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Histoire d’un silence

Publié par Géplu
Dans Edition

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lundi 31 octobre 2016
  • 18
    Lionel Maine
    1 novembre 2016 à 11h22 / Répondre

    Je me demande pourquoi, pour qualifier les « déviations sexuelles », on utilise « -philie » et pas « -manie » ?

  • 16
    1rsenic
    1 novembre 2016 à 10h20 / Répondre

    Ca fait drôle de voir des maçons en plein débat théologique alors qu’il s’agit d’un problème de droit pénal.

    • 17
      jules
      1 novembre 2016 à 10h39 / Répondre

      Réduire le viol et la pédophilie à « un (simple ?) problème pénal » me parait un peu court Arsenic.
      Sans être théologique le « problème » peut aussi être vu sous son aspect moral et sociétal, compte tenu de la volonté d’implication du (des) clergé/s (et donc de leurs religions) dans la vie de la société.
      On est même là au cœur de la loi de 1905 et de la séparation du temporel et du spirituel. La responsabilité d’un « homme d’église » qui veut s’impliquer dans la vie de la cité avec son « autorité morale » est-elle plus lourde que celle d’un citoyen lambda ?
      En pénal bien sûr que oui, ce sont des circonstance aggravantes, mais cela casse aussi « l’image » d’hommes de bien que sont censé porter ces gens d’églises…

      • 19
        Chicon
        1 novembre 2016 à 12h07 / Répondre

        Jules – « Cela casse l’image d’hommes de bien que sont censé porter ces gens d’églises » c’est peut être la motivation du Cardinali Barbarin. L’ideal serait peut être qu’en interne l’Eglise soit sans consession avec de tels cas de pédophilie. Une sorte de cour pénale du diocèse et qui travaille dans la discrétion. Mais il faut sortir de ces affaires de pedophilie, Isabelle de Gaulmyn à raison de tirer la sonnette d’alarme.

  • 7
    Arsenic
    31 octobre 2016 à 17h52 / Répondre

    On se fiche éperdument des pseudo testaments et de leur traduction.
    Quant à la pédophilie, il y a aussi des hommes mariés qui s’en rendent coupables.
    La seule solution c’est de juger sévèrement les auteurs de ces crimes et ceux qui les couvrent
    d’où qu’ils viennent, catholiques ou non.
    Quelques mois de taule ferme pour Barbarin, ça ferait réfléchir les autres chefs de l’armée mexicaine.

  • 2
    Luciole
    31 octobre 2016 à 10h30 / Répondre

    Ce sont toujours des drames à porter toute une vie.Mais outre le silence complice l’église romaine perpétue un climat qu’une simple mesure de bon sens améliorerait,en finir avec le célibat des prêtres.
    Les orthodoxes ne confient une paroisse qu’à un prêtre marié et qui peut raisonnablement prétendre de nos jours que le célibat (non-volontaire) permet un meilleur service des ouailles?
    les exemples contraires ne manquent pas.
    L’ église romaine favorise ainsi les névroses et en même temps fournit les conditions d’un passage à l’acte.
    Je ne parle même pas du refus d’ordonner des femmes prêtres ce qui est un autre sujet.

    • 6
      Chicon
      31 octobre 2016 à 15h32 / Répondre

      @luciole . analyse claire et complète. On peut peut-être ajouter les attouchements témoignage d’affection envers les enfants. Attouchements qu’on trouve normaux chez un père de famille mais déplacés chez un religieux qui éprouve de l’affection pour des enfants.

      • 11
        Luciole
        31 octobre 2016 à 21h41 / Répondre

        Terrain glissant, quand on parle d’attouchements il s’agit de ceux de caractère sexuels.Même un père de famille connait les limites qu’il se fait tout naturellement.Un religieux qui embrasse un enfant comme le ferait un oncle ne me dérange pas,ce qui n’empêche pas une nécessaire vigilance!

    • 12
      Jeroboam
      31 octobre 2016 à 22h13 / Répondre

      Dans l’orthodoxie le mariage n’est une possibilité que pour les prêtres de base, un peu l’équivalent des diacres catholiques, qui eux aussi peuvent être mariés. Pour monter dans la hiérarchie orthodoxe il faut être célibataire et faire voeu de chasteté, comme chez les catholiques.

  • 1
    Lionel Maine
    31 octobre 2016 à 7h56 / Répondre

    « Laissez venir à moi les petits enfants » (Luc, 18-16).

    • 3
      Emmanuel
      31 octobre 2016 à 11h04 / Répondre

      N’interprétons pas abusivement. Les petits enfants (Luc 18-16) sont en premier lieu les gens simples ceux dont il sera question dans les Béatitudes « Heureux les pauvres EN esprit… ».

      • 4
        Lionel Maine
        31 octobre 2016 à 11h55 / Répondre

        Ben voyons, et tant qu’à faire de la sémantique, ils sont âgés de « trois ans et moins »!

        • 9
          Emmanuel
          31 octobre 2016 à 18h58 / Répondre

          Evitons d’ajouter de la sottise maçonnique à l’idiotie cléricale. Il ne s’agit pas d’excuser en quoi que ce soit les agissements de ce prêtre ou d’autres. Simplement de citer les écritures avec un minimum de distance.

      • 5
        Chicon
        31 octobre 2016 à 12h12 / Répondre

        Emmanuel . Encore une traduction approximative en latin de St Jérôme, et qui rend perplexe.

        • 10
          Emmanuel
          31 octobre 2016 à 19h00 / Répondre

          J’espère que l’intention de Lionel Maine n’était pas de faire passer Jésus pour pédophile???

          • 13
            Lionel Maine
            31 octobre 2016 à 23h39 / Répondre

            Je viens de consulter « Luc » dans le texte grec original; « enfants » traduit bien « paidia ».
            Après vérification effectuée dans le dictionnaire Bailly, aucune acception du type « pauvre en (ni d’, d’ailleurs)esprit »n’y est attestée; votre interprétation ne sert qu’à … « noyer le poisson » !
            Quant à votre question sur le dénommé « Jésus », n’étant même pas sûr de son existence historique, je me garderai bien de conjecturer sur ses préférences sexuelles !
            Par contre, si vous en êtes zélateur, je vous conseille « la dernière tentation du Christ » de Nikos Kazantsakis, qui pourrait vous éclairer sur ce sujet.

            • 15
              Chicon
              1 novembre 2016 à 10h09 / Répondre

              @lionel maine – tu as certainement raison concernant la traduction en grec de St Luc. Je reste prudent avec les réécritures de la période de Jésus par des apôtres qui ne savaient ni lire ni écrire. Ces textes ont été remanies pendant les premiers siècles ou d’ailleurs Rome et Byzance n’en avaient pas la même lecture jusqu’au Concile de Nicée. D’où ma réserve quant au contenu de certains passages des Evangiles synoptiques.

    • 8
      lazare-lag
      31 octobre 2016 à 18h33 / Répondre

      Un tel thème se prête-t-il vraiment à la plaisanterie?
      Si des victimes de pédophiles nous lisent, je me pose la question de savoir si cela peut les amuser…

      • 14
        Arsenic
        1 novembre 2016 à 9h43 / Répondre

        Effectivement, pas de quoi rigoler.
        Quant à sortir son livre de messe,
        ça ne fait pas avancer la justice.

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