La spiritualité des jazzmen célèbres

Publié par Géplu
Dans Divers

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dimanche 28 février 2021
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  • 2
    Michel Lecour
    28 février 2021 à 8h21 / Répondre

    Un grand jazzman actuel, Raphael Imbert, avec déjà une belle carrière internationale, a publié une étude approfondie, Jazz supreme ; initiés, mystiques et prophètes, il y a quelques années, qui a fait l’objet de belles conférences musicales dans de nombreux temples. Il y développe et illustre les éclairages érudits de Yonnel Ghernaouti, et d’autres aspects aussi, issus de sa grande connaissance des liens entre jazz et spiritualité.
    Notre Frère Raphael est aussi le premier jazzman à avoir été nommé directeur d’un conservatoire national de musique, celui de Marseille, qui est aussi le premier conservatoire à avoir créé une classe de jazz, en 1963.
    Raphael Imbert est d’ailleurs programmé en clôture du festival Les Heures Bleues, le 4 juillet prochain au Château Saint Antoine, l’Hôtel de la GLDF à Marseille, et il sera le parrain de l’édition 2022. Les meilleurs élèves de la classe de jazz se produiront en ouverture de la soirée, avec une remise de prix décernés par Saint Jean d’Ecosse, Mère loge écossaise de Marseille.
    A noter que le livre de Raphael Imbert est aussi en vente au Comptoir du livre, la librairie-bibliothèque du Château Saint Antoine, et en ligne sur le site https://comptoirdulivre.fm

  • 1
    Yonnel Ghernaouti
    28 février 2021 à 5h42 / Répondre

    Une conférence qui nous conterait l’histoire secrète des grands du jazz qui seraient francs-maçons…
    Le jazz et la franc-maçonnerie, une thématique improbable ? Mais dans les années 1950, la Fraternité devient un réseau de soutien pour les musiciens parmi lesquels Duke Ellington et Sun Ra.
    Ellington n’était qu’un des nombreux musiciens afro-américains renommés à recevoir la lumière. Il a été rejoint par Nat King Cole, WC Handy, Dizzy Gillespie, Count Basie, Lionel Hampton et Paul Robeson.
    Rappelons que la franc-maçonnerie noire date d’avant la guerre d’indépendance américaine, de 1775 à 1783, lorsqu’un abolitionniste noir libéré et un maroquinier du nom de Prince Hall (1735-1807) s’est vu refuser l’admission à la Loge maçonnique St John’s à Boston, Massachusetts. Sans se laisser intimider par la rebuffade, Prince Hall et 14 autres hommes noirs libres ont été initiés à la Franc-Maçonnerie en 1775 au sein d’une Loge militaire britannique, à l’Orient de Boston.
    Pour moire, notre Frère Edward Kennedy « Duke » Ellington reçu la lumière au sein de « Social Lodge » N° 1, à l’Orient de Washington, D. C., en 1932. Il était aussi 32° du Scottish Rite Mason et membre des Shriners ou AAONMS (Ancient Arabic Order of the Nobles of the Mystic Shrine), traduisible par Ordre arabe ancien des nobles du sanctuaire mystique).

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