Conférence. Codex Déus

Publié par Jiri Pragman

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mercredi 17 octobre 2012
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  • 10
    Sister J.
    25 novembre 2012 à 22h56 / Répondre

    J’ai pu assister à cette conférence, ou l’auteur nous a donné un exposé magistral concernant les secrets et mystères cachés derrière l’histoire communément admise.

    Outre son grand talent d’orateur , j’ai été conquise par le style et le talent narrateur que l’ écrivain Alexandre Schoedler développe dans son roman, qu’on n’arrive plus à lacher une fois commencé.

    Vite, une suite !

  • 9
    Georges 75
    25 octobre 2012 à 23h27 / Répondre

    Dire du mal des autres me semble être à la mode chez les paresseux de la sagesse et du respect d’autrui.

    La qualité non plus ne dépend pas d’un éditeur ou s’auto-éditer,puisque pas mal de nullités ont été publiés chez de grande Maisons, bref ,il suffit d’aller sur les sites Bénévent et France Europe (même filiale Paris-Nice) pour s’informer que cette maison parmi les 200 plus grandes de France, propose le compte d’éditeur et le compte d’auteur, il serait spéculatif et vain de tenter de spéculer sur si tel ou tel titre est auto edité ou pas.

    Gamineries que tout cela et pure médisance,vivez ! Au lieu de jeter de la boue sur les autres,méditez donc cette maxime,à bon entendeur…

  • 8
    Frater Pi
    25 octobre 2012 à 1h13 / Répondre

    Justement ! Puisque le niveau culturel en France est très bas, faute aux écoles, peu de gens savent prononcer correctement DEUS, genre DEUX ! Alors,les Ed. Bénévent que j’ai eu au tél,justement pour les questionner,m’ont affirmés avoir ajouté l’accent à cet effet, d’ailleurs DIEU et DIEUX, donc pluriel DEUS non DEI !

  • 7
    chris65
    24 octobre 2012 à 1h07 / Répondre

    bon … resumons . j ai eu l occasion de lire ou d essayer de lire ce « roman » et je n’ aime pas dire du mal mais la on approche du grand n importe quoi !!! (…)

  • 6
    Libéro
    18 octobre 2012 à 21h38 / Répondre

    Sujet qui fâche. Alors oui @Tao, “restons humbles !” Désirer défendre “sa” culture, ça n’est pas prétendre défendre “LA” culture. Il y a des cultures “nobles” qui respectent les “personnes”. Et des cultures “vulgaires” qui asservissent les “individus” dans des superstitions mortifères. Ça n’est effectivement pas une question de correction latine. Ni de connaissance de la musique jamaïquaine. La mode hyperbolique de la culture des autres est trop souvent un masque au mépris de soi. “On n’habite pas un pays on habite sa langue” disait… (Cioran ?). J’ai la faiblesse de ne pas accepter les gens qui massacrent “ma” langue – et “ma” culture – comme certains détruisent les monuments soufis du Mali dont nous parlions hier midi chez moi.
    Cordialement.

  • 5
    Tao
    18 octobre 2012 à 19h28 / Répondre

    Aux trois frères :

    La qualité du latin d’un individu ne vient pas témoigner de LA culture de cet individu. Il n’y a pas de culture noble et de culture grossière. Et notre culture est plurielle. Aussi, celui ou celle qui a mis un accent sur du latin et n’a pas utilisé de génitif pourra-t-il ou elle s’esclaffer de bon cœur le jour où il ou elle vous entendra dire une grosse bêtise sur un sujet que vous ne maîtrisez pas et qui lui ou elle, oui ! Juger la culture des gens sur leur niveau de latin reviens à garder des repères obsolètes pour juger d’une culture qui s’exprime dans un contexte contemporain. Si je jugeais de la culture des gens à la connaissance de la musique jamaïcaine des années 1960-1970, sûr que je n’en trouverais pas beaucoup à trouver grâce à mes yeux…

    Alors restons humbles ! ;o)

    Amitiés,

  • 4
    Libéro
    17 octobre 2012 à 23h00 / Répondre

    J’approuve les exigences de respect de notre tradition culturelle francophone exprimées ci-dessus. Je n’ai guère le sentiment que nous avancions encore sur le chemin de la connaissance et de la sagesse. Le progrès a fait place à la vulgarité. Comme les autres, notre civilisation est mortelle. Mais, désormais, nous le savons. Et nous ne sommes pas obligés d’accepter de crever la gueule ouverte.
    Cordialement à vous, Messieurs.

  • 3
    Chaboud
    17 octobre 2012 à 14h04 / Répondre

    A tous,

    Hélas, je suis d’accord avec Jean Serlun, option ignorance. Il faut dire qu’on nous oblige à écrire « médias » depuis pas mal de temps, entre autres.
    L’essentiel de ce titre doit reposer dans l’euphonie, genre « thriller ésotérique ».
    Les éditions Bénévent publient à compte d’auteur : c’est sans commentaire.
    Que l’on me pardonne pour cette vilenie.
    Jack

  • 2
    Quen affere a Lidje
    17 octobre 2012 à 13h09 / Répondre

    Un peu de tout, dans doute.
    Quoique je penserai plutôt à ta troisième explication.
    Mais bon…
    Amicalement.

  • 1
    Jean Serlun
    17 octobre 2012 à 7h53 / Répondre

    Codex Déus ? Depuis quand met on un accent sur un mot latin ? Et, pour en rajouter un peu, si la traduction doit être « code de Dieu », pourquoi le mot Deus n’est il pas au génitif Dei ?

    Coquetterie littéraire, recherche de l’originalité ou ignorance, signe de l’état délabré de la culture dans cette société ?

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