Quand Umberto Eco présente « Le Cimetière de Prague »

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

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samedi 29 janvier 2011
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  • 4
    STOLKIN
    27 février 2011 à 10h46 / Répondre

    Magistralement écrit.Faut le faire de traiter un sujet pareil, sans priver le lecteur de garder de temps en temps un sourire. Mais c’est la formule secrète de Umberto Eco , n’est-ce-pas! Et oui , quand à la FM , on y fait connaissance de quelques faces cachées.

  • 3
    mathieu
    30 janvier 2011 à 22h50 / Répondre

    Ah, un livre qui sera une lecture au printemps prochain.

  • 2
    Patmo
    29 janvier 2011 à 12h09 / Répondre

    En attendant le 23 mars, ceux qui savent, ou croient savoir, pourront toujours relire avec profit le « Pendule de Foucault » sans oublier pour autant comme le montra Magritte que … « ceci n’est pas une pipe ! »

  • 1
    Compagnon63
    29 janvier 2011 à 11h51 / Répondre

    Je suis impatient de pouvoir lire ce nouveau roman d’Umberto Eco, qui réussit à être à la fois un écrivain de tout premier plan, un universitaire spécialiste en sémiologie, un auteur d’essais remarquables sur la peinture, et une conscience morale et intellectuelle dans un pays qui vit un contexte politique pour le moins particulier depuis plusieurs années!

    La fin du texte de présentation souligne que Eco met son érudition à la fois au service d’une création littéraire (c’est un grand lecteur d’Alexandre Dumas) et d’une volonté d’alerter ses lecteurs, de provoquer une certaine prise de conscience…

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