Dédicaces parisiennes d’Irène Mainguy

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

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dimanche 18 septembre 2011
  • 2
    Alain
    19 septembre 2011 à 17h27 / Répondre

    Je pense qu’il peut s’agir d’une sorte de carte pour celui qui chemine. J’imagine que le pélerin se rendant à Compostelle, ou ailleurs peu importe, se muni d »une carte et d’une boussole. Voire voyage avec un groupe mené par un guide qui leur montrera le chemin.

    Après, l’expérience elle même restera unique et les propres découvertes du cheminant l’éclaireront peut-être.

  • 1
    L'homme qui marche
    18 septembre 2011 à 11h01 / Répondre

    Si je suis toujours conquis par la « Symbolique maçonnique du 3e millénaire », je reste dubitatif sur l’intérêt des ouvrages de clarification ; il m’a toujours semblé que cette dernière faisait justement partie du travail d’un degré.

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