beautes du Temple

Crime chez Salomon, enquête résolue !

Publié par Géplu
Dans Humour

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mercredi 10 janvier 2024
  • 2
    lazare-lag
    10 janvier 2024 à 12h48 / Répondre

    Visiblement, avec ces deux articles sur le même dessin de François Morel, on voit que la présence du chien Nono interroge les plus fins limiers maçonniques. Et le terme limier prend ici tout son sens.

    Par association d’idées, il me revient que le Cahiers Villard de Honnecourt (en leur n°120, en 2021) avaient établi un numéro entier ayant pour thème: « Le Bestiaire des Francs-maçons ».

    L’un des articles de ce cahier était bien évidemment consacré au chien, en étant intitulé « Le Chien et l’Étoile », sous la signature de Jean Viride, historien et anthropologue.
    On y apprenait, notamment et pour qui ne le savait déjà, comment le chien pouvait avoir été un élément déterminant conduisant jusqu’aux trois compagnons si mauvais.

    Ce bestiaire, ou ce cahier n°120, ayant pour particularité de synthétiser, ou de rassembler le maximum d’animaux ayant un rapport plus ou moins direct avec la Franc-maçonnerie.
    Il y est donc question de pélican, de lion, de phénix, de coq, de serpent. Et même d’abeille, d’agneau et de colombe.

    On ne s’étonnera donc pas d’y voir aussi un article de Pierre Mollier sur: « Les origines de l’aigle à deux têtes dans l’iconographie maçonnique ».
    Pour qui aurait la curiosité de rechercher, il en avait été question ici même sur Hiram.be, sous un article intitulé par Géplu: « 2ème photo maçonnique du dimanche 22 août 2021 ».
    Facile à retrouver dans le moteur de recherche en tapant uniquement « dimanche ».

    On s’étonnera en revanche d’un article consacré au chat, animal totalement profane et non-maçonnique, mais il l’est, non sans humour d’ailleurs, sous la plume de Yves Hivert-Messeca, sous le titre significatif: « Frère chat, oublié par la maçonnerie, aimé des Francs-maçons ».

    Et puisque nous dérivons vers le monde profane, mais tout en restant dans le sujet des bestiaires, on signalera opportunément, mais avec une ferveur totalement subjective de ma part, « Bestiaire » de Alexandre Vialatte.

    Il y est question ici des fameuses chroniques de l’écrivain dans le quotidien auvergnat « La Montagne ». mais bien évidemment juste de celles introduisant un animal en cours d’écriture.

    On notera que ces chroniques reprises dans ce livre « Bestiaire » ont été finement illustrées par Philippe Honoré.
    Lequel est plus connu comme dessinateur sous le pseudonyme de Honoré.
    Et pour lequel nous devons nous souvenir aussi, qu’il était parmi les victimes de l’attentat de « Charlie Hebdo » en 2015. Il y travaillait encore, malgré ses 73 ans.
    « Bestiaire » d’Alexandre Vialatte, et Honoré pour les illustrations, a fait l’objet d’une salutaire réédition en poche en février 2023, aux éditions Arlea. Ce n’est pas ancien, ce livre est donc facile à trouver en librairie.

    • 3
      lazare-lag
      13 janvier 2024 à 17h29 / Répondre

      Pour qui s’intéresserait à ce sujet animalier du bestiaire, on peut également suggérer, de Jean Giono, « Le bestiaire ».
      Ce petit livre particulier a été édité aux Editions Héros-Limite, collection Feuilles d’herbe, en mai 2023.
      J’observe qu’il s’agit ici d’une réédition de 1991, l’originale l’ayant été chez Ramsay.
      Giono étant décédé en 1970, tout porte à croire qu’il s’agirait donc d’une édition posthume.

      Les éditions Héros-Limite sont une relative petite, jeune (native de 1994), mais florissante et dynamique, maison d’édition suisse, genevoise plus précisément. Leur catalogue mérite un détour.

      Pour ma part, j’y avais découvert, de l’auteur suisse Daniel de Roulet, « La Suisse de travers » (février 2020).
      Il nous propose une randonnée à la fois pédestre et littéraire à travers la Suisse, du Nord au Sud, de l’Ouest à l’Est.
      Ou plutôt de Genève au lac de Constance puis de Porrentruy à Chiasso.
      Les titres des chapitres, ou chaque étape pédestre, font une référence à l’auteur, ou aux auteurs, qui seront cités tout au long du périple.
      Des Suisses bien évidemment (Charles-Ferdinand Ramuz, Friedrich Durrenmatt, Robert Walser, Agota Kristof (hongroise de naissance), Max Frisch, Ferdinand de Saussure, Henry Dunant ou Annemarie Schwarzenbach) y croisent des étrangers tels Léon Tolstöi, Victor Hugo, Lénine, Arthur Rimbaud, Honoré de Balzac, ou Hermann Hesse).
      Et je ne les cite pas tous, je vois par exemple que j’oublie un dénommé Jean-Jacques Rousseau, natif genevois dont beaucoup de Français omettent bien trop souvent ce détail, l’estimant surtout hexagonal.

      Celui-là (ce livre, pas Jean-Jacques), je l’indique en particulier à notre sœur Brumaire.
      Je crois me souvenir qu’il lui est arrivé de mentionner, au détour d’un commentaire, ici ou là sur Hiram.be, son intérêt pour la randonnée montagnarde, en particulier en Suisse.
      A moins qu’elle ne le connaisse déjà, bien évidemment.

  • 1
    HESSED REVE
    10 janvier 2024 à 8h36 / Répondre

    Il me semble que le chien intervient dans la recherche des trois mauvais compagnons.

    NONO doit être son pseudonyme!

    • 4
      Luciole
      13 janvier 2024 à 18h39 / Répondre

      Un chien maçonnique ne peut avoir de collier (lui).

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