Ken Boothe et le New World Order

Publié par Jiri Pragman

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jeudi 10 octobre 2013
  • 6
    l''''''''''''''''Ecossais Maçon
    26 octobre 2013 à 15h59 / Répondre

    Mais, si le livre n’est pas publié, est-il au moins possible d’en lire des extraits quelque part ?

  • 5
    Raphaël Imbert
    12 octobre 2013 à 14h21 / Répondre

    De rien, Tao. Je précise que les infos du deuxième paragraphe de mon commentaire sont issus de mon livre « Jazz Supreme », hélas toujours pas publié. Mais au moins, ce n’est pas de la publicité cachée!

  • 4
    Raphaël Imbert
    11 octobre 2013 à 13h31 / Répondre

    De rien Tao! C’est un sujet passionnant et peu étudié. Je précise que les informations du dernier paragraphe de mon commentaire sont issues de mon livre « Jazz Supreme », qui étudie entre autre le rapport du jazz avec la maçonnerie afro-américaine. Le livre n’est, hélas, toujours pas publié, mais je ne serai pas accusé ainsi de publicité cachée!

  • 3
    Tao
    11 octobre 2013 à 13h26 / Répondre

    Très heureux de bénéficier des apports de Raphaël Imbert. Merci à toi !

    Amitiés,

  • 2
    Raphaël Imbert
    11 octobre 2013 à 9h31 / Répondre

    Ken Boothe est un grand artiste, et cela rend d’autant plus ridicule son délire complotiste du plus mauvais goût (la palme revient à l’enfant les yeux bandés!). Cela devient de plus en plus répandu dans les musiques afro-caribéennes et afro-américaines. Pourtant, comme pour le jazz, le blues et le rap, il serait bon de rappeler à Ken Boothe l’importance de la maçonnerie afro-américaine dans l’élaboration culturelle du monde afro-américain, et particulièrement de la Jamaïque. Le rastafarisme, référence religieuse primordiale des artistes reggae, a aussi puisé dans la mythologie maçonnique chère aux maçons de Prince Hall.

    L’un des créateurs du rastafarisme, Joseph Nathaniel Hibbert, est initié en 1924 au Costa Rica à l’Ancient Mystic Order of Ethiopia, organisation maçonnique liée à la Prince Hall Masonry. À son retour en Jamaïque, Hibbert s’inspirera de son expérience initiatique pour orienter le culte de l’Église copte éthiopienne, qu’il crée. Et pour y implanter en 1941, avec Leonard Howell et Archibald Dunkley, une branche maçonne « mystique et éthiopienne », prêchant le règne sacré d’Haile Selassie et mêlant culture biblique, logique initiatique et mythologie salomonique. L’auteur David Williams Spencer dans « Dread Jesus » pousse l’analogie maçonnique encore plus loin : le mot rastafarien « Jah » (Dieu) proviendrait selon lui du nom maçonnique de Dieu « Jahbulon », présent dans le rituel maçonnique du Royal Arch.

  • 1
    Tao
    10 octobre 2013 à 21h16 / Répondre

    Déçu, le Tao… Déçu… :o(

    Amitiés,

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