Moi, franc-maçonne

Publié par Géplu
Dans Edition

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mercredi 16 septembre 2020
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  • 4
    MONIC'SVIEW
    21 septembre 2020 à 16h38 / Répondre

    Un livre qui s’avère passionnant très instructif pour les jeunes générations de maçonnes. L’histoire de sa France côtoie l’histoire de la franc-maçonnerie féminine, de la Grande Loge Féminine et le vécu maçonnique de la sœur Rose Hébrard. On y découvre des personnages haut en couleurs et riches d’authenticité qui ont traversé sa vie ou plutôt ses vies parfois de galère. Au travers de ce regard sans fard sur ces années passées, Rose nous fait-elle découvrir les limites de nos valeurs, les contradictions du système du « vivre ensemble » et de notre pseudo « justice » et surtout la noirceur de nos ténèbres dans lequel se complait un égo surdimensionné … effrayé par cette Lumière divine au bout de la nuit … Celle de l’Espérance et de la Foi … qui finalement la sauvera et nous sauvera si nous trouvons la clef pour ouvrir la porte.

  • 3
    Born
    20 septembre 2020 à 11h19 / Répondre

    Je vais vite acheter ce livre.
    Nous avons de la chance de pouvoir lire le livre de cette dame car elle nous élève dans notre position dans la franc-maçonnerie.
    Quand je pense qu’il existe toujours des loges qui n’acceptent pas les femmes: ou est la bienveillance, la reconnaissance, la fraternité et encore et encore……

  • 2
    Patrice Deriémont
    16 septembre 2020 à 11h21 / Répondre

    Sans connaître vraiment Rose, j’ai eu la chance de la rencontrer et de parler avec elle de la maçonnerie et de son rôle pour chacun et chacune d’entre nous. Pour moi elle représente un modèle tant sa bienveillance m’a émerveillé.

  • 1
    Désap.
    16 septembre 2020 à 9h51 / Répondre

    « vers l’infini des philosophies anciennes, rejoignant les avancées éblouissantes des sciences modernes. Le passé reste l’ADN de son présent. » Merci Geplu pour la justesse de cette phrase.
    Les sciences modernes prennent leurs sources et leur esprit dans la Philosophie grecque puis gréco-romaine que le Christianisme, dès sa naissance (le Christ et ses apôtres n’ont pas de mots assez durs contre les Ecoles, les philosophes et le fait de s’instruire), n’a eu de cesse de chercher à détruire. La bonne nouvelle est que, nous seulement il n’y est pas parvenue, mais il est en déclin et la Philosophie reprend ses droits, notamment celui de nourriture de l’intellect qui produit l’intelligence.
    Etienne Klein, scientifique et philosophe, explique cette filiation, cette continuité ininterrompue.
    Merci Madame, ma Soeur.
    Il est tout à fait indispensable de lire nos anciens, de te lire.
    Reconnaissance et sentiments très fraternels.

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