Echecs et franc-maçonnerie

Publié par Géplu
Dans Edition

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vendredi 15 janvier 2021
  • 6
    Betremieux
    28 janvier 2021 à 17h04 / Répondre

    Le deplacement du cavalier se fzat à « l »equerre » pour ne citer qu’un exemple.

  • 3
    Annwn
    16 janvier 2021 à 4h26 / Répondre

    Pourquoi la Reine est la pièce maîtresse du jeu d’échec ?
    Il existe un livre apocryphe, qui est intitulé « La Sothis » et dans lequel un certain Panodore, qui vivait vers 400 ans avant notre ère, présente les dynasties comme des générations maternelles. Dans le Tarot égyptien, la Dame (la Reine) est appelée la Sota ; les Grecs appellent Sothis l’étoile Sirius, et période Sothiaque la manière de compter les années au moyen du lever de Sirius.
    Cet ouvrage, qu’on a eu intérêt à cacher, a été faussement attribué à Manéthon, archiprêtre et archiviste des temples de Baal en Egypte. C’est lui qui masculinisa l’histoire, et fit des dynasties masculines de rois, se succédant de père en fils. C’est sans doute lui qui, pour cacher la grande Reine Séti, en fit un roi, c’est-à-dire un Pharaon qu’il appela Ousertasen III (Sésostris).
    C’est cette grande Reine qui est représentée par la Reine du jeu d’échecs, inventé à cette époque. L’homme, c’est le Roi du même jeu, son pouvoir est limité.

    • 4
      yonnel ghernaouti, YG
      16 janvier 2021 à 9h52 / Répondre

      Monsieur ANNWN,
      D’abord aux échecs, on ne dit pas la reine mais la dame… pièce la plus puissante du jeu !
      Avez-vous lu le livre de notre très cher Frère Alain ?

    • 5
      BB
      16 janvier 2021 à 14h17 / Répondre

      La reine est une invention récente (fin du Moyen Age). Cette pièce remplace le vizir, ministre arabe. Rien à voir…

  • 2
    pierre noel
    15 janvier 2021 à 12h20 / Répondre

    Je ne joue pas aux échecs et n’ai que quelques notions sommaires sur le but du jeu, les règles de déplacement des pions … mais j’ai entendu répéter par les pratiquants qu’il a bien des points communs avec la maçonnerie, à commencer par l’échiquier.
    Dans les deux cas, l’aspect ludique, le respect des règles, la courtoisie (non sans rivalité) prédominent dans un monde idéalisé (ici un champ de bataille).
    Il vaut de souligner qu’une prise de position politique par un club ou une fédération d’échecs paraîtrait du plus haut futile, de même que la volonté de changer les règles du jeu paraîtrait incongru.

  • 1
    Gérard NOET
    15 janvier 2021 à 10h51 / Répondre

    Pour un joueur d échecs franc maçon, la corrélation est évidente, la lecture de ce livre l expliquera. Bonne lecture…

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