De midi à Minuit, quelques poèmes de fraternité, 4

Publié par Géplu
Dans Divers

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dimanche 24 mai 2020
  • 3
    Cabessac
    31 mai 2020 à 10h26 / Répondre

    Approbation d’un « silencieux » qui tourne et retourne mentalement les idées sans avoir spécialement besoin d’enquiquiner éventuellement son entourage avec ça. La discrétion, c’est pas mal….
    Ce qui n’empêche évidemment pas de participer lorsque c’est nécessaire.

  • 1
    Patrice
    26 mai 2020 à 9h03 / Répondre

    Voici un beau poeme dans lequel je retiens notamment « la seve du savoir » A mediter sur nos soit disant savoirs ,!

    Et reste surpris de ne pas voir de commentaire vis a vis de ce beau texte La beaute n’interesserait Elle pas !

    Merci a Jacques Viallebesset
    Bien Fraternellement

    • 2
      Lazare-lag
      26 mai 2020 à 10h25 / Répondre

      De quoi l’absence de commentaire peut-elle être ici révélatrice?
      Ici, en présence d’un poème aussi bien construit, le silence est-il forcément signe de désintérêt?
      Le silence ne serait-il pas alors, ou plutôt, dans ce cas bien précis, dans ce cas présent comme un témoignage de respect?
      Et peut-être aussi du fait que nous avons conscience que nos propres commentaires atteindront difficilement la même hauteur que l’oeuvre elle-même, et vraisemblablement pas dans le même tempo, pas dans la même musicalité, pas dans la même légèreté.
      Le silence ne serait-il pas alors comme une sorte de pudeur?
      – – –
      Allons plus loin, le silence de l’apprenti est-il une absence de celui-ci, du nouvel initié vis-à-vis de ce qui l’entoure, de ce qu’il découvre, de ce qu’il analyse et de ce sur quoi il ne peut s’exprimer?
      Le silence, celui de l’apprenti comme celui devant un poème, ou toute oeuvre d’art, est-il signe de vide et de néant?
      Le silence est-il étranger au monde qui l’entoure?
      Tu dis: « La beauté n’intéresserait-elle pas? »
      (mais je préfère personnellement y mettre un point d’interrogation plutôt que d’exclamation).
      Bien sûr qu’elle intéresse la beauté, mais est-on tenu de s’exprimer chaque fois que quelque chose nous touche, nous émeut?
      Ne rien dire devant tel tableau, ou ne rien dire en sortant du cinéma après avoir vu tel film, ou après avoir écouté tel concert, est-ce réprobation ou son contraire?
      Mais je veux bien t’accorder que le propre du silence est de prêter le flanc à maintes interprétations, comme quoi le propre d’une pensée manifestée par un silence ne peut pas être gravée dans le marbre.
      Ce qui en fait sa faiblesse probablement.

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