Des Tailleurs de Pierre aux Francs-Maçons. Mythe ou réalité?

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
jeudi 26 décembre 2013
  • 1
    Guy Verval
    4 janvier 2014 à 15h31 / Répondre

    Je suis surpris par les pages 167 à 170 de cet ouvrage. Elle concernent la (très discutée) « charte de Cologne » et commencent par ces mots : le manuscrit original se trouverait dans les archives de la mère loge d’Amsterdam ».
    Or l’original de cette charte (jusque là inconnue) aurait été remise au prince Frederik des Pays-Bas, en 1816-1817, dans une boîte en noyer, et aurait mystérieusement disparu en 1835 déjà. On n’en connait donc plus que des copies. Elle contenait entre autres les instructions pour les maîtres élus et maîtres suprêmes élus (Instructien voor de Uytvercoore en Oppereruytvercoore Meesteren, dans le néerlandais de l’époque), deux hauts-grades que le prince voulait voir remplacer les systèmes existants alors (REAA, rite écossais philosophique, H-d-K-M).
    Ces deux hauts-grades qui n’en sont pas (disent leurs détenteurs) existent toujours aux PB.
    Si certains auteurs croient à l’authenticité de cette charte (Paul Naudon notamment), d’autres la considèrent comme un faux pur et simple. La « charte » aurait été fabriquée vers 1819 par un proche du prince, avec sa complicité au moins tacite (Fernand Clément, Dirk van Peype et Jean-Baptiste Davaly notamment. Voir Acta Macionica n° 5 et 6).
    JF Blondel semble l’ignorer.

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous