Dictionnaire des Francs-Maçons Illustres

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
dimanche 7 janvier 2007
Étiquettes : , ,
  • 6
    Jiri Pragman
    2 janvier 2013 à 17h40 / Répondre

    @Emile

    Voir mes remarques dans l’article ci-dessus.

  • 5
    Émile
    30 décembre 2012 à 15h04 / Répondre

    Désolé.

    Mais, ce livre est pleins d’erreurs. Je l’avais reçu en cadeau mais je l’ai mis a l’endroit ou il était le plus utile.. à la récupération.

    Émile

  • 4
    stéphane Potelle
    13 février 2007 à 14h45 / Répondre

    Bonjour, est-ce que quelqu’un a les coordonnées de Marc de Jode ?
    ou de Monique Cara ?
    Il n’y a pas que l’article sur Pike qui pose des problèmes, mais tout le livre qui ne comporte aucun renvois aux sources utilisés.
    Merci,

    SP

  • 3
    Jacques Cécius
    11 janvier 2007 à 20h14 / Répondre

    C’est devenu une habitude, chez nos amis anti-maçons, de présenter Pike comme un type détestable, et même un sataniste pratiquant!
    Un site anti-maçonnique le sunomme Baphomet ! ! !

  • 2
    EMEREK
    8 janvier 2007 à 21h56 / Répondre

    Je suis bien d’accord avec toi Jiri sur les ragots vomis sur PIKE.

    Qui a lu « Morals and Dogma » parmi ces censeurs.(Je l’ai lu…).

    Ce livre donné à tous les maçons du REAA outre-atlantique est à mille lieues des préoccupations du KKK.

    A qui profite le crime? Salir ce personnage retombe inéluctablement sur le rite Ecossais ancien et accepté dont PIKE est l’un des défenseurs éminents.

    Je n’achéterai pas ce livre inutile et ragougnasse….

  • 1
    Eliram
    7 janvier 2007 à 17h05 / Répondre

    Je n’ai jamais compris l’intérêt de faire des dictionnaires et sites sur les F:.F:. et S:.S:. célèbres pour ce qui est de leur vie profane et surtout lorsque celle-ci n’a que peu de rapport avec la FM et le travail initiatique en général.
    Lorsque j’étais encore étudiant, j’ai vu l’histoire de l’histoire (historiographie) qui m’a toujours paru être un domaine autocomplaisant. Tout en ce jetant des fleurs quant à l’implication d’historiens dans la cité, mes professeurs aimaient répété que tous les intellectuels se passionnaient (se passionnent encore) pour cette science. Ce genre d’écrit est tout ce qu’il y a de plus futile à mon humble avis. Mais comme la futilité à le vent en poupe, souhaitons lui un certain succès.

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous