La franc-maçonnerie, fille des Lumières

Publié par Géplu
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dimanche 30 janvier 2022
  • 11
    Pierre Noël
    27 novembre 2023 à 14h33 / Répondre

    Pourquoi ne pas lire attentivement les Réflexions sur la Révolution de France (en anglais Reflections on the Revolution in France) de Edmund Burke, plutôt que d’accumuler les sottises à son sujet ? Il est disponible sur Google books.

  • 10
    Cancoillotte
    27 novembre 2023 à 9h28 / Répondre

    Joseph de Maistre en pense quoi ???

  • 9
    Remi
    26 novembre 2023 à 13h02 / Répondre

    La franc-maçonnerie, fille des Lumières ? « Rien que le titre du bouquin m’amuse » pour paraphraser Coluche.
    Après trois siècles d’existence, force-nous est de constater que l’ambition de la maçonnerie reste et restera à jamais chimérique. Les maçons, de tous les pays toutes obédiences confondues n’ont pas été capables d’influencer la majorité des êtres humains pour réaliser le grand projet maçonnique initial… celui-ci n’a jamais vu le jour et ne le verra jamais. Alors, arrêtons de nous gargariser de mots et de nous prendre pour ce que manifestement nous ne sommes pas. Cela dit, si la FM n’existait pas : il faudrait l’inventer ait je déjà dit. Du reste, en ce qui me concerne, si elle ne me rapporte rien, en revanche elle m’évite beaucoup. Être FM, en effet, j’ai ce bonheur.

  • 3
    Cécile Revauger
    30 janvier 2022 à 23h21 / Répondre

    Edmund Burke? l’auteur de Reflections on the Revolution in France? On n’a jamais pu prouver qu’il était franc-maçon.

    • 5
      ERGIEF
      2 février 2022 à 1h24 / Répondre

      Il a été initié le 3 mars 1769 à la Jérusalem Lodge n°44 à Londres.

    • 6
      ERGIEF
      2 février 2022 à 1h36 / Répondre

      Erreur de date. Il a initié John Wilkes (par communication?), qui était emprisonné le 3 mars 1769. Sa propre entrée en maçonnerie est donc plus ancienne.

  • 2
    PDeriemont
    30 janvier 2022 à 17h23 / Répondre

    Il est vrai que la maçonnerie en général et «les Lumières » n’ont pas toujours et partout fait «bon ménage », sauf à considérer que la maçonnerie et le GODF ne font qu’un !!! Si j’ajoute qu’en ce début de 21eme siècle, «les Lumières » ne sont plus le centre de gravité de la réflexion philosophique, il faut faire attention à ne pas confondre ce que l’on souhaite et ce qui est.

  • 1
    ERGIEF
    30 janvier 2022 à 14h57 / Répondre

    Ce véritable culte des Lumières, dont on fait un véritable fourre tout, devient un peu ridicule. On voit aujourd’hui où cette philosophie nous a conduit 3 siècles après c’est à dire à la déconstruction culturelle et spirituelle, au délitement de la civilisation occidentale. Mais contester l’esprit des Lumières, en affirmant que tout ce qu’elle nous ont apporté n’est pas aussi beau qu’on essaie de nous faire croire, est très difficile parce qu’on se retrouve très vite dans le camp du mal. Il faut relire le frère irlandais Raymond Burke pour comprendre qu’aux XVIIe et XVIIIe siècle il y avait aussi des philosophes qui n’étaient pas du même bord que nos penseur français.

    • 4
      Désap .
      31 janvier 2022 à 0h21 / Répondre

      1 – A supposer que les Lumières aient détruit quoique ce soit -ce qui est tout de même assez original comme constat à l’heure d’une résurgence radicale du religieux- ce serait la monnaie de la pièce Christianisme qui, lui, a détruit la civilisation gréco-romaine. La différence est que cela n’est pas une vue de l’esprit, mais un fait historique.
      La seul mort que l’on soit en droit de souhaiter est celle des idées. Comme une ironie de l’Histoire, cet heureux événement ce serait œil pour œil, dent pour dent.
      Prions !

      • 7
        ERGIEF
        2 février 2022 à 1h43 / Répondre

        Il suivait son idée. C’était une idée fixé et il était surpris de ne pas avancer.
        Jacques Prevert

    • 8
      lazare-lag
      26 novembre 2023 à 12h00 / Répondre

      Je me permets de suggérer, quoique très dense (940 pages dans l’édition de poche), le livre de Zeev Sternhell « Les anti-Lumières, une tradition du XVIIIème siècle à la guerre froide », Folio-histoire, n°176, septembre 2011, ISBN 978-2-07-031818-6.
      Très dense, très fouillé, mais remarquablement instructif.

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