Les 31 Juridictions signataires de la déclaration d’Istanbul

Publié par Géplu
Dans Divers

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vendredi 20 décembre 2019
  • 20
    pierre noel
    22 décembre 2019 à 17h23 / Répondre

    #1817-« Le Rite Ecossais Ancien et accepté (REAA) des Hauts Grades commencent en 1817. La dénomination de la structure de cette juridiction s’appelle alors le Suprême Conseil (SC) de Belgique. »

    Le SC créé le 16 mars 1817 à Bruxelles s »appelait « Le SC pour les Pays-Bas ». Il ne changera son nom en SC de Belgique qu’après les événements de 1830. Le reste est à l’avenant.

  • 19
    willermoz 59
    22 décembre 2019 à 16h38 / Répondre

    Oh la la, ça devient de + en + sérieux, certes intéressant historiquement, mais pour non pas répondre mais prolonger le propos (15) de Lazare-Lag et en se dirigeant en oblique, revenons non pas à nos moutons mais à nos volailles, rappel cordon bleu ou label rouge, c’est laquelle la plus savoureuse (pour rester de bon goût sinon ça peut prêter à Confucius) ? Et à leur Suprême de volaille….
    L’histoire du policier n’est pas sans lien car le Suprême de Volaille institue, réglemente, autorise, administre, destitue parfois … sans parler des indicateurs, les tontons, oups contravention , vous êtes allé voir dans la basse cour d’à côté (label rouge ou cordon bleu c’est selon) sans autorisation préalable, une plume en moins sur votre passeport volailler voire confiscation.
    Toutes fonctions qui ressemblent aussi à des pratiques « volailleuses  » du commissaire cité, on est toujours sous l’œil de quelque emplumé si j’ose dire…
    La volaille ne connaît l’universel que dans sa basse cour au sein de laquelle les coqs se regardent avec vigilance et persévérance, mais c’est vrai pour toutes les institutions qui prétendent à l’universalité, que des divisions (sans Vatican).
    Une volaille libre et de bonne humeur, élevée en plein air c’est à dire sauvage , la solution ?
    Pas certain, car pas reconnue par les suprêmes de volailles donc la tentation de créer sa propre recette et son propre Suprême, donc Istanbulles et champagne pour tous !!

    • 21
      Lazare-lag
      22 décembre 2019 à 18h06 / Répondre

      Ne pourrait-on pas dire (peut-être, c’est juste une éventualité, tout juste une hypothèse, à peine une suggestion…) :
      Willermoz 59 ou l’art de parler des … canaris sans jamais les citer?
      Mais il est vrai qu’il ne s’agit point là de volaille, quoique pourvus de bec et d’ailes.
      C’est vrai qu’en plein préparatifs de Noël, on pourrait aspirer à un peu plus de détente, ou un peu moins de « sérieux » (sic), mais libre à chacun de cultiver une docte austérité jusqu’au moment de servir les huîtres, lesquelles ne sont d’ailleurs pas des volatiles, en tout cas au R.E.A.A..
      Ce faisant, une bourriche d’huîtres maçonniques c’est combien?
      Sept? Ou Dix-huit? Ou carrément trente-trois? Je ne sais plus.
      Et s’il s’agit d’un plateau, doit-il rejoindre l’Orient?
      De toute façon, et quel que fût le thème, profane or not profane, l’essentiel n’est-il pas de ne pas être le dindon de la farce?
      Sur ce, resservons-nous un canon, haut les coupes, et buvons!
      Et buvons tous, tous les frères, même les austères.
      D’ailleurs il est bien connu que les austères ne doivent pas rester sur les parvis.
      On se doit toujours de proposer l’entrée à un austère, on l’installe ensuite à la meilleure place, près du feu, puis, pour la suite, on l’invite ainsi:
      « Austère, bois! »
      (désolé…, il y en a qui ont été rétrogradé apprenti pour moins que ça….)

  • 18
    Marc De Ridder
    22 décembre 2019 à 11h26 / Répondre

    SCRE dans le paysage des Hauts Grades masculins en Belgique : dates et évènements significatifs

    1817-Le Rite Ecossais Ancien et accepté (REAA) des Hauts Grades commencent en 1817. La dénomination de la structure de cette juridiction s’appelle alors le Suprême Conseil (SC) de Belgique.
    1960 – Ce Suprême Conseil dénonce le fameux traité d’alliance qui fut signé avec le Grand Orient de Belgique (GOB) en 1880. En effet ce SC de Belgique établit alors une liste limitative des ateliers qui étaient autorisé pour le recrutement de candidats pour les Hauts Grades.
    En fait ce Suprême Conseil est le résultat de la scission du GOB car une nouvelle obédience décida de se proclamer « régulière » et porte le nom de Grand Loge de Belgique (GLB). Celle-ci fut constituée le 4 décembre 1959.
    N’oublions pas que la maçonnerie pratiquée en Belgique en ce temps-là est largement de type « moderne », tandis que les Hauts Grades appliquaient le rite du REAA.
    Malgré cette scission un nombre important de FF désiraient rester au GOB et décident donc de quitter ce SC de Belgique.

    1961 – Le 25 avril 1961 une déclaration de principe jettera la base d’une nouvelle juridiction qui porte le nom de Souverain Collège du Rite Ecossais (SCRE). Notez bien la nuance importante entre « suprême » et « souverain » qui implique une importe différence sur le fonctionnement l’utilisation obligatoire des symboles tels GADLU, Livre sacré et l’immortalité de l’âme et la croyance en un Dieu. Son article 3 dans la convention est claire : »… La démarche initiatique est une recherche spirituelle qui se fonde sur la proclamation par le Rite de I ‘existence d’un Principe dit Supérieur ou Créateur, connu sous le nom de Grand Architecte de I ‘Univers… ».Ce dernier élément d’obligation est toujours d’application dans le SC de Belgique et ce suivant les résolutions AIME adoptées par les Suprêmes Conseils du REAA (inclus la Belgique) à Naples en 2012. (Voir annexe)

    L’installation officielle du SCRE eut lieu le 24 février 1963 en présence du GOB et d’obédiences étrangères. Elle comportait alors 8 Chapitres, 4 Aréopages et un Conseil Initiatique Supérieur qui s’occupe uniquement du 31-32-33 ième Degré. Un Bureau exécutif en est le pouvoir administratif et renouvelé par des élections tous les 3 ans.
    En 1965 le SC de Belgique ne recrute qu’au sein de la GLB confirmé par un décret promulgué le 10 juin 1965.
    Le Chapitre des « Amis Philanthropes » souché sur sa loge bleu membre du GOB, suspend ses travaux le 28 avril 1966 et 2 groupes distincts voient le jour : TRADAM et Delta et ce dernier maintien l’acceptation du décret tandis que TRADAM le refuse.

    1966 – Le SCRE signe une convention avec le GOB qui sera amendé en 1979 permettant un recrutement de VV FF du GOB et de la GLB.
    1969 – En 1969, 7 Grand Inspecteurs Généraux du SC de Belgique abrogent ce fameux décret de 1960 et renoue des relations fraternelles avec le SCRE. Le 15 décembre 1969 est promulgué le décret et est fondé le SC pour la Belgique (Persil) qui accepte le recrutement de VV FF du GOB et de la GLB.

    1979 – Scission de la GLB et création de la Grande loge Régulière de Belgique et son SC sous le nom de SC pour la Belgique (Rue Royale). Fondation quasiment simultanée, et en réaction, par les FF de 7 ateliers restés fidèles à la GLB, d’un nouveau SC. : le Grand et Suprême Conseil pour la Belgique GRASPUCO dont l’accès est réservé aux FF de la GLB.
    2002 – Un nombre croissant de FF du SC pour la Belgique (1969) recherchent un rapprochement avec le GRASUPCO et le SC pour la Belgique.
    La nouvelle Juridiction va reprendre le titre de Suprême Conseil (du REAA) de Belgique.
    A Liège, un nombre significatif de VV FF ne voulant pas rejoindre le SC de Belgique, crée une
    juridiction sous le nom de Suprême Conseil pour la Belgique (SCPB-Liège).

    références complémentaires :
    http://sifodierisinvenies.overblog.com/2015/08/souverain-college-du-rite-ecossais-pour-la-belgique.html
    http://data.over-blog-kiwi.com/0/19/24/49/20150729/ob_a89c81_reaa-belg.pdf

    Marc De Ridder (membre du SCRE Belgique)

  • 17
    AdonHiram
    22 décembre 2019 à 11h08 / Répondre

    Le passé n’est pas un espace dans lequel on doit se complaire… il ne doit servir qu’à construire l’avenir !
    Et l’avenir ne se construira que sur la liberté initiatique des choix fondamentaux offerts tant aux maçons qu’aux Juridictions comme l’expose la Grand Charte adoptée par les 31 Juridictions qui l’ont ratifiés. Dans cette charte, l’espace écossais commun n’exclut pas l’espace initiatique communautaire et réciproquement, cette interculturalité fécondante nous mène à l’Universalisme…

  • 16
    Le Maître Secret
    22 décembre 2019 à 11h05 / Répondre

    Germain Hacquet n’est un « illustre inconnu » que pour ceux qui s’auto-décrètent « Écossais officiels » de manière péremptoire !

    La réalité montre bien que le Grand Collège des Rites du Grand Orient de France administre au sens historique et maçonnique du terme les deux Rites Écossais de Hauts Grades que sont le REAA en 33 degrés depuis 1804 et le Rite d’Heredom en 25 degrés, directement issu du Grand Consistoire des SPRS de Morin – 1764.

    Pour ceux qui doutent, je conseille la lecture de l’ouvrage de référence : https://librairie.rites-ecossais.fr/?view=product&lang=fr_FR&product_id=17

    Les Hauts Grades de REAA , SC en 33 degrés, ont été agrégés au GODF en 1804 avec de Grasse-Tilly, Hacquet ,Fontdeviolle, etc. Autant de noms que connaissent ceux que la question intéresse vraiment ! Et, pour mémoire, les Hauts Grades du Grand Consistoire des SPRS (Rite d’Heredom) ont été agrégés par le même concordat en 1804 avec Germain Hacquet.

    C’est pourquoi, malgré les querelles que quelques-uns voudraient susciter, le Grand Collège des Rites Écossais administre, en toute légitimité, le Suprême Conseil du 33e degré en France-1804 et le Rite Écossais d’Heredom-1764…

  • 14
    pierre noel
    21 décembre 2019 à 20h54 / Répondre

    Le SUPRÊME CONSEIL DU GRAND COLLÈGE du REAA POUR LA BELGIQUE (1817) ne me perturbe guère. Remarquable par le syncrétisme de son titre, il est inconnu dans le plat pays comme le fait remarquer Michel Hermand et sa mention témoigne sans plus d’une connaissance inexacte de la maçonnerie Belge..
    En revanche, l’OMEGA SUPREME COUNCIL OF NEW-YORK (1963) est interpellante. Quiconque connaît un peu la myriade d’ordres maçonniques, Grandes loges ou Suprêmes Conseils qualifiés de « Clandestine, Bogus, unrecognized » qui existent dans tous les états de l’Union (un bref survol d’internet suffit) ne sera pas surpris que l’un d’eux ait pu s’insinuer dans la correspondance du GODF. Presque tous n’ont ni passé, ni histoire, ni filiation, ni charte constitutive émanant d’une GL connue, même si une petite minorité peut se réclamer de Cerneau, de Foulhouze ou de Folger (donc d’antécédents parfaitement honorables). D’autres furent des escroqueries pures et simples dont certaines se terminèrent devant les tribunaux, beaucoup relèvent du désir de reconnaissance sociale.

  • 13
    Pierre Mollier
    21 décembre 2019 à 18h27 / Répondre

    C’est vrai que cette mode des dates depuis quelques années ne répond pas qu’à des préoccupations purement historiques ☺ Personnellement je pense que, quand on est une institution maçonnique ancienne – comme le Grand Orient de France, le Grand Collège des Rites… ou le Suprême Conseil de France – on n’a pas besoin d’afficher son pedigree… mais il en est ainsi et la Maçonnerie a aussi ses modes. L’intérêt de ces investigations a été de montrer que la séparation du Premier Suprême Conseil indivis ne répondait pas que – comme on l’avait souvent affirmé – à un problème de positionnement par rapport au GO (pour faire court ceux qui aimaient bien le GO et ceux qui, au contraire, voulaient échapper à son emprise). Il y avait aussi, sous-jacent – et cela avait été l’objet de crises internes en 1807 et 1813 – des conceptions différentes de l’écossisme. Les Frères à l’origine du Suprême Conseil de France appliquaient sans état d’âme la réforme en 33 degrés, Grandes Constitutions etc. de Charleston en 1801. Ceux qui suivirent Hacquet, dont beaucoup d’anciens de Saint-Domingue, étaient nostalgiques du Rite de Perfection qui était pour eux l’essentiel. D’ailleurs, jusqu’à la Deuxième République, le texte de référence du Grand Collège n’est pas les « Grandes Constitutions de 1786 »…. Mais les « Instituts, Statuts et Règlements de la Haute Maçonnerie », un texte typique du Rite de Perfection. Les hasards de l’histoire ont fait le Grand Collège des Rites dépositaire de ces particularités ancienne de l’écossisme et c’est un peu son devoir d’être le gardien de cette mémoire.

  • 12
    willermoz 59
    21 décembre 2019 à 18h17 / Répondre

    Un peu d’humour facile et léger (face à cette « passion » humaine trop humaine de l’institutionnalisation et de la filiation historique à qui mieux mieux, l’initiatique est-il « administrable » ? ) à quand une Juridiction pour le Suprême de Volaille (rien à voir avec le blason du REAA, l’aigle bicéphale n’est pas une vulgaire volaille, évidemment ) label rouge ou cordon bleu, de quoi déclencher des polémiques pour 200 ans au moins et des commentaires par milliers…. mais seul compte le goût pour les Machons !
    a walk on the wild side (parfois salutaire, santé et prospérité)

    • 15
      Lazare-lag
      21 décembre 2019 à 21h56 / Répondre

      Lorsque je lis « Suprême de Volaille », et qu’on souhaite l’associer à de l’humour, il me revient à l’esprit un dictionnaire qu’avait commis le journaliste Bruno Masure, célèbre en son temps pour avoir présenté le 20 Heures, sur la 2.
      « Suprême de Volaille », était la définition que Masure donnait pour Commissaire de Police.
      Et l’ironie de l’histoire est que, dans les années 1990, j’ai connu un commissaire de police qui n’avait pas hésité à afficher sur la porte de son bureau « Suprême de Volaille », en dessous de sesn nom, grade et qualité.
      Mais ceci nous éloigne fortement des considérations tournant autour du R.E.A.A.

  • 11
    ERGIEF
    21 décembre 2019 à 17h22 / Répondre

    Le Grand Collège des Rites du GODF est une chose. Le Suprême Conseil de France du REAA en est une autre. Afficher une date antérieure à 1804 est un moyen pour le GO d’affirmer sa prétendue « primauté » sur le paysage maçonnique français. La ficelle est un peu grosse.

  • 10
    Pierre Mollier
    21 décembre 2019 à 13h28 / Répondre

    Cher PROTOECOSSAIS… Il ne s’agit naturellement pas du REAA en 33 grades qui n’existe bien sûr pas avant 1801, mais du Rite de Perfection en 25 que le Grand Consistoire a tenu à maintenir en parallèle en 1815 (c’est expliqué clairement dans les circulaires de l’époque). C’est d’ailleurs pourquoi il ne s’agit pas stricto sensu d’un SC du REAA classique mais d’un Grand Collège qui, dès sa formation, gère deux rites, le REAA bien sûr, mais aussi à côté, et comme une sorte de conservatoire, le vieux Rite de Perfection. Tu trouveras tous les détails de l’affaire dans l’étude que j’ai publiée dans le numéro 18-19 de « L’Écossais » en 2015. Depuis quelques années, on connaît beaucoup mieux la survivance du Rite de Perfection en parallèle au REAA après 1801. Tu peux par exemple regarder les Actes de notre Colloque sur Germain Hacquet qui, sans doute nostalgique de l’« Ordre du Royal Secret » de sa jeunesse, a été l’âme de ce maintien.

  • 9
    Michel HERMAND
    21 décembre 2019 à 13h02 / Répondre

    Bonjour!
    Quelqu’un peut-il m’en dire plus sur le SUPRÊME CONSEIL DU GRAND COLLÈGE du REAA POUR LA BELGIQUE, qui n’est ni le SCRE (n°10 dans la liste, avec la date correcte de sa création), ni le SCpB historique (rue Royale), ni le SCB issu de la fusion de 2002, ni le SCpB composé de ceux qui n’ont pas accepté la fusion? Grand merci d’avance!

  • 8
    Zerbal
    21 décembre 2019 à 11h03 / Répondre

    Force est de constater, avec bonheur, le caractère universel de cette charte où , pour la première fois, il faut le souligner et le saluer, sont associés des Suprêmes Conseils masculins, féminins et mixtes aux côtés de l’Ordre Maçonnique Mixte International du Droit Humain.
    Magnifique Union des mixités qui concrétise la modernité de l’initiative et réaffirme que l’avenir des Suprêmes Conseils Ecossais se construira dans l’Union, avec nos Soeurs écossaises.

  • 3
    Pierre Mollier
    20 décembre 2019 à 19h07 / Répondre

    Non seulement ils sont très forts au GO… Mais surtout ils sont historiques !
    Après l’éclatement du Premier Suprême Conseil indivis (1804-1814), une partie de ses membres conduite par Germain Hacquet le réorganisèrent en lien avec le Grand Orient de France au sein du Grand Consistoire des Rites de France (devenu Grand Collège des Rites en 1826). Hacquet et ses amis avaient connu l’écossisme avant son développement en 33 grades à Charleston et demeuraient attachés à cet « Ordre du Royal Secret » qu’ils avaient pratiqué entre Saint-Domingue, la Jamaïque et la côte Est des Etats-Unis à la fin du XVIIIe siècle. Aussi, dès 1815, ils décidèrent de maintenir vivant le Rite de Perfection qu’ils appelaient « Rite Écossais d’Heredom ». Ils constituèrent, à côté des classiques « filières » au REAA, des ateliers au Rite Écossais d’Heredom, c’est-à-dire au Rite de Perfection. Le Grand Collège était donc, dès son origine, à la fois Suprême Conseil du REAA et Grand Consistoire de l’Ordre du Royal Secret, filiation que lui apportaient Hacquet et ses amis et qui descendait en ligne directe du Grand Consistoire établi par Étienne Morin en 1764. On a publié plusieurs études assez fouillées sur cet aspect étonnant du Grand Collège.

    • 5
      ANTARES
      21 décembre 2019 à 8h46 / Répondre

      Bonne mise au point historique……!

    • 7
      protoecossais
      21 décembre 2019 à 10h13 / Répondre

      Pierre, attention 1764 c’était la Grande Loge de France, je ne t’apprends rien. Fouillées oui et respectables, mais rien ne permet de dire à ce jour qu’il y eut un REAA en 33 degrés avant 1801. S’il est vrai que sur internet les gens (antares) sont vites impressionnés par deux ou trois références historiques emballées avec certitude, je préfère m’en remettre à tes excellentes publications fouillées. N’entrons pas dans la basse politique obédientielle et restons sur les faits historiques. Parler de 1764 pour le REAA c’est comme 1728…..ça occupe les apprentis.

  • 2
    templum
    20 décembre 2019 à 14h42 / Répondre

    en tout cas le mien n’y est pas!
    sinion j’aurai déclamé « mais que diable allait-il faire dans cette galère »?

    • 4
      JOHABEN
      20 décembre 2019 à 21h48 / Répondre

      Il est tout à fait normal que le tien n’y soit pas, c’est sans doute un suprême conseil atteint par la maladie du replis identitaire de préférence exclusivement masculin et tourné vers le seul 19° siècle 🙂

      • 6
        templum
        21 décembre 2019 à 9h48 / Répondre

        bon! ça continue!… « et s’il me plait à moi d’être battu? »

  • 1
    protoecossais
    20 décembre 2019 à 10h30 / Répondre

    Un suprême conseil du REAA créé en 1764 !!!! bigre ils sont très forts au GO

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