La photo maçonnique du dimanche 10 juillet 2022

Publié par Géplu
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dimanche 10 juillet 2022
  • 3
    Georges ROLLAND
    10 juillet 2022 à 10h01 / Répondre

    Si ma mémoire est restée fidèle, je crois bien que le stade de Villeneuve sur Lot s’appelle : stade Myre-Mory ?

  • 2
    Jean-Michel Mathonière
    10 juillet 2022 à 9h17 / Répondre

    Il s’agit du tombeau du compagnon charpentier passant, Jean Laville (1799-1874), dont j’ignore le nom de réception. Sa qualité de compagnon passant est confirmée par une des autres faces du monument funéraire qui porte le blason des enfants du Père Soubise à partir du milieu du XIXe siècle : compas, équerre et besaiguë entrecroisés.
    On notera que la douille de cette dernière est tournée vers le haut et non vers le bas comme généralement, ce renversement faisant probablement allusion à la mort. Cette tombe fait l’objet d’une fiche, avec photographie de ce blason, dans la base de données de l’inventaire général du patrimoine culturel d’Aquitaine : http://www2.culture.gouv.fr/documentation/memoire/HTML/IVR72/IM47002434/INDEX.HTM

  • 1
    Yonnel Ghernaouti
    10 juillet 2022 à 5h27 / Répondre

    Le cimetière Sainte-Catherine, un remarquable cimetière connu pour :
    – Un monument rendant hommage aux martyrs du centre de détention d’Eysses : pendant la Seconde Guerre mondiale, il devint le lieu de rassemblement le plus important de prisonniers politiques condamnés par le régime de Vichy ;
    – la sépulture de l’ancien président du Conseil Georges Leygues ;
    – la sépulture du général Blagnac ;
    – la sépulture de Louis Bonneville, qui fut pionnier de la construction automobile ;
    – la sépulture de Marguerite Brouillet, assistante sociale, elle s’engagea dans la Résistance comme agent de liaison ;
    – la sépulture de Le cybernéticien Louis Couffignal (1902-1966), qui fut l’un des premiers à souligner l’importance de l’emploi de la numération binaire dans les machines à calculer ;
    – la sépulture du photographe Raymond « Ray » Delvert (1914-1992) ;
    – la sépulture de l’écrivain Charles Derennes (1882-1930), qui obtint en 1924 le prix Femina pour Émile et les autres, troisième volume de la série du Bestiaire sentimental ;
    – la sépulture de La Myre-Mory (1898-1940), qui fut député du département de 1933 à 1940.

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