Hiram… dans tous ses « Etats »

Publié par Géplu
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vendredi 3 janvier 2020
  • 1
    Anwen
    3 janvier 2020 à 3h58 / Répondre

    Sous la conduite de l’Ange de lumière (la Femme), les descendants de Hiram (Myriam-Hathor dont on a fait Moïse) monteront à l’assaut de la Jérusalem céleste pour réduire à l’impuissance Adonaï (Dieu masculin représenté par le Prêtre), principe du mal.
    Car le nouveau Dieu-homme qui prêchait, allait tuer la raison et vaincre toute Vérité.
    En Egypte, c’est Hermès, nom générique de la classe sacerdotale ; c’est lui que les femmes représentent comme le grand crocodile du Nil qui veut les dévorer.
    Chez les Hébreux, le monstre marin qui engloutit la femme, c’est le grand Léviathan, la caste lévitique.
    Partout c’est le Prêtre.
    La femme, avalée par le monstre, c’est-à-dire supprimée du monde, cachée symboliquement ou réellement dans des cavernes, des cryptes, représente sa défaite dans les Mystères. Le thème habituel est celui-ci : La Déesse a été tuée, elle est descendue aux enfers, ou au tombeau, (ou dans le ventre de la baleine telle la ridicule légende de Jonas), mais après un temps (on dira 3 jours), elle ressuscitera, elle reviendra à la vie sociale, elle reprendra sa place dans le monde et son règne.
    C’est le fond de toutes les légendes religieuses. Un Dieu meurt, descend au tombeau, ressuscite le troisième jour.
    Mais à la Femme, qui protège l’espèce humaine, appartient le triomphe final.
    On attend le fils ou la fille d’Hiram (Myriam), c’est-à-dire la personne qui reprendra et continuera son œuvre.
    Rappelons que « Hiram » doit se lire de droite à gauche comme lisent les Hébreux et non de gauche à droite suivant L’usage des Européens : Hiram alors devient Maria ou plutôt Myriam. Le heth (H) final en hébreu se prononce A.
    Myriam, c’est la grande femme dont le nom brille dans l’histoire du peuple d’Israël, comme une resplendissante lumière qui éclaire plus de dix siècles ; c’est elle qui est l’auteur d’un livre de science, le Sépher, qui servira à faire le premier Livre de la Bible, la Genèse, qui en sera la caricature.
    L’Egypte a gardé le souvenir de Myriam et l’a glorifiée sous le nom de Hathor (Ha-thorah, la Loi, en hébreu).
    On consacra à cette Déesse un temple magnifique à Dendérah, sur la rive gauche du Nil, au sud de Thèbes.

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