Tarek Oubrou

Tareq Oubrou à Villard de Honnecourt ce 26 novembre

Publié par Géplu
Dans Divers

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samedi 16 novembre 2019
  • 23
    Désap.
    20 novembre 2019 à 9h58 / Répondre

    Dans l’article intitulé « La prière et l’incantation » paru en janvier 1911 dans la revue La Gnose et cité par notre F. Dacier, Guénon indique précisément les raisons pour lesquelles aucun principe du monothéisme abrahamique n’a à entrer dans la loge, pourquoi ils n’ont aucune place à y trouver sauf à pervertir l’essence même des principes et de l’esprit maçonniques et la réalité de l’initiation.
    http://www.index-rene-guenon.org/Access_articles.php?sigle=EG&page=16&Publication=GN
    Cette article commence ainsi, je souhaite que cet extrait engagera chacun à le lire, il est d’une objectivité remarquable, il décrit toute l’inconstance du sentimentalisme et de l’anthropomorphisme, ce que par ailleurs dénonçait Marc Aurèle au 1er siècle après leur Prophète :
    – Dans une précédente étude (La Religion et les religions, 1re année, n° 10), nous avons dit que les religions ne sont que des déviations de la Religion primordiale, des déformations de la Doctrine traditionnelle, et que, par le mélange à celle-ci de considérations d’ordre moral et social, elles ont établi une déplorable confusion entre le domaine métaphysique et le domaine sentimental, et finalement donné à celui-ci la prépondérance, tout en conservant des prétentions doctrinales que rien ne justifie plus. Comme le sentiment est chose essentiellement relative et individuelle (voir L’erreur métaphysique des religions à forme sentimentale, par Matgioi, 1re année, n° 9), il en résulte que les religions sont des particularisations de la Doctrine, par rapport à laquelle elles constituent des hérésies à divers degrés, puisqu’elles s’écartent toutes plus ou moins de l’Universalisme (on pourrait dire du Catholicisme, si ce mot avait conservé son sens étymologique, au lieu de prendre, lui aussi, la signification spéciale qu’on lui connaît).
    Nous disons des hérésies à divers degrés, car on peut être hérétique de bien des façons et pour des raisons multiples ; mais, toujours, les opinions hétérodoxes procèdent d’une tendance de plus en plus accentuée au particularisme, à l’individualisme, substituant la diversité des croyances illusoires à l’unité de la certitude fondée sur la Connaissance métaphysique, seule admise par l’orthodoxie.

  • 18
    Désap.
    19 novembre 2019 à 0h32 / Répondre

    Il ne semble pas avoir de correspondance avec Denys Roman reprise sur index/Guénon.
    En revanche chose très intéressante, voici ce qu’écrit Guénon à Jean Tourniac depuis Le Caire le 11 octobre 1938 :
    « Je n’ai point « embrassé la religion musulmane », à une date plus ou moins récente, comme certains veulent le faire croire pour des raisons qui échappent à ma compréhension ; la vérité est que je suis rattaché aux organisations initiatiques islamiques depuis une trentaine d’années, ce qui est évidemment très différent. »
    J’ai eu l’occasion à plusieurs reprises de souligner cette erreur qui consiste à prétendre d’une conversion de Guénon à l’Islam ; une mystification de plus dont il s’agit de se défaire, de même que son supposé attachement au catholicisme ; je dois me répéter tant l’affirmation contraire est tenace de ce point de vue : Guénon fait de la religion un pis-aller spirituel faute d’initiation, il en considère le principe comme exclusivement exotérique, naturellement très inférieur et sans grand intérêt en comparaison.

    • 19
      DACIER
      19 novembre 2019 à 11h35 / Répondre

      Autant pour moi. La correspondance avec Denys Roman n’est pas sur le site de l’index. En revanche, on la trouve dans le Recueil René Guénon publié par Tamas chez Rose-Cross Books en 2013 au Canada. Tout-à-fait d’accord sur ce qui est cité concernant la prétendue « conversion » à l’Islam. Ailleurs, Guénon dit « qu’il ne conçoit même pas que ces choses aient eu un commencement ». Dans son article « A propos des conversions », il dit que celui qui a conscience de l’Unité des traditions est « inconvertissable » à quoi que ce soit. Cependant, il faut savoir situer chaque chose à sa place et ne pas mélanger le point de vue métaphysique d’ordre universel avec le point de vue religieux d’ordre individuel. Même dans un texte de la Gnose sous la signature de Palingénius – La prière et l’incantation – il écrit : « … il n’est nullement blâmable, même pour celui qui est autre chose qu’un simple croyant, de se conformer, dans un but intéressé puisqu’individuel, et en dehors de toute considération doctrinale, aux prescriptions d’une religion quelconque, pourvu qu’il ne leur attribue que leur juste importance. » Ce texte significatif a été repris dans les Aperçus sur l’initiation. Et je ne parle pas de l’article intitulé « Nécessité de l’exotérisme traditionnel »…

      • 20
        idriss
        19 novembre 2019 à 14h34 / Répondre

        Merci pour vos sources. Cordialement.

    • 22
      Désap.
      19 novembre 2019 à 15h50 / Répondre

      19 – Qui mélange le point de vue métaphysique d’ordre universel et le point de vue religieux d’ordre individuel, si ce ne sont ceux qui introduisent dans la loge des principes religieux ? C’est bien là tout l’objet de mon propos.
      Je me permets de rappeler que la loi maçonnique interdit toute discussion inhérente à des considérations personnelles, individuelles, en loge. Que viennent faire les principes de la Bible en loge, ce livre parfaitement exotérique basé sur
      une croyance ? Rien. Ch.1 Constitutions 1723.
      Je ne porte aucun jugement vis à vis des croyances de chacun, sauf lorsque le discours religieux devient prosélyte ; là on ne peut que répondre à des principes ayant pratiqué la destruction pour s’imposer, ce qu’historiquement ne s’était jamais produit, les conquêtes intégraient les principes locaux à leur tradition sans n’en rien modifier. On notera l’application du principe d’enrichissement quand d’autres ont choisi l’appauvrissement par la destruction.
      Ce qui est rapporté de La prière et l’incantation est peu flatteur pour la religion, on l’admettra : « pourvu qu’il ne leur attribue que leur juste importance ».
      L’exotérisme traditionnel ne se réduit pas au monothéisme abrahamique, c’est le dernier arrivé. Dans les traditions antiques, l’exotérisme, présent, est considéré à juste titre comme profane. Tout ce qui n’est pas d’ordre universel est profane, c’est le Principe de la maçonnerie.
      A méditer à propos de la cohérence maçonnique du RER, même en loge bleue.

  • 12
    Désap.
    18 novembre 2019 à 14h33 / Répondre

    11 – Mouais ………………………..
    Si ce n’est que ladite science des nombres, dont j’ai la prétention de n’être point ignorant pour son statut incontournable de la réflexion métaphysique, fût élaborée à Hermopolis à une époque où Moïse, Christ (Pantocrator ou humain) et Muhammad n’étaient pas encore en projet chez leurs géniteurs, eux-mêmes à l’état de néant.
    Cette science bien réelle et qui n’usurpait pas sa qualité avant que des spéculateurs ne la galvaudent, plaquée sur des noms d’inventeurs de cultes dogmatiques démontre bien toute la pauvreté et le mauvais plagiat de ces spiritualités toutes exotériques.
    Ces échanges mettent en lumière l’impérieuse nécessité de démystifier la maçonnerie, de la nettoyer de tous ces apports religieux tardifs et fallacieux.
    C’est parce que la franc maçonnerie s’est embrumée, dès 1735, de cette fausse mystique évangélique et abandonnant l’étude des principes de L’Ogdoade, que des maçons préférèrent malheureusement s’occuper de politique plutôt que de cautionner la superstition abrahamique.
    Mon Frère Dacier, quelle déception ! Je t’invite à revenir à la métaphysique, cette spiritualité plurimillénaire qui n’établit de vérités qu’hors de toutes considérations particulière et identitaire, celle qui ne saurait trahir l’universel pour affirmer une croyance, acceptant de remettre en cause à tout moment ce que l’on avait cru avoir établi de bonne foi dans le cadre le plus respectueux de son caractère.

  • 5
    Désap.
    17 novembre 2019 à 14h16 / Répondre

    4 – Voilà qui est emblématique d’une spéculation hasardeuse ou plus regrettable, d’un sophisme, somme toute de bazar.
    Le mot « ALLAH » n’est rien d’autre que la retranscription phonétique en lettres latines d’un vocable en langue arabe, de sorte que tout ce qu’en déduit IDRISS ne recouvre strictement rien de valable.
    Au surplus, l’Islam interdit toute représentation ainsi que toute assimilation de son dieu.

    • 6
      Idriss
      17 novembre 2019 à 21h33 / Répondre

      Sauf qu’en arabe c’est la même chose et il y a même une représentation bien physique en islam qui confirme cette « spéculation hasardeuse »… ce n’est pas parce que vous êtes aveugle (ignorant de certaines choses) que cela n’existe pas… la langue arabe à ses petits secrets mon ami mais vos préjugés vous empêcherons d’y accéder. Je vous donne un petit éclairage : avec l’islam, l’alphabet arabe passe de 22 lettres (comme l’hébreux) à 28 lettres… divisons le plus grand nombre par le plus petit 28/22 résultat 1,2727 > √φ = 1,2720 racine carré de phi au millième près, un heureux hasard… soit ça fait tilt dans votre tête, vous vous illuminés et vous vous dites que le hasard n’existe pas, et en effet il y a bien un lien initiatique qui est ici mis discrètement en avant, soit… je ne peux rien pour vous. restez dans vos ténèbres et votre prison mental (ment/AL 🙂 ). cordialement.

      • 7
        Gogol 1er
        17 novembre 2019 à 22h29 / Répondre

        Ouais, ouais.
        Pareil : en divisant l’âge de ma grand-mère par celui du capitaine, on obtient pile la hauteur de la grande pyramide. Lumineux, non ?… 🙂
        Mais si vous n’y voyez pas le signe que ma grand-mère va gagner au loto la semaine prochaine, je ne peux rien pour vous.

        • 8
          idriss
          17 novembre 2019 à 23h44 / Répondre

          Le bac à sable c’est au fond à droite… mais utilisons le pour une deuxième tentative d’illumination. Prenons un bac à sable donc circulaire donnons lui un diamètre d’une valeur d’un nom des d’ALLAH: WAHID > l’unique > UN : le périmètre du bac à sable sera de 3,14 autre constante mathématique, c’est aussi la valeur numérique du prophète Muhammad (314) dévoilé en son temps par l’émir AbdelKader bien connu de certain frères trois points… Je pourrais continuer avec la hauteur de la grande pyramide, l’apothème de la grande pyramide, la forme géométrique de la grande pyramide et même une troisième constante mathématique, la constante d’Euler… Ps: vous aurez très bien compris que mes messages ne s’adressent pas à vous, vous n’êtes qu’un support qui me permet de communique à ceux qui ont des yeux et un esprit grand ouvert (ou/vert comprenne qui pourra ) Adios gogolito 🙂

          • 10
            Désap.
            18 novembre 2019 à 9h40 / Répondre

            8 – ??
            Le problème avec l’exemple du bac à sable, c’est que celui-ci peut également être carré, et dans ce cas il n’y a aucune constante.
            Voilà bien illustrées vos spéculations hasardeuses ayant toutes les caractéristiques fantasmatiques d’un supposé ésotérisme de textes (évangiles, sunna) qui ne peut être qu’imaginaire par le fait de la Révélation qui donne des commandements, ainsi tout est bien révélé, tout est dit, fin de la réflexion, fin du libre arbitre et incarcération de l’esprit dans la prison religieuse.
            Jesus et Allah sont gr/ands, ceux qui les prient se réduisent inexorablement au périmètre de leurs croyances.

          • 11
            DACIER
            18 novembre 2019 à 11h30 / Répondre

            Voila qui est bien dit mais il y a belle lurette que ceux qui fréquentent les loges aujourd’hui ne s’intéressent plus à la science des nombres ; ils préfèrent ratiociner sur les questions politiques et sociales car c’est davantage à leur portée. Ce qui est dit sur la valeur numérique du nom du Prophète pourrait aussi s’appliquer au nom de Moîse et à celui du Christ Pantocrator et on serait surpris de trouver le même attribut divin… Cette science des lettres que devrait posséder tout Maître maçon est aussi une manière de rassembler ce qui est épars mais je doute que la plupart ne soit même plus capable d’épeler !

            • 14
              idriss
              18 novembre 2019 à 16h15 / Répondre

              @DACIER
              Je ne sais pas à qui votre message s’adresse mais il résume très bien ma démarche. C’est la propension hautement universel qui a fait que je m’édifie via ces sciences… c’est un choix. Mais je suis autodidacte et je serais très intéressé par un petit coup de pouce de votre part quand à la valeur numérique chez Moise et Jésus Pantocrator, si cela vous ai permis et possible… je vous en serais reconnaissant.

            • 16
              DACIER
              18 novembre 2019 à 18h30 / Répondre

              C/14 – Il y a un ouvrage remarquable de Jean Tourniac qui s’intitule « Les tracés de lumière »
              et il faut consulter la correspondance de René Guénon à Denys Roman sur le site index/René Guénon. D’ailleurs, en hébreu, le nom de Moîse
              – Moshe – est composé des mêmes lettres que
              le Grand Nom de Dieu – Hashem – avec les mêmes valeurs numérales…

        • 13
          réboussié
          18 novembre 2019 à 15h20 / Répondre

          et ça marche quelque soit le capitaine ? vous avez essayé avec un lieutenant colonel ? pour la hauteur de la tour Eiffel ? votre grand mère est compétente aussi ? ça me rappelle les noms des apôtres ….mais faut admettre que les noms d’origine , et avec l’accent ….ça ferait pas très disons local de souche …mais oui , il y a des livres sur la symbolique des nombres …sur les jumeaux ….pour les connaisseurs …voir certains psycho- socio -ethno ..les structures anthropologiques ….je relisais tantôt l’homme dévasté JF Mattéi , Matrix , la matrice , la caverne de Platon version 2.0….car c’est la Matrice qui contrôle l’extérieur de la caverne , aussi …alors les pinaillages sur le nombre de galons du capitaine ou l’âge de la mère grand ? une ombre au fond de la caverne ? ALLAH ? j’ai mieux , 6 lettres : PLATON .

      • 9
        Désap.
        18 novembre 2019 à 9h16 / Répondre

        6 – Bien explicite lorsque l’on prend l’exemple de IDRISS :
        mental (ment/AL) : Allah ment >> sur ce point nous sommes fondamental-ement d’accord : sur le fond du ment/AL il (e, Allah) ment, confirmé par deux fois dans le même mot. Le latin a également ses petits secrets qui vous échappe, Jupiter m’en est témoin 🙂 🙂

        • 15
          idriss
          18 novembre 2019 à 16h22 / Répondre

          Ben oui puisque qu’il est le seigneur du bas et du haut… et que le BAS TE LEURRE… 🙂

          ALLAH est celui qui guide… et qui égare…

          • 17
            Désap.
            18 novembre 2019 à 19h41 / Répondre

            15 – Oh la pirouette exceptionnelle !
            Et d’où le bas serait un leurre ?
            Je vous revoie à Hermes à ce propos.
            Le bas ne leurre que les ignorants et les prophètes de l’Apocalypse qui se chargent de fixer la pensée, trahissant ainsi leur incapacité à trouver la paix ; leur proposition n’est que souffrance, culpabilité et asservissement à ce qui apaise leurs névroses, c’est le propre de la peur.
            Je vous renvoie à Marc Aurèle pour qui le fanatisme des chrétiens était insensé (nous sommes à l’époque du christianisme primitif, si cher à nos maçons du RER) et ne pouvait tolérer leur fétichisme pour le Christ.
            Il disait très justement : « le christianisme se sert des passions pour installer une morale sans lien avec la nature et en particulier aucunement réfléchie. » 4000 ans de civilisation remarquable précèdent le philosophe, qui ont vu naitre des esprits aussi brillants que Pythagore, Parménide, Socrate, Platon, sans qui aucun minaret n’aurait dépassé cinq mètres de hauteur.

            • 21
              Idriss
              19 novembre 2019 à 14h50 / Répondre

              Mais personne ne nie l’apport des grecs. ni des égyptiens d’ailleurs, ni des perses, ni des indiens, ni des chinois… faudrait pas les oublier les prédécesseurs non plus hein ?
              Allez Wahlaykoum Salam.

  • 2
    Désap.
    16 novembre 2019 à 13h06 / Répondre

    Ce que décrit Anwen 1 de la manière dont s’est imposé l’Islam aux civilisations de l’Orient qui pratiquaient l’initiation est identique à ce que le christianisme mit en oeuvre pour s’imposer en Occident, destructions et abolition de l’esprit critique.
    Christianisme et Islam ont détruit systématiquement tout ce qui contestait leur théologie et leurs principes.
    l’analyse objective de ces plagiats d’un judaïsme mal compris montre qu’il n’y a rien de plus et au contraire bien moins qui ne soit présent dans les initiations antiques.
    Sur la base de ce syncrétisme, sans autre profondeur que celle qu’en donnent une spéculation fantasmatique sur des placements ou emplois de mots ou de constructions de phrases réputées d’une élévation spirituelle extra-ordinaire (celle-la même qui entraina la faillite de la Scolastique, et pour l’Islam l’apparition du sunnisme qui participera notoirement à l’effondrement de l’Empire Ottoman), ces religions en extrapolent une idéologie arbitraire fondée sur l’interprétation qu’elles imposent d’une Révélation ayant, elle-même, pour tout fondement la foi en un dieu qui se serait manifesté au hommes de manière à leur transmettre explicitement sa volonté, de celles qui sont létales si l’on n’y sacrifie pas son libre arbitre.
    Au regard de ce qui est exprimé dans les rituels de nos trois grades, également des quelques phrases sibyllines distillées discrètement mais systématiquement dans chacun des degrés du REAA, je serai toujours fasciné par ceux parmi nous qui voudraient nous faire croire au fondement chrétien, voire religieux de la maçonnerie. Evidement, je ne me base que et uniquement que sur les rituels RF 1785 et 1804 REAA.
    Pour ce qui est de cet imam qui semble plein de bonne volonté et de bon sens, à l’écoute de son intervention dans cette émission on ne peut qu’être prudent comme il faut toujours l’être vis à vis des prêcheurs de l’idéologie religieuse, il sont maitres dans l’art du sophisme.

    • 3
      FAIN Claude
      16 novembre 2019 à 17h35 / Répondre

      J’adhère totalement à ce brillant et exhaustif commentaire n°2 en soulignant juste qu’il est bon de regarder avec attention et comprendre la relation entre Tareq Oubrou et les Frères musulmans. Après cela, si vous croyez encore au discours « plein de sagesse » de cet imam auto-proclamé….

    • 4
      Idriss
      17 novembre 2019 à 3h17 / Répondre

      Ce qui rend la chose amusante c’est que ALLAH s’écrit d’un A pour le compas, d’un L pour l’équerre et d’un H pour Hermès … 3 lettres qui marquent le ternaire … Peut être parce qu’en islam aussi il existe aussi 3 « grades » … ALLAH un mot de 5 lettres : pour l’étoile flanboyante ? Le tétragramme et une pyramide sont aussi sous entendu dans ce mot … Le coran commence avec un triangle , un soleil , et une lune, symboles qui parlent a beaucoup et pour les voir dans le sourate 1, il fait avoir le « Ayn el kalb » autrement dit l’oeil en islam … Un hasard ? Je ne crois pas … Cordialement.

  • 1
    Anwen
    16 novembre 2019 à 5h01 / Répondre

    Bref rappel historique sur la naissance de l’Islamisme :
    C’est au milieu des luttes que l’Église catholique soutenait contre les premiers Chrétiens (féministes), qui gardaient fidèlement le culte de la Déesse, que retentit un cri de révolte d’un autre genre contre l’ancienne Théogonie : « Dieu seul est Dieu, et Mohammed est son Prophète. »
    Il n’est plus question de savoir de quel Dieu il s’agit, il n’y en a plus qu’un : c’est Dieu ; impossible d’être plus simple, et c’est avec ce cri et ce drapeau qu’une horde de cavaliers arabes va envahir l’empire d’Orient et celui des Perses, en guerre depuis 30 ans.
    L’an 630, Mohammed tombe comme une avalanche sur le territoire sacré de la Mecque, avec une armée de 10.000 hommes. La ville, incapable de résister, se rend, et Mohammed fait purifier la Kaabah (le sanctuaire) et détruire les images des anciennes Divinités pour anéantir le culte antérieur.
    « La Vérité est venue, dit-il, que le mensonge disparaisse. »
    La prétention de Mohammed d’établir un Dieu unique fut loin de gagner tous les suffrages.
    A peine né, l’Islamisme vit se former, en face de lui, une secte : les Ismaéliens.
    Cette secte avait pour fondateur Ismaël, qui mourut vers l’an 766. La société fondée par Ismaël prit le titre de « Zindik » ou « Esprits forts » ; elle devait, plus tard, perdre ce nom et n’être plus désignée que par celui de son fondateur.
    Les disciples d’Ismaël étaient des libres penseurs qui discutaient les préceptes du Coran chaque fois qu’ils en avaient l’occasion.
    Au début, ils agirent au grand jour, mais les khalifes les persécutèrent ; un de leurs chefs les plus célèbres, Babek, qui parut en 815, tomba avec ses partisans en 837.
    Ils se constituèrent alors en société secrète et enseignèrent l’antique vérité, comme les Manichéens, ou du moins le syncrétisme divin résumé dans l’idée d’une dualité représentant l’homme et la femme.
    Ce fut Abdallah, qui vivait à cette même époque à Ahwas, dans les provinces méridionales de la Perse, qui, rendu circonspect par le sort des disciples de Babek, résolut de miner sourdement la religion des Arabes et fit de l’Ismaélisme une société secrète.
    Il divisa l’enseignement des doctrines en 7 degrés. Dans le 7ème degré, on apprenait que toutes les religions des hommes étaient des chimères et qu’il fallait revenir à la Nature.

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