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Géplu.
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Certes, le travail de Pierre et des bibliothécaires est non seulement louable mais fort utile. A l ère du numérique, la consultation des ouvrages ne nécessite pas le présentiel. Tu en témoignes
L’éloignement n est pas que géographique, il est aussi temporel. Pour nous parisiens , la circulation automobile, le stationnement, les transports en communs insuffisants, les tarifs élevés des taxis,l insécurité rendent nos déplacements compliqués pour nous rendre à nos tenues qui se terminent tard le soir. La remorque de Rémi.est pertinente, le bistrot serait très rentable et aiderait le restaurateur de Cadet à équilibrer son budget.
Au total, je maintiens, signe et persiste pour remplacer la bibliothèque par un bistrot, la bibliothèque et le service de numérisation pouvant être delocalisés dans un local plus spacieux.
Pour ce qui est de la bibliothèque peu fréquentée, je crois qu’il vaut mieux nuancer, et ne pas la condamner trop vite.
D’une part, tous ceux, et celles, susceptibles de l’interroger ne sont pas parisiens, et donc la présence physique, le déplacement sur la capitale, n’est pas à la portée de tous pour une fréquentation régulière.
D’autre part, nous vivons une époque où les moyens informatiques permettent de corriger ce défaut, pour ceux et celles d’entre nous, qui sont géographiquement éloignés, les plus nombreux je suppose.
Je suis de ceux-là, étant distant de Paris d’environ 800 km.
Soit quelques heures de train, et quelques frais d’hôtellerie lorsque je programme un séjour dans Paris.
Enfin, annuellement, la Bibliothèque produit un petit rapport d’activité lequel est généralement fourni parmi les documents remis aux délégués des Convents.
On peut s’y rendre compte que la fréquentation y est donc assez soutenue, et pas seulement par une présence réellement et exclusivement physique.
Et que cette fréquentation peut être variée, et pas seulement maçonnique, et pas exclusivement en provenance du GODF. De nombreux chercheurs, profanes et/ou universitaires savent frapper à la porte de la bibliothèque du G.O.D.F.
Pour ce qui me concerne, je me suis lancé dans une recherche historique assez prenante. Pour le moment mes contacts se font beaucoup par mails.
Mais ils sont, je l’espère, préparatoires et préalables à un déplacement de recherche plus fructueuse sur place, dans les murs.
Ce faisant, je tiens donc à rendre ici hommage à cette équipe de bibliothécaires qui aident plus que bien à la cause de la recherche historique et maçonnique.
La partie visible de l’iceberg en est bien évidemment Pierre Mollier, mais il a su s’entourer d’une équipe qui, si elle est discrète ou moins connue, n’en est pas moins efficace.
Et si la dite bibliothèque a remplacé un bistrot interne à Cadet, je ne me fais aucun souci sur l’état des gosiers qui fréquentaient le dit bistrot. Il n’est de gosier maçonnique qui se laisse atteindre par la sècheresse.
Rien n’est en effet plus convivial, chaleureux et sympa que le « bistrot maçonnique » – pour les rencontres fraternelles. Sans compter le rapport non négligeable pour le tenancier. Quel dommage.
Autrefois, l hôtel de la rue Cadet bénéficiait d une salle de spectacle, cinéma au rez-de-chaussée remplacée par le Musée, d un bistrot au premier étage, lieu de rencontres fraternelles, remplacé par une bibliothèque très peu fréquentée. Maladresse ou mauvaise gestion, le siège du GODF manque de place.