Natali Piano 231124

Le Grand Maître de la GLMF Felix Natali au piano

Publié par Géplu
Dans Divers

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
mardi 26 novembre 2024
  • 2
    Luciole
    29 novembre 2024 à 20h04 / Répondre

    Deux musiciens sincères fussent ils Grands Maitres ne peuvent être entièrement mauvais….

  • 1
    lazare-lag
    26 novembre 2024 à 10h53 / Répondre

    Commençons par remercier ici nos deux Grands- Maîtres de leurs obédiences mixtes respectives, GLMF et DH, Félix et Sylvain, pour ce petit moment musical qui vient clôturer de manière fort sympathique, tout à fait spontanée, non programmée, non anticipée, « à l’improvisade » aurait dit notre ami Cyrano, (cadet de Gascogne ne l’oublions pas), ce 8ème Salon maçonnique de Toulouse.

    C’est court, c’est joyeux, c’est fraternel. C’est rafraîchissant.
    Cet intermède musical se passait donc à l’aéroport toulousain de Blagnac.
    Difficile, en particulier lorsqu’on est comme moi originaire de ces coins-là, de ne pas avoir aussi une pensée en direction de Claude Nougaro.
    Celui-là même qui, dans son « hymne » à Toulouse, nous ravissait ainsi :
    – « A Blagnac tes avions sont plus beaux,
    Si l’un me ramène sur cette ville,
    Pourrais-je encore y revoir ma pincée de tuiles… »
    Et me reviennent alors tous ces morceaux poétiques qui voisinent avec celui-là, tels que :
    « Une fleur de corail que le soleil arrose », « Un torrent de cailloux roule dans ton accent », « Est-ce l’Espagne en toi qui pousse un peu sa corne ? ». Sans oublier « Ici, si tu cognes tu gagnes, ici même les mémés aiment la castagne » et l’inévitable « On se traite de con, à peine qu’on se traite »…
    Mais je m’égare. Mais encore merci à Félix et Sylvain qui semblent nous promettre un duo. Attention aux promesses non tenues, Toulousains et Gascons ont de la mémoire !

    Blague à part, il se trouve que le toulousain expatrié que je suis se trouvait à ¾ d’heure de Toulouse le week-end dernier. Le hasard faisant bien les choses, j’ai donc pu passer quelques heures à ce fameux 8ème salon maçonnique.
    Ce faisant, et comme tout expatrié de retour sur ses terres, fût-ce fugacement, je feuilletais le quotidien local, « La Dépêche, du Midi » préalablement à mon déplacement toulousain au salon maçonnique.
    Son édition de vendredi faisait se voisiner des informations parfois différentes mais qui semblaient se faire – parfois – écho, sans forcément se recouper.
    L’Hôtel de Région insistait sur le 100ème Anniversaire de l’entrée de Jean Jaurès au Panthéon.
    Avec une rencontre-débat où l’on comptait, notamment, la participation de Bernard Cazeneuve, qu’on ne présente pas, et qui est porteur d’un nom du Sud-Ouest, quoiqu’il n’en soit pas originaire.
    Il n’était donc pas surprenant, de trouver en pages intérieures de cette même édition du vendredi 22 novembre, une interview du sus-dit Bernard Cazeneuve, qui a donc su se démultiplier sur une seule journée entre hommage à Jaurès à Toulouse, et présence plus militante à Villemur-sur-Tarn.
    Et cet hommage à Jean Jaurès, dont la Dépêche rappelait opportunément que Jaurès y écrivit plus que fréquemment, permettait aussi au quotidien toulousain d’interviewer Nicolas Penin, Grand-Maître du GODF, sous un titre assez éclairant : « Jean Jaurès, le combat pour l’école publique et laïque ».
    Lequel Grand-Maître Nicolas devait se retrouver avec les deux précités, Félix et Sylvain, à une conférence des Grands-Maîtres au 8ème Salon maçonnique toulousain. Peut-être même avec d’autres Grands-Maîtres d’autres obédiences aussi, je ne saurais dire, n’étant pas encore présent au salon au moment de cette conférence des Grands-Maîtres, que j’ai semble-t-il manqué de très peu.

    Mes deux à trois heures consacrées au salon maçonnique, mon ressenti personnel, subjectif donc, il ne s’agit pas ici d’un compte-rendu objectif, mais plutôt d’un relevé d’impressions, auront surtout consisté à fureter parmi les stands tenus par les différentes obédiences, en particulier GODF, GLDF, GLMU, GLMF, GL-AMF, mais il y en avait d’autres aussi.
    Ou parmi les livres proposés par l’excellente librairie toulousaine « Ombres Blanches ». Et quelques auteurs qui dédicaçaient, pas forcément tous auteurs maçonniques d’ailleurs. Quelques mots échangés également avec un membre de l’organisme organisateur, l’Institut Toulousain d’Études Maçonniques (ITEM pour les intimes). Excellente organisation d’ailleurs, gros travail préparé des mois à l’avance, semble-t-il.
    Et à peine bousculé par un changement de lieu intervenu seulement quatre jours avant l’événement. Incident qui aurait pu avoir d’autres conséquences mais qui ne semble pas avoir eu d’impact réel sur la fréquentation des deux jours, me dit-on.
    Donc merci à tous pour ce 8ème salon maçonnique. Toulouse semble avoir mis la barre très haut cette année. Un exemple à suivre pour d’autres capitales régionales qui souhaiteraient s’en inspirer.

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous