce terrain miné.

  • 4
    ERGIEF
    20 juin 2025 à 8h06 / Répondre

    Je profite de cette tribune pour rappeler que le département du Gard 30 a donné à quelques décennies d’intervalle deux grands hommes à la Franc Maconnerie : Adolphe Cremieux et Frédéric Desmond.

  • 3
    ERGIEF
    20 juin 2025 à 7h57 / Répondre

    1@YVAN D’ALPHA Puis-je faire remarquer, sans esprit polémique, que si le SCDF reçoit les visiteurs de la GL-AMF, ce ne peut-être au titre de leur appartenance à cette obédience mais à la juridiction du SCPLF. Cette distinction est impérative en raison du 5e Landmark, réaffirmé à Lausanne, en même temps qu’Adolphe Cremieux faisait adopter la définition du GADLU qui s’impose depuis lors.: un Principe créateur. Ce dernier point étant sans aucun doute la décision la plus conséquente de ce convent « fondateur ».

  • 2
    Pierre MOLLIER
    20 juin 2025 à 7h01 / Répondre

    Oui, pour le Grand Collège des Rites, ce n’est pas une célébration, mais un temps de d’études et de réflexions sur un événement qui, à tort ou à raison, est considéré aujourd’hui en France comme une étape dans l’histoire du REAA. Rappelons que le Grand Collège des Rites, qui était le correspondant traditionnel du Suprême Conseil de la Juridiction Sud en France, s’en est vu écarté à la suite de sa reconnaissance du Suprême Conseil de Louisiane. Un « casus belli » pour les Américains. L’habileté de cet homme exceptionnel qu’était Adolphe Crémieux a pu opérer une sorte de retournement d’alliance et faire du Suprême Conseil de France l’acteur central de cette tentative d’organisation internationale écossaise. Tentative qui a d’ailleurs, à l’époque, échoué puisque plusieurs des participants majeurs n’ont finalement pas souscrit à ses conclusions et puis sont retirés du projet.

  • 1
    Yvan d'Alpha
    20 juin 2025 à 0h11 / Répondre

    Certes, le Suprême conseil écossais du Grand Orient est la seule véritable survivance du suprême conseil du 33e degré originel de 1804, puisque ses ateliers ont travaillé sans discontinuer dans la structure, même si elle a changé de nom.
    Mais c’est quand même curieux d’organiser un colloque sur un convent de Lausanne auquel il n’avait pas participé.
    Ceci dit, la structure représentant la France à ce convent, le SCDF, se présente comme celui de 1804 alors qu’il a été créé en 1821 et que ces ateliers minoritaires étaient léthargiques entre 1815 et 1821.
    Autre curiosité : le suprême conseil du GODF reçoit en visite les membres des suprêmes conseils du DH, de la GLMF et depuis peu de la GLFF alors que de son côté, le SCDF reçoit les frères visiteurs de la GLAMF et de la GLTSO je crois.

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