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Géplu.
J’observe que le renvoi 3 cite la Hongrie, la Pologne et la Croatie.
Soit 3 pays membres de l’union européenne, et parmi les derniers à l’avoir rejoint.
A maintenant 10 mois des futures élections européennes, il me semble qu’il nous faudra, comme francs-maçons mais également comme citoyens, et électeurs, être attentifs à qui, parmi nos hommes et femmes politiques, sera le plus, et le moins, indulgents à l’égard des politiques de tels pays de l’UE.
Didine(1) nous dit préférer « mortalité féminine » à « mortalité maternelle ».
Je ne suis pas sûr de partager cette façon de voir.
Il me semble que mortalité féminine s’accorde avec mortalité masculine ou avec mortalité infantile.
Dans les trois cas c’est une mortalité envisagée par rapport à un état unique de la personne.
Dans la formulation « mortalité maternelle » peut-être s’agit-il ici de comprendre le fait que la femme n’est plus à être considérée seule mais avec une conception débutée ou en cours.
Ce qui est le cas de toute femme souhaitant l’interrompre, souhaitant avorter. C’est alors une mortalité liée au refus de la maternité. Et ce qu’elle que puissent en être les raisons (les exactions de guerre, les viols en étant quelques unes et de sérieuses)
6 – Rigoureusement exact. On est en FM.
Corrigeons nous : Et ce quelles que puissent en être les raisons.
Bien lu, bien vu, Didine..
Dans le cadre de l’article le substantif « Avortement » se suffit à lui-même. Tout le monde aura compris de quoi il s’agit. Point n’est besoin d’y rajouter un quelconque adjectif – qui alourdit la phrase inutilement. 😉
A quel adjectif fais tu allusion? « Clandestins »? Il ne me semble pas qu’il alourdisse la phrase. Je crois plutôt qu’il la précise, tous les pays n’ayant pas légalisé l’IVG. Loin s’en faut….
La phrase en titre à beau être d’Hillary Clinton, elle n’en est pas moins étrange! On enfonce les portes ouvertes…
J’apprécie l’article dans son ensemble, mais les termes « mortalité maternelle » ne me semblent pas appropriés.
Une femme ne devient pas systématiquement une mère, surtout dans le contexte de l’article.
Je dirais plutôt « mortalité féminine ».
Cela me rappelle que quand j’étais une gamine, l’une de mes tantes m’appelait « petite mère ».
Selon elle, mon destin était tout tracé !
Je suis l’exception qui confirme la « règle » mais sans doute pas la seule 🙂