Et Tartuffe ? Le pauvre homme !

La « stratégie » de Mélenchon et de LFI est maintenant bien connue : tout conflictualiser, l’important étant qu’on parle d’eux, en bien ou en mal. Pour les anti-maçons, si les Franc Maçons n’aiment pas Mélenchon c’est qu’il mérite qu’on s’intéresse à lui !
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En appliquant ce genre de méthodes à de multiples domaines de la vie publique, c’est comme cela qu’il se bâti un courant toujours plus large de sympathie… tout en mettant ses contempteurs sur la défensive.

Je trouve très inquiétante la dérive de Mélenchon vers une extrémité dans laquelle il semble assimiler l’islam radical des banlieues à un nouveau prolétariat. C’est une confusion qui nuit à son message.
Donc merci à Geplu pour avoir diffusé cette contribution.
Néanmoins, je pense qu’il aurait été bien plus judicieux de ne pas l’accompagner de la photo la plus moche de Mélenchon qui était disponible. C’est petit et surtout caricatural. Et c’est une attitude assez répandue dans la presse, qui d’ailleurs en fait autant pour Donald Trump.

Bonjour,

La France Insoumise (LFI) constitue un véritable danger pour l’avenir de la France. Compte tenu de l’implication politique avérée de la Franc-Maçonnerie française sur de multiples scènes, il serait credible qu’elle prenne position et agisse publiquement contre eux.

Bonne fin de semaine.

A 2 « LFI et/ou RN/FN sont à regarder avec la plus grande méfiance ». Je suis d’accord avec toi mon cher Lazare-lag. Ainsi que le disent volontiers les vieux paysans provençaux rusé et naïf (ils savent, mais ils ne savent pas qu’ils savent, pour ainsi parler), « Si le renard perd ses poils, il ne perd pas ses vices ».😊

Le propos d’Arno Klarsfeld : « Aujourd’hui, c’est La France insoumise qui est d’extrême droite » prend tout son sens. De même que l’appellation « islamo-gauchiste » en ce qui concerne LFI mentor – le F Mélenchon

« LFI ne peut plus être considéré comme un parti républicain. » J’en conviens sans restriction aucune.

Cela posé au cas où La France Insoumise serait désormais considérée comme représentant un danger – quel qu’il soit – pour la nation,

le conseil des ministres peut, par décret, décider de la dissolution du mouvement au nom de l’article L212-1 du code de la sécurité intérieure.

Article L212-1 du code de la sécurité intérieure

Le conseil des ministres peut, par décret, décider de la dissolution de certains mouvements au nom de l’article L212-1 du code de la sécurité intérieure.

Le texte est issu de la loi du 10 janvier 1936 sur les groupes de combat et les milices privées. Il vise les groupes armés ou paramilitaires, les groupes terroristes, mais prévoit aussi la pénalisation des incitations à la discrimination, à la haine et à la violence.

Il existe différents motifs pouvant entraîner la dissolution. Sont visés notamment les groupes :

1. « Qui présentent, par leur forme et leur organisation militaires, le caractère de groupes de combat ou de milices privées. »
2. « Qui ont pour but de porter atteinte à l’intégrité du territoire national ou d’attenter par la force à la forme républicaine du gouvernement. »
3. « Dont l’activité tend à faire échec aux mesures concernant le rétablissement de la légalité républicaine.
4. « Qui, soit provoquent à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, soit propagent des idées ou théories tendant à justifier ou encourager cette discrimination, cette haine ou cette violence. »
Le fait de participer à un « groupe de combat » est puni par la loi d’une peine pouvant aller jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. Même sanction pour les membres de groupes dissous qui chercheraient à se reconstituer.