Les bastions francs-maçons cernés par Le Point

Publié par Jiri Pragman

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dimanche 17 janvier 2010
  • 17
    fluo
    21 janvier 2010 à 19h54 / Répondre

    @Placide: en tant que Franc-Maçon, je ne me pose pas la question, parce que je pense que ce sont ces journaleux qui font de la maçonnerie un tel spectacle. Bien entendu, nous défendons certaines valeurs , mais n’oublions pas que nous sommes aussi un microcosme de la société avec ses qualités et ses défauts. Et ces « enquêteurs » des marronniers ne retiendront que les errements d’une minorité d’entre nous. La déclaration de telle Obédience sur la laïcité, ou sur le droit des femmes, pour parler trivialement, ils s’en tamponnent. Ca ne fait pas vendre. Par contre, savoir s’il y a des frangins dans les plus hautes instances de la place Vendôme ou du Quai d’Orsay, tu pense que ça les titille.
    Personnellement, de leurs agitations, je m’en contrefiche, les gens penseront ce qu’ils veulent, les personnes de mon entourage à qui je me suis dévoilé ont bien compris ma démarche, c’est d’ailleurs peut-être là le travail de base du Franc-Maçon, une petite tâche de fourmi, chacun à son niveau.
    Et en tant que méridional d’origine, je pense qu’il faut laisser les Koch, Coignard et consort gesticuler: ils se fatigueront bien avant nous!!!

  • 16
    Placide
    21 janvier 2010 à 17h35 / Répondre

    En tant que Franc-maçon, la question que je me pose sérieusement, est ce que la Maçonnerie n’est que cela ? A savoir une accroche pour badauds, d’ailleurs ces rédacteurs en chef à force de tirer trop souvent sur la même ficelle vont finir par lasser.
    J’espère que la Franc-maçonnerie se réveille et qu’elle fasse parler d’elle autrement, par exemple qu’elle défende nos valeurs d’universalité qui sont bien malheureusement bafouées un peu partout dans le monde et de plus en plus chez nous en Europe.

  • 15
    erchinoald
    19 janvier 2010 à 21h45 / Répondre

    Et encore un dossier sur la Franc-maçonnerie. Décidément, les franc-maçons sont partout.

  • 14
    ombre
    19 janvier 2010 à 16h41 / Répondre

    Je me permets de répondre à la question de Flupke, en précisant que je ne suis,moi-même, pas FM, même si le cas m’interpelle, d’autant plus que j’apprécie la vertu du silence.

    De « Quel silence !!! » il s’agit?

    Eh bien d’un silence déontologique par exemple ! ! ! Qui est question de pudeur, et donc d’éthique, et de matière grise-plus métaphorique que proprement scientifique- et donc de professionnalisme.

    Une parole n’est presque jamais ni libre ni objective, de surcroit quand celle-ci est politicienne, idéologique, ou journalistique, et ce pour plusieurs considérations, principalement économiques dans ce cas..

    Et spéculations de journalistes contre spéculations de lecteurs, je dirai que dans cette histoire des « ils sont partout » pourrait également s’ajouter une hypothèse concernant le processus mental féminin de la Sophie..Une histoire de cœur qui aurait mal tourné ? Du psycho-affectif enfoui et submergé par du procédé pseudo-rationnel, flottant à la surface ?

    Mais que de spéculations hasardeuses..Évitons de s’attirer les foudres féministes qui, dit-on, sont partout, même qu’un bon nombre d’entre eux auraient adhéré à la fm, intégré le mouvement sioniste international et sont devenus journalistes par la même occasion.
    Moi je me tais..j’ai peur pour mon intégrité physique.

    Plus sérieusement, et au delà des Sophie et les FM qui sont partout. Le problème du journalisme,et de l’intellectualisme français de manière générale qui, en plus de subir le poids des intérêts économiques, se doit également d’exercer sous l’influence géniale de cette caractéristique culturelle proprement française, qu’est l’amour du Blabla.

    Le dilemme moral journalistique qui est « petit » à mon avis, réside dans le fait de se servir de la parole comme gagne-pain. Et qui, pour le besoin de la demande, et la peur de disparaitre devant la compétition, doit l’utiliser (beaucoup), continuellement, quitte à le faire vainement, voire faussement, tout en restant paradoxalement imbibé d’idéaux de triomphe de la vérité, de liberté d’expression,etc..

    NB: EMI,c’est long mais je m’en fous ! ! ! ; )

  • 13
    Flupke
    19 janvier 2010 à 0h38 / Répondre

    « si tu n’as rien à dire de plus fort que le silence, TAIS TOI !! »

    Quel silence !!!

  • 12
    exnihilis
    18 janvier 2010 à 21h16 / Répondre

    Mme Coignard arrive à faire du vent avec rien, sans savoir, sans connaitre. Elle en parle le plus, partout, et le pire c’est qu’on arriverait à la croire… pour peu qu’on ne réfléchisse pas.

    « si tu n’as rien à dire de plus fort que le silence, TAIS TOI !! »

  • 11
    Jophiel
    18 janvier 2010 à 17h27 / Répondre

    Ils ne cherchent même plus à écrire quelque chose de nouveau ou de vraiment fouillé… que du vide, que du déjà-dit… et les fameuses « médailles » comportent un certain nombre d’erreurs… la première qui apparait dans cet article du Point est décrite comme étant la croix des « Chevaliers de Malte », haut grade du Rite Écossais Rectifié…

    Ah ? Je ne savais pas qu’il existait pareil grade dans mon rite ! Nous autres, Maçons du Rectifié connaissons ce grade sous le nom de « CBCS », soit « Chevalier Bienfaisant de la Cité Sainte… », inutile de se demander s’ils vérifient leurs sources au Point !!

    Idem pour la 2ème double page où la première médaille est décrite comme étant celle du « Chevalier Écossais de Saint André ». Ah bon ? Il me semblait, encore une fois, qu’au Rectifié n’était Chevalier que les Frères étant au moins au grade de CBCS… A ce niveau (4ème grade du R.E.R., équivalent 18è au REAA), nous parlons de « Maître Écossais de Saint André »…

    Donc Le Point ne se donne même pas les moyens de vérifier leurs écrits, alors qu’en deux clics sur le net ils se seraient vite rendu compte que leurs Chevaliers de Malte de Saint André je ne sais trop quoi n’existent tout simplement pas…

    (…)

  • 10
    fluo
    18 janvier 2010 à 12h35 / Répondre

    @ Mika :
    Il s’agit d’un reportage pour la télé de 2005, sur le GO, on le trouve d’ailleurs en streaming sur le net. Si mes souvenirs sont bons, il y avait une première partie avec l’historique de la FM, et en seconde partie, le reportage sur un Frère dans une Loge de province…

  • 9
    Mika
    18 janvier 2010 à 11h59 / Répondre

    Cher Jiri,
    aucun mot sur le DVD ? Le reportage ?
    Qu’en est-il ?
    Amitiés.

  • 8
    HENRI
    18 janvier 2010 à 10h26 / Répondre

    La qualité de franc-maçon est obtenu le jour de l’initiation. Le grade de maitre ne confère rien de plus que ce qui est contenu dans l’initiation au premier degré. D’ailleurs si mes souvenirs sont bons, ce grade n’est apparu que bien longtemps aprés la création de la FM.

  • 7
    HENRI T
    18 janvier 2010 à 9h12 / Répondre

    Pour ce qui est de ce magazine je me demande si nous ne sommes pas les meilleurs clients pour les marronniers, celui ci n’apporte pourtant rien de nouveau mis à part les erreurs et un cocktail avec tout et n’importe quoi.
    Il faut dire aux lecteurs que les Maçons eux mêmes ne se retrouvent pas dans ces articles ou « il parait que » etc!!
    Il faut dire cependant que quelques hebdo ont proposées des articles de qualité mais qu’ils ne sont pas signés par Madame Coignard.

  • 6
    Jiri Pragman
    18 janvier 2010 à 9h05 / Répondre

    Un Apprenti est un Maçon. Il ne faut pas confondre avec lesdroits et devoirs du Maçon en Loge qui diffèrent selon le Grade (droit d’intervention, droit de vote).

  • 5
    HENRI T
    18 janvier 2010 à 9h04 / Répondre

    On est Maçon le jour de son Initiation ! (?), Apprenti ! mais Maçon ,après, le reste est affaire de Degrés avec Droits et Devoirs.

  • 4
    Roland
    18 janvier 2010 à 8h51 / Répondre

    Madame Sophie Coignard auteur d’un livre il y a quelques mois, ouvrage bien peu passionnant poursuit sans relâche son petit fond de commerce. Elle fait la promotion de son propre livre dans les colonnes de l’hebdomadaire qui l’emploie… Elle tente de devenir l’incontournable journaliste de la Franc-Maçonnerie. De marronniers en marronniers, elle fait son « business ». Pour autant, lorsqu’elle se fait l’écho des « remous » de la province de la GLNF du Val de Loire, elle utilise un artifice journalistique qui ne trompe personne. Elle se fait l’écho sous la forme « il paraît que… », « d’aucuns s’autorisent à penser… » et autres formules vaseuses qui permettent de dire sans risque quelques bêtises, à l’aide de quelques protections juridiques qui permettent de diffuser des informations non contrôlées sans le moindre le risque d’encourir des poursuites. C’est à la fois léger et peu sérieux, mais sans doute que marronnier oblige…
    Roland

  • 3
    CLETOM
    18 janvier 2010 à 7h28 / Répondre

    Le maçon n’est véritablement maçon avec tout ses droits et devoirs que quand il est maitre ……… non ???? ou bien je me trompe ?????? donc il n’y a pas que sylvie Coignard qu’il faut affranchir Jiry aussi …………(…)

  • 2
    Apprenti
    17 janvier 2010 à 22h35 / Répondre

    Erreur aussi dans la définition de vitirol que le maçon est censé voir avant son passage sous le bandeau…

  • 1
    Fluo
    17 janvier 2010 à 18h11 / Répondre

    «Ils sont partout, ces Francs-Maçons»….. Sophie Coignard aussi, d’ailleurs!….

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