Jean-Philippe Hubsch interviewé par Jacques Carletto

Publié par Géplu
Dans Edition

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samedi 27 février 2021
  • 1
    Désap .
    27 février 2021 à 18h40 / Répondre

    Je me demande dans quelle mesure n’y a-t-il pas une certaine méprise à propos de ce qu’est la fraternité maçonnique ?
    Elle n’est pas une camaraderie, elle n’est pas non plus telle qu’on l’entend au sens religieux, notamment chrétien, qui, considérant que tout homme est un pêcheur, est inconditionnelle.
    Le fraternité maçonnique est déterminée par l’apport de chacun au chantier.
    Le maçon est fraternel par son apport et n’attend rien en retour pour lui-même de la part de ses frères, mais bien que ces frères le soient à leur tour par leur apport.
    Parce que si c’est bien le maçon qui construit l’édifice, c’est l’édifice et seulement lui qui protège le maçon.
    Il me semble, à contrario de la religion, qu’il n’y a rien de sentimental dans la maçonnerie.
    On y est dans la réalité la plus objective.
    Maçon nous savons que si l’on respecte la Nature, celle-ci ne manque jamais de nous le rendre, si ce n’est au centuple, dans tous les cas de manière toujours généreuse.
    Ainsi celui qui n’est pas capable de cette réciprocité et au moins avec cette même générosité, n’est simplement pas digne d’être maçon parce que lui échappent les nécessités de l’essentiel, l’édifice, et le fait également qu’il a face à lui des maçons.
    La fraternité est comme l’amour, seules ses preuves existent.
    La proclamer, c’est déjà la trahir.

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