Eliette abecassis
Eliette abecassis

La philosophie d’amour est-elle encore d’actualité ?

Publié par Géplu
Dans Divers

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mardi 8 janvier 2019
  • 8
    Désap.
    12 janvier 2019 à 12h13 / Répondre

    Paraphrasant Pialat,
    rassurez-vous chers Lazare&Yasfaloth, si vous ne m’aimez pas, je ne vous aime pas non-plus

    • 10
      lazare-lag
      12 janvier 2019 à 14h37 / Répondre

      Et si je réponds que je t’aime, MTCF, tu dis quoi?

      • 11
        Désap.
        12 janvier 2019 à 18h27 / Répondre

        Qu’il n’y a pas d’amour, seulement des preuves,
        et de ce point de vue tu es un peu court mon TCF.
        Par exemple, en ce qui me concerne je me garde bien de sur-interpréter tes propos ; je les critique, les conteste, je les approuve parfois aussi, mais je ne les interprète pas abusivement.

  • 6
    Yasfaloth
    12 janvier 2019 à 10h30 / Répondre

    Il est indéniable que sur cette photo E.Abecassis est ravissante, et comme en plus le sujet est « l’Amour » il n’est pas trop étonnant que certains ne fassent pas trop la différence entre Eros et Agape. C’est d’ailleurs un des pièges de la mixité, certain dirons sûrement agrément… personnellement je préfère cantonner ce dilemme au monde profane !

    • 7
      Désap.
      12 janvier 2019 à 12h10 / Répondre

      Oui, jamais avare de mauvais esprit, n’est-ce pas ?
      Sauf que je parlais de son expression orale, mais pour comprendre, bien entendu encore faut-il connaitre EA.
      Quelques indices auraient toutefois pu vous mettre sur la voie, Lazare&Yasfaloth, j’ai commencé par dire qu’elle était remarquable et son travail exemplaire ; toutes choses que vous avez pu comprendre également de traviol … en effet.
      Un peu bancal tout ça pour des maçons revendiqués exemplaires.

      • 9
        lazare-lag
        12 janvier 2019 à 14h35 / Répondre

        Revendiqué exemplaire?
        Où? Quand? Comment?
        A priori, comme ça, je ne vois pas..
        Je suis faillible comme tout le monde, mais quand on m’en fait la remarque je me pose des questions sur moi-même et sur l’effet donné, pas seulement sur celui qui m’en fait la remarque.
        Je peux avoir été maladroit dans la formulation, j’essaie – je ne dis pas y réussir toujours – d’en tirer un enseignement.
        Car effectivement on peut parfois faire une erreur entre ce qu’on dit, ou écrit, et la façon dont l’autre le perçoit.
        Parfois il peut y avoir comme un hiatus.
        Tu peux comprendre ça?
        Et ici, « pour comprendre » dis-tu, il s’agit de connaître tel ou telle (E.A. au cas d’espèce), la prose de celui qui écrit n’est donc absolument pas en cause?
        Ca me rappelle l’histoire de l’humoriste auquel les spectateurs ne rient pas de ses blagues et qui estime que ce n’est pas lui et le spectacle qui sont en cause, c’est son public qui n’est pas bon.
        Et qui demande promptement au producteur à changer de public, parce qu’il ne doute ni de son talent, ni de son expression.
        Du coup je ne sais plus que penser, puisque tu as forcément raison, puisque tu ne doutes jamais de toi, c’est donc ton lecteur qui a forcément tort…

        • 12
          Désap.
          12 janvier 2019 à 18h38 / Répondre

          Et me soupçonner ouvertement, que dis-je, ostensiblement d’avoir émis une opinion sexuée, que dois-je en penser ?
          Que tu me prends pour un pauvre type ou que tu ne comprends pas le Français ?
          Fais-moi plaisir mon TCF : cesse de faire la victime et oublie-moi ; il n’y a pas de dogme en maçonnerie, pas même du point de vue de la fraternité.

  • 2
    Désap.
    8 janvier 2019 à 13h18 / Répondre

    Hmm Eliette Abecassis, remarquable, un travail exemplaire et une douceur d’expression ravissante.
    Avec Cynthia Fleury, le nec plus ultra de l’intelligence française.

    • 3
      lazare-lag
      9 janvier 2019 à 20h55 / Répondre

      MTCF Désap,
      1/ Je suis de ceux qui ne connaissent absolument pas « le nec plus ultra de l’intelligence française », à savoir Cynthia Fleury.
      Ne souhaitant pas demeurer dans cette ignorance coupable, j’ai d’une part consulté la page wikipedia de Dame Fleury et d’autre part, le site « place des libraires », lequel permet de connaître dans quelle librairie digne de ce nom trouver ses bouquins, et d’en découvrir les titres.
      Puisque tu sembles être un aficionado passionné, te serait-il possible de m’indiquer, de nous indiquer, (car je ne dois pas être le seul à te lire ici à être dans le même cas d’ignorance), quels titres te paraissent les plus intéressants?
      Et surtout, pour quelles raisons?
      J’observe des titres comme: « Les irremplaçables », « La fin du courage », « Les pathologies de la démocratie » ou « dialoguer avec l’orient ». Pour ne citer que ceux disponibles en édition de poche.
      En mon nom, et celui d’autres lecteurs qui mettraient à profit tes réponses à venir, d’avance merci.
      2/ Si je puis me permettre un peu d’humour, ou un léger sourire décalé, pour quel écrivain, ou philosophe, ou auteur masculin réserves-tu le commentaire: « une douceur d’expression ravissante »?
      Les soeurs qui nous lisent pourraient être intéressées par la réponse.

      • 4
        Désap.
        10 janvier 2019 à 12h10 / Répondre

        Si j’ose,
        …………………. Tout est bon chez Fleury !
        histoire de contrebalancer « une douceur d’expression ravissante ».
        Non, je ne m’attache pas qu’à la beauté !
        🙂 🙂

        • 5
          lazare-lag
          11 janvier 2019 à 2h17 / Répondre

          Es-tu vraiment sûr de parler ainsi de Fleury (Cynthia)? Parce que ça donne plutôt l’impression de parler de Fleury Michon. Avec la délicatesse qui va avec… enfin, tu vois, tu assumes. Puisque tu oses.

  • 1
    Anwen
    8 janvier 2019 à 13h04 / Répondre

    Avant de parler de la Philosophie de l’Amour, peut-être est-il nécessaire de savoir ce qu’est l’Amour ?
    L’Amour, c’est le lien moral qui unit l’homme à l’Esprit féminin, et c’est ce lien qui est la Religion.
    L’Amour, c’est ce que l’humanité a toujours cherché, il est le but de l’homme et le rêve idéal de la Femme, il est la grande force qui régit l’univers, il peut tout, le bien comme le mal, il domine les temps et les âges, il se trouve à la source de toutes les religions, il est la religion même dans son principe ; toutes les philosophies l’ont discuté, il règne dans l’histoire des rois et dans les légendes populaires, il a été, tour à tour, béni et maudit, permis jusqu’à la licence et défendu comme le plus grand des crimes. Il est la source de mille préjugés religieux ou sociaux qui, presque toujours, résultent du malentendu qui règne sur cette question entre les hommes et les femmes, acteurs indispensables de cette idylle, mais qui ne la comprennent pas de la même manière.
    L’homme, malgré l’expérience de l’histoire, n’a pas encore compris que l’amour de la femme est un phénomène qui a une réaction spirituelle : c’est ce qui le sanctifie.
    La femme, malgré les désillusions de ses aïeules, ne veut pas encore savoir que l’amour masculin est un phénomène qui a une réaction brutale : c’est ce qui le condamne.
    Pendant que chez la femme le fluide d’amour aspire à monter, chez l’homme il aspire à descendre. C’est sur cette différence que fut basée la grande lutte de sexes dans l’antiquité ; elle dure encore.
    Faire luire sur cette question la lumière définitive de la science, c’est donner à l’humanité le moyen de sortir de l’état de malaise général que le malentendu sexuel a causé dans le monde. Il faut, une bonne fois, que chaque sexe sache comment l’autre aime et pense, afin d’éviter les heurts qui blessent l’amour-propre et finissent toujours par faire de deux amoureux deux ennemis irréconciliables.

    Cordialement.

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