Ordre de Charles XIII

Les trésors du Musée de la Franc-Maçonnerie – 8

Publié par Pierre Mollier
Dans Divers

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mercredi 30 septembre 2015
  • 13
    JEAN VAN WIN
    10 octobre 2015 à 16h06 / Répondre

    BOUTROULE. Nom commun, masculin singulier, synonyme, en français de Belgique, de nombril.
    Néanmoins, les ketjes de Bruxelles, dont je fus un membre très actif au début du siècle précédent, disent tous « une boutrouille », avec ce mépris très aristocratique qu’ils professent pour les convenances.
    D’où aussi mon redoublement erroné du l, qui vaut mes excuses offertes aux puristes. Les amateurs du français de Belgique, qui n’est souvent que du français du Moyen âge ayant survécu, liront avec intérêt le développement sémantique de la chose sur Internet à la rubrique :  » Français de Belgique ». Cela fait partie des incontournables, tels drache, pistolet, aubette, caberdouche, estaminet, carabistouille et autres cramiques.

    • 14
      pierre noël
      10 octobre 2015 à 18h05 / Répondre

      J’ajouterai la babelutte … et le chicon !

      • 15
        chicon
        11 octobre 2015 à 20h31 / Répondre

        C’est toujours un plaisir de venir en Belgique déguster du cramique (brioche au raisin) et des pralines (bouchées au chocolat). On peut y manger « à midi » des moules-frites en buvant une bière dont le choix est infini. Il ne leur manque que le vin qu’ils viennent boire en France…

  • 11
    JEAN VAN WIN
    4 octobre 2015 à 10h27 / Répondre

    Les Flandres, donc en France. Chez nous, nous avons la Flandre et la Wallonie. Avec Bruxelles comme boutroulle. Cordialement.

    • 12
      Chicon
      10 octobre 2015 à 12h42 / Répondre

      C’est quoi une ou un « boutroulle » ?

  • 8
    pierre noël
    2 octobre 2015 à 23h02 / Répondre

    @ Chicon:
    Bien essayé.

    • 9
      chicon
      3 octobre 2015 à 10h41 / Répondre

      @ pnoel – B comme Bernadotte ? On gravait ses initiales sur ses couverts, bijoux signe de la perenite du nom, simple hypothese

  • 7
    JEAN VAN WIN
    2 octobre 2015 à 13h22 / Répondre

    « Dommage que ces rites n’aient pas été importés en France ». ??
    Dommage pour qui ? Ils ont de la sorte été préservés de bien des altérations fantaisistes. Notons que le RER, qui a eu le bon sens de se réfugier en Helvétie lors des « troubles », a lui aussi réussi à se préserver. Enfin, pour une large part…

  • 6
    JEAN VAN WIN
    2 octobre 2015 à 12h53 / Répondre

    Oh là là ! De surcroît, il ne s’agit pas du Giridon, mais bien du Gridiron, c’est à dire du « gril » sur lequel on prépare la dite oie. L’histoire requiert la précision. Nos prédécesseurs soignaient leurs agapes…

    • 10
      chicon
      3 octobre 2015 à 20h40 / Répondre

      Au debut je comprenais la Grosse et le Guidon comme on dit au Tour des Flandres cycliste.

  • 4
    pierre noël
    1 octobre 2015 à 22h00 / Répondre

    La réunion fondatrice au Goose and Gridiron se tint en 1717, pas en 1817.

    • 5
      Chicon
      2 octobre 2015 à 12h25 / Répondre

      @pnoël – et que veut dire le B ?

  • 3
    Chicon
    1 octobre 2015 à 16h50 / Répondre

    @pmollier – l’installation du Prince Charles Jean en 1811 est proche de 1817 quand eu lieu la première réunion des FM anglais au « Goose and Giridon ». La FM spéculative n’aurait pas seulement été inventée à Londres mais existait déjà en Suède et en Écosse, suivant les registres de St Mary’s Chapel. Nos voisins anglais se seraient inspirés de ce qui existait ?

  • 2
    Pierre Mollier
    30 septembre 2015 à 14h30 / Répondre

    Il est tout a fait juste de dire que le Rite Suédois est un cousin du RER. Tout deux sont fortement marqués par une empreinte chrétienne, ésotérique et chevaleresque. Willermoz a d’ailleurs été en contact avec Charles de Sudermanie (le futur Chrales XIII).

  • 1
    chicon
    30 septembre 2015 à 9h41 / Répondre

    @pmollier – cette FM suedoise qui ne devoile pas ses rituels en dehors de ses loges est aussi pratiquée en Allemagne sous le rite de Zinnendorf, qui en est une variante. L’appartenance verifiee au rite Rectifie, cousin « germain » nous ouvre ses portes. Nous sommes tres loin de notre FM continentale souvent bavarde. Dommage que ces rites n’aient pas ete importes en France.

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