Bonne Année 2020 !

Publié par Géplu
Dans Divers

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mercredi 1 janvier 2020
  • 20
    willermoz 59
    4 janvier 2020 à 18h43 / Répondre

    Pour prolonger Lazar -Lag 19 (once more) et ses croquettes…

    “Everything in moderation, including moderation itself .” Ah ces Anglais , le pragmatisme of course…

  • 18
    Brumaire
    3 janvier 2020 à 12h07 / Répondre

    Qui c’est « modération »?
    Belle, bonne et doucé année à Géplu, son blog, et ses lecteurs, maçons ou non

    • 19
      Lazare-lag
      3 janvier 2020 à 12h39 / Répondre

      « Modération »?
      Tu auras certainement mal lu.
      En fait il s’agit de « Maud » (une amie ou une soeur) et « ration » ( de croquettes, pour les deux chats!!!!).

  • 17
    Lazare-lag
    2 janvier 2020 à 23h50 / Répondre

    Les premiers jours d’une année sont l’époque des vœux.
    Mais que sont les vœux de début d’année ? Sinon un échange de messages ?
    Lesquels messages, à l’heure, ou à l’ère même, d’internet sont des courriers (n’est-ce d’ailleurs pas la signification première du mot anglais « mail » ?).
    Et ces messages peuvent également être des lettres.
    Ce terme, lettre, couvrant à lui seul, d’abord pour la forme, un signe issu d’un alphabet, un outil, puis, pour le fond, la missive que l’on souhaite adresser à d’autres personnes.
    Ce faisant, à l’heure des vœux, et donc des lettres, il m’a paru intéressant de vous proposer quelques extraits de trois lettres célèbres de notre littérature :

    – « Lettre à la jeunesse », Émile Zola, 1898, rédigée en pleine affaire Dreyfus.
    « Ô jeunesse, jeunesse ! Je t’en supplie, songe à la grande besogne qui t’attend ; Tu es l’ouvrière future, tu vas jeter les assises de ce siècle prochain, qui, nous en avons la foi profonde, résoudra les problèmes de vérité et d’équité, posés par le siècle finissant. Nous les vieux, les aînés, nous te laissons le formidable amas de notre enquête, beaucoup de contradictions et d’obscurité peut-être, mais à coup sûr l’effort le plus passionné que jamais siècle ait fait vers la lumière, (…), les fondements mêmes de ce vaste édifice de la science que tu dois continuer à bâtir pour ton honneur et pour ton bonheur ».

    – « Lettre à un otage », Antoine de Saint-Exupéry, écrite et publiée dans la clandestinité en 1943 puis, Paris une fois libéré, chez Gallimard en 1944.
    « Je suis si las des polémiques, des exclusions, des fanatismes ! Je puis entrer chez toi sans m’habiller d’un uniforme, (…), sans renoncer à quoi que ce soit de ma patrie intérieure. (…)
    Si je diffère de toi, loin de te léser, je t’augmente. (…)
    Je sens tout le prix d’une communauté qui n’autorise plus les litiges. Nous sommes tous de France comme d’un arbre, et je servirai ta vérité comme tu eusses servi la mienne. Pour nous, Français du dehors, il s’agit, dans cette guerre, (…) de vous faire libres dans la terre où vous avez le droit fondamental de développer vos racines. Vous êtes quarante millions d’otages. C’est toujours dans les caves de l’oppression que se préparent les vérités nouvelles : quarante millions d’otages méditent là-bas leur vérité neuve. Nous nous soumettons par avance à cette vérité ».

    – « Lettres à un ami allemand ». Albert Camus, ces lettres datent également de la clandestinité, 1943 et 1944 ; publiées ensuite chez Gallimard en 1948.
    « Nous y avons appris que (…) l’esprit ne peut rien contre l’épée, mais que l’esprit uni à l’épée est le vainqueur éternel de l’épée tirée pour elle-même. 
    [L’Europe] est pour nous cette terre de l’esprit où depuis vingt siècles se poursuit la plus étonnante aventure de l’esprit humain. Elle est cette arène privilégiée où la lutte de l’homme d’Occident contre le monde, contre les dieux, contre lui-même, atteint aujourd’hui son moment le plus bouleversé. (…). Je continue à croire que ce monde n’a pas de sens supérieur. Mais je sais que quelque chose en lui a du sens et c’est l’homme, parce qu’il est le seul être à exiger d’en avoir. Ce monde a du moins la vérité de l’homme et notre tâche est de lui donner ses raisons contre le destin lui-même. (…). Votre sourire et votre dédain me diront : qu’est-ce que sauver l’homme ? Mais je vous le crie de tout moi-même, c’est ne pas le mutiler et c’est donner ses chances à la justice qu’il est le seul à concevoir.
    Voilà pourquoi nous sommes en lutte».

    Ces lettres, bien que n’étant pas contemporaines, ne rendent-elles pas comme un curieux écho en ce début de 2020 ? En cet achèvement du premier 5ème de notre XXIème siècle ?

  • 15
    Désap.
    2 janvier 2020 à 14h00 / Répondre

    14 – J’admets ton procès d’intention à une condition : que tu aies, au moins une fois, établi une réflexion hors de toute croyance, hors de tout principe qui soit issu de données invérifiables, c’est à dire hors du dogme biblique.
    Je me permets de rappeler que je m’adresse à des maçons qui devraient se soumettre à cet exercice, qui reste un exercice et non un principe parce que ce n’est qu’à l’issue de cet exercice que l’on peut établir des principes pouvant prétendre être proches de la vérité.
    C’est à cet exercice que se sont astreints les philosophes grecs vis à vis de la tradition égyptienne, ils ont cherché à la vérifier. C’est la raison pour laquelle ils ne comprenaient pas la dévotion des chrétiens et leurs croyances aveugles.
    Les théologiens chrétiens n’ont jamais réussi à contester valablement les critiques du Christianisme établies par les néo-platoniciens de l’École d’Athènes.
    Pour mettre fin à ce qui pouvait remettre en cause la nouvelle religion de l’Empire, Justinien n’eût d’autre choix que d’exiler les derniers philosophe et il fermera l’Ecole en 529.
    Puisque aujourd’hui on se targue d’étudier la Bible en maçonnerie, il me parait tout à fait indispensable de l’opposer aux traités de Saccas, Plotin, Porphyre, Jamblique, Proclus, Damascios, ou bien c’est le dogme qui s’immisce dans ce qui est d’essence a-dogmatique ; ainsi vous ne pratiquez plus la maçonnerie, mais bien et uniquement la religion et ceci de manière fondamentaliste puisque vous ne cherchez rien d’autre qu’extraire le message ésotérique de la Bible.
    Dans ce procès d’intention, je me demande s’il n’y a pas une inversion, si ceux qui prétendent défendre l’esprit maçonnique n’en seront pas la perte par l’élection de la subjectivité au détriment, au moins !, de la comparaison.
    J’ajoute que ce n’est surement pas de cette manière que vous résoudrez le problème de l’excommunication des maçons, problème d’ailleurs insoluble, dans l’esprit du Vatican il relève des même causes que la fermeture de l’Ecole d’Athènes.

  • 11
    Giraud
    1 janvier 2020 à 23h00 / Répondre

    Bonne et belle année fraternelle à tous.
    Bisesss et que la lumière vous accompagne.

  • 10
    Pierre-Philippe Baudel
    1 janvier 2020 à 20h42 / Répondre

    Avec nos bons voeux pour cette nouvelle année, reçois tout en même temps celui de pouvoir continuer à nous enchanter avec le Maître. . . Hiram.be !

  • 8
    Marco Antonio Piva
    1 janvier 2020 à 13h24 / Répondre

    Bonme annee 2020… des fretes du Brésil, de rite Français Moderne …
    Marco Antonio Piva
    Loge Fraternidade Acadêmica Ciência e Artes, 3685 a Jaraguá do Sul, province de Santa Catarina

  • 7
    MG RENAULT
    1 janvier 2020 à 11h47 / Répondre

    Pour dire merci pour cette carte de voeux merveilleuse car elle représente ici ce que l’on aime :

    Que cette année 2020 puisse faire avancer les valeurs de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité autour de vous, en France, en Europe et dans le monde.

    En période de crise économique, nous devons dépenser en priorité notre argent sur le territoire national pour donner de l’emploi par solidarité.

    Demandons la culture gratuite jusqu’à 25 ans. Alors nous vivrons dans un nouveau monde plus fraternel où les adultes de demain seront instruits avec un capital de connaissance et de tolérance.

    Nous devons penser à transporter les marchandises sur le rail et par voie d’eau pour limiter la pollution atmosphérique et améliorer la sécurité.

    Mettre la gratuité pour les transports en commun des personnes (train, métro, car).

    Nous ne sommes ni des esclaves de l’antiquité, ni des serfs du moyen-âge.
    La réduction du temps de travail est nécessaire pour le bien-être de la société et le partage du travail.

    Au 21ème siècle, avoir plus de temps pour se reposer, c’est plus de liberté pour mieux penser.
    La philosophie doit être à l’écoute des problèmes de société.
    Bon courage à tous
    FRATERNITE

  • 6
    Désap.
    1 janvier 2020 à 11h33 / Répondre

    Bonne année 2020 !
    C’est la vie qui est importante, pas ce qu’il y a après.
    Ce qu’il y a après on s’en balance, paradis, enfer blablabla, tout est ici !
    En revanche, ce qu’il y a (ou avait) avant peut être intéressant à connaitre ; c’est un peu l’idée maçonnique …
    Je vous embrasse par trois fois très fraternellement.

    • 12
      Emanuel
      1 janvier 2020 à 23h06 / Répondre

      C’est quand même étonnant que tu ne puisses pas éviter des généralisations abusives et des remarques désagréables.

      « Ce qu’il y a après on s’en balance, paradis, enfer blablabla, tout est ici ! »

      Ecris donc plutôt
      « Ce qu’il y a après je m’en balance, paradis, enfer blablabla, tout est ici ! »

      puisque c’est ton avis et qu’il n’est probablement pas unanimement partage.
      Fraternellement

      • 13
        Désap.
        2 janvier 2020 à 11h14 / Répondre

        12 – Mon cher Emmanuel, sur la forme je pense que tu as raison, sincèrement.
        Sur le fond, ces croyances sont tellement inverses à ce qu’enseignent les trois grades, tellement illusoires, il est tellement irrespectueux de la vie et son environnement de croire que le paradis se trouve dans le ciel, que je préfère choquer plutôt que de rester impassible ou mesuré.
        Tout en condamnant mon expression, peut-être celle-ci fera réfléchir ; en tout cas je le souhaite vivement, ce qui se prépare de menaces sur la vie humaine n’est pas du tout, en revanche, illusoire, et peut-être est-ce la conséquence de ces croyances.
        Bien Frat.

    • 14
      de Flup
      2 janvier 2020 à 12h08 / Répondre

      6:admirer sa propre opinion et ridiculiser les autres n’est pas une forme de sagesse.Que la nouvelle année soit l’occasion de soumettre l’état de ta pierre à ton libre examen et d’en tirer les conclusions…

  • 5
    Bilboquet
    1 janvier 2020 à 10h57 / Répondre

    Chat alors !
    voici un message venant de l’auteur Frédéric Lenoir que je souhaite partager avec chacun de vous…

    Je te souhaite mon ami(e) pour cette année nouvelle
    d’apprendre à aimer encore davantage la Vie.
    De l’aimer à travers ses hauts et ses bas,
    ses moments agréables et ses moments plus difficiles.

    De l’aimer pour les joies qu’elle t’offre, mais aussi pour les chagrins qu’elle t’invite à traverser.

    De l’aimer dans sa Lumière et dans ses Ténèbres,
    dans l’évidence et dans le doute.

    De l’aimer dans l’émerveillement des naissances, comme dans la douleur des départs.
    Je te souhaite de découvrir que de grandes joies peuvent jaillir après des peines profondes.

    Que les plus belles Lumières surgissent des nuits les plus noires.
    Que sans expérience du malheur, tu n’aurais aucune conscience du bonheur.

    Je te souhaite mon ami(e) d’aimer la Vie, toute la Vie, et pas simplement lorsqu’elle te semble le plus favorable.

    Regarde-la comme un tout indivisible.

    Et tu découvriras alors que le secret du bonheur véritable n’est autre qu’un Amour inconditionnel de la Vie.

    Frédéric Lenoir

  • 3
    Jean Claude Dorion
    1 janvier 2020 à 10h26 / Répondre

    On peut aussi voir cela comme l’opposition maçonnique bleue et rouge au XIXème siècle entre les bleus anglais et les rouges français dans l’Europe maçonnique de l’époque ou encore entre des Maçons traditionnels croyants anglais, un des trois piliers « visibles »de la société anglaise, et des Maçons français moins croyants et plus secrets, ce qui amènera la Maçonnerie française athée!
    Jean Claude Dorion

    • 4
      GépluAdministrateur
      1 janvier 2020 à 10h56 / Répondre

      Pourquoi chercher à voir des oppositions dans une image qui se veut tout le contraire ?… ??

      • 16
        de Flup
        2 janvier 2020 à 15h41 / Répondre

        Reconnaissance à Géplu pour son approche positive: qu’il puisse inspirer ceux qui envoient des commentaires en 2020…

    • 9
      Gérard P
      1 janvier 2020 à 17h58 / Répondre

      D’autant que les francs-maçons français du XVIIIe siècle travaillaient avec les mêmes sautoirs et cordons de couleur bleue clair que les maçons londoniens des années 1720, couleur importée sur le continent en même temps que cette maçonnerie des premiers temps, et devenue depuis celle du rite français et qui a donnée son nom aux « loges bleues ». Le rouge du REAA n’est arrivé et ne s’est développé que beaucoup plus tard, courant XIXe effectivement, et n’était d’ailleurs pas majoritaire au XIXe.
      La « tradition » anglaise à laquelle tu fais allusion ne date au mieux que de 1813, année de constitution de la Grande Loge Unie d’Angleterre sur des principes dans lesquels une religiosité apportée par Dermott avait supplanté l’esprit « laïc » de 1717.
      La franc-maçonnerie française la plus ancienne, celle du GODF, héritière de cet esprit de 1717 n’est pas « athée », mais adogmatique, c’est-à-dire qu’elle laisse à ses membres une totale liberté de conscience, comme la grande majorité des obédience françaises.

  • 2
    Emanuel
    1 janvier 2020 à 10h07 / Répondre

    Quand j’étais gamin (y a longtemps) dans mon village on disait « Bonne année, bonne santé. Le paradis à la fin de vos jours et la goutte au nez toute l’année (parait que c’est un signe de bonne santé mais personne ne précise de quelle goutte il s’agit).
    Alors bonne année à tous et « la frite » toute l’année.

  • 1
    altec
    1 janvier 2020 à 10h04 / Répondre

    Bonne année HIRAM.B

    la bonne note = 20/20

    2000 vins mais avec modération

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