La liberté, une valeur maçonnique : un guet-apens ?

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jeudi 24 septembre 2020
  • 4
    Ikigai
    27 septembre 2020 à 12h46 / Répondre

    Superbe analyse !
    Merci

  • 3
    PIRLOT
    25 septembre 2020 à 11h59 / Répondre

    J’ai connu un Jacques FONTAINE à à Bruxelles, puis WAVRE.
    Est-ce le même ?
    Merci de m’aider

    PIRLOT A

  • 2
    joab's
    25 septembre 2020 à 9h05 / Répondre

    Pour donner une version edulcorée de mon com précédent :
    Il s’avère que toute belle valeur, la francmaconnerie se corrompt. Alors, je n’evoquerai pas ce qui corrompt cette base de la FM, inscrite jusques dans notre appelation car il y a des susceptibilités etranges car justement la liberté de critiquer des organisations est le minimum.
    Examinons surtout que certains clament la liberté … d’imposer, d’interdire, d’empécher, d’entraver la belle liberté des FM de fraterniser. Pour se dédouaner de ce paradoxe contre-maçonnique ils proposent à des fM d’aller exercer leur FM libre … ailleurs.
    De plus, ils se plaignent que cette liberté d’opprimer serait contestée !
    De qui, quoi s’agit-il ? Chacun connaissant mon leitmotiv d’inviter les FM à se libérer, s’emanciper de soumission stérile à ce qui n’est pas maçonnique comprendra.

  • 1
    Peter Bu
    24 septembre 2020 à 22h20 / Répondre

    En ces temps de loges en sommeil viral (il les a mis toutes sous respiration artificielle presque -:)) il fait du bien de se replonger dans des « planches ».
    La liberté est un sujet inépuisable, à la fois intime et politique. Ici, je dirais juste que l’organisation pyramidale de nos loges et obédiences est, en même temps, horizontale: les dignitaires élus restent des frères et soeurs égaux les uns des autres. Simplement, i ne faut jamais l’oublier. Les humains ont besoin de s’organiser, de créer des hiérarchies et de d’attribuer des rôles. La FM y apporte le conscience que, malgré cela, tout humain a la même valeur. (Sa réalisation pleine et entière dépend des circonstances.) Cela s’appelle la « fraternité ».
    Ce serait le modèle idéal pour notre monde « globalisé ».
    Quant au respect (des fonctions, des rituels), il n’implique pas la soumission. A condition d’être conscient de la même valeur de chacun(e), de la « fraternité » des humains – à commencer par soi-même vis à vis des autres. « Respectueux mais insoumis? » « Insoumis mais respectueux »? (Il y en a qui l’oublient en inversant l’ordre de ces termes -:))

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