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Publié par Géplu
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jeudi 30 novembre 2023
  • 2
    Anubis Rê
    30 novembre 2023 à 17h45 / Répondre

    En réponse et complément au commentaire de ALMALINCO que je partage.
    Vu la tournure religieuse que prennent l’humanité en général -par trouille du lendemain- et la franc-maçonnerie en particulier -par trouille de perdre, quoi ? Une Tradition qui n’en n’est pas une, tout juste une mauvaise interprétation-, religions monothéistes qui inventent cette ânerie de l’homme devant dominer la Nature au lieu de l’inciter à la comprendre pour en bénéficier, différence entre le vol et l’intelligence, entre le savoir et la connaissance, entre le délire dogmatique et l’intellect, ce n’est pas demain la veille la prise de conscience.
    Et plus on tarde, et plus les mesures à prendre devront être radicales, et plus les trouillards voteront pour des climato-septiques.
    A écouter des gens tels Jancovici, pas le dernier des c , il est X, et que personne n’écoute, les 30 prochaines ne vont pas être glorieuses. Et tous les jours on insulte les écolos.
    Malheureusement je crains que là, au pied du mur, ce soit la réalité du genre humain que l’on voit, un débile mythomane depuis que la civilisation s’est éteinte, un jour de 429 où le chrétin Justinien défendit aux païens l’enseignement de la philosophie.

    • 3
      Remi
      1 décembre 2023 à 9h05 / Répondre

      Mes FF, Anubis et Almalico, vos commentaires retiennent mon toute attention, tant ils me paraissent pertinents. Cela dit, il pourrait bien se faire que le livre d’Yves Roucaute « L’Obscurantisme vert – La véritable histoire de la condition humaine » vous intéresse – afin d’élargir nos champs de réflexion.

  • 1
    Almalinco
    30 novembre 2023 à 10h10 / Répondre

    L’Homme tout puissant… Voilà une notion réellement dangereuse. Nous aimons nous placer au sommet de la création en oubliant nos « support de vie » que sont la terre et donc la nature. Nous parlons à qui veut bien nous entendre qu’il est nécessaire de sauver cette dernière. Mais la nature en vérité n’as pas besoin de nous pour se sauver. Elle se sauvera très bien et mieux sans nous.
    La vérité, c’est qu’à travers elle, c’est nous que nous sauverons. SI NOUS SAUVONS LA NATURE NOUS SAUVERONS L’HUMAIN EN TANT QU’ESPECE.
    Introduire de nouvelles voies théoriques, au cœur du processus initiatique à fin de mettre le vivant en majesté, dans sa globalité, semble être un bon début… Une première marche dans un escalier dont le sommet semble bien loin.
    Nous devons prendre conscience, et le crier, que c’est nous que nous devons sauver… Que nos actions sur la nature se répercutent directement sur nous et le vivant dans sa globalité. Si nous ne nous responsabilisons pas très rapidement, nous disparaîtront et nous ne pourrons jamais voir la nature rapidement se reconstruire.

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