Les Etats-Unis d’Europe : utopie d’hier, réalité de demain ?

Publié par Géplu
Dans Divers

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vendredi 3 septembre 2021
  • 10
    Peter Bu
    8 septembre 2021 à 13h48 / Répondre

    A part Prague et Brno, il y a des loges dans sept villes tchèques de province. Deux autres loges de province ont été mises en sommeil.
    En Slovaquie, à part Bratislava il y a une loge à Kosice et un triangle à Bardejov (deux villes dans l’Est du pays). Sauf erreur, il y a aussi un triangle à Zilina, dans le Nord-Est de la Slovaquie.
    Des Hongrois du Grand Orient de leur pays cherchent la possibilité de créer une loge dans le Sud de la Slovaquie où se trouve beaucoup d’Hongrois.

  • 6
    Peter Bu
    6 septembre 2021 à 16h09 / Répondre

    Je reçois les statistiques actuelles de la franc-maçonnerie dans l’ex-Tchécoslovaquie. En réalité, il y a environ 850 frères et soeurs sur le territoire tchèque, 120 en Slovaquie.

    • 7
      lazare-lag
      6 septembre 2021 à 20h59 / Répondre

      Merci Peter pour ces chiffres actualisés.
      Est-ce indiscret de te demander si tu disposes d’une répartition géographique?
      Est-ce faire fausse route que d’imaginer une implantation essentiellement urbaine?
      Et que mis à par Prague et Brno pour la Tchéquie et Bratislava pour la Slovaquie, le présence maçonnique devrait être plutôt dispersée?

      • 9
        Pierre Noël
        7 septembre 2021 à 12h34 / Répondre

        Un de nos amis, présents sur ce site où il intervient épisodiquement (toujours judicieusement), est particulièrement bien placé pour répondre à cette question !
        Prague fut au XVIII° siècle un haut-lieu de la fm, en particulier de la Stricte Observance dont Dresde fut un temps le centre. La maçonnerie praguoise dépendait de sa direction. (Dresde et Prague sont distants d’à peine une centaine de km).
        J’ai été surpris, lord d’un déplacement maçonnique à Prague d’apprendre que les relations entre les deux villes (à ce sujet du moins) étaient au point mort.

  • 3
    Peter Bu
    3 septembre 2021 à 18h33 / Répondre

    Après la chute du Mur de Berlin, plusieurs obédiences occidentales, en particulier le GODF et la GLDF, ont aidé les Tchèques et Slovaques a renouer avec la franc-maçonnerie. Surtout les Tchèques, en Slovaquie je me suis assez vite retrouvé à oeuvrer seul sur ce chantier, initié par le GODF.
    Puis de 2006 à 2008, des obédiences du courant anglais ont convaincu une partie des maçons Tchèques de passer de leur côté du fossé séparant la franc-maçonnerie mondiale en deux grands courants. Cela a provoqué des discussions, des polémiques, des scissions et, finalement, la palette des obédiences tchèques s’est enrichie de la Grande Loge de la République Tchèque.
    En Slovaquie, la seule loge slovaque existant en ce moment, Humanizmus, a dû s’associer avec deux loges constituées par le personnel des entreprises occidentales travaillant à Bratislava, pour créer la Grande Loge de la Slovaquie.
    Ces deux nouvelles obédiences ont été rapidement « reconnues » par UGLE.
    Acuellement, il y a environ 500 frères et soeurs sur le territoire tchèque, entre 100 et 150 en Slovaquie où, en plus de la GLS il y a une loge du Droit humain.

  • 2
    Pierre Noël
    3 septembre 2021 à 18h15 / Répondre

    Pourquoi ne pas regarder sur Wikipedia avant de poser des questions faussement naïves ? Par exemple, l’Islande (The Icelandic Order of Freemasons, en islandais Frímúrarareglan á Íslandi) (abbr.: FaI), a plus de 3500 membres et une quinzaine de loges.

    • 4
      Brumaire
      5 septembre 2021 à 17h02 / Répondre

      Pierre, la GL Islandaise n’est pas la seule dans ce pays (qui ne fait pas partie de l’UE) la Fédération islandaise du DH (36 ans d’existence , et qui a donné un GMO entre 1997 et 2002) est très active.

      • 5
        Pierre Noël
        5 septembre 2021 à 20h48 / Répondre

        Njördur Njardvik (né en 1936) est bien connu !
        Je reconnais (à ma grande honte) ne jamais penser au DH quand je pense « fm » !!

        J’ai pourtant fréquenté ses loges plus d’une fois, il y a bien longtemps (ma tante en faisait partie), mais je n’ai pas été séduit par l’atmosphère, trop engagée à mon gout.

    • 8
      lazare-lag
      6 septembre 2021 à 21h37 / Répondre

      @ Pierre Noël (2):
      Pourquoi ne pas regarder sur Wikipedia avant de poser des questions?
      Plusieurs réponses:
      1/ Justement pour pouvoir arriver à cela: qu’un belge, qu’un slovaque d’origine, qu’une française participent au débat.
      Et peut-être que bien d’autres frères et soeurs de bien d’autres nationalités s’exprimeront par la suite.
      La question est européenne, n’est-ce pas plaisant d’échanger ainsi?
      Que plusieurs apportent des réponses?
      Ici sur Hiram.be? Qui est également Hiram.eu?
      2/ Je crois pourtant te l’avoir déjà indiqué à l’occasion d’autres sujets, si je me contente isolément d’aller me renseigner auprès de Wikipedia ou auprès d’autres sources d’information et de culture, et que je garde ces informations pour moi, où est le partage? Ou est l’échange? Où est la pédagogie? Surtout entre maçons?
      3/ Si tu regardes mes questions posées dans le message n°1, je touche à tout, à nombre de pays, j’ouvre le spectre des possibilités de réponse. Peut ensuite s’y engouffrer qui le souhaite.
      Entre questions relatives aux états membres de l’U.E. et ceux qui n’y sont pas, en recherche personnelle cela m’aurait pris pas mal de temps, de manière immédiate.
      N’est-ce pas mieux de susciter le dialogue. Notre forum n’a-t-il pas ce but?
      4/ Enfin, et ceci n’est pas une excuse, mais il se trouve que je suis encore en activité professionnelle, mes temps de loisirs ne sont donc pas extensibles et je peux également avoir d’autres préoccupations, voire d’autres priorités, en plus des maçonniques et des professionnelles. Je n’ai donc pas le loisir, immédiat en tout cas, de me précipiter dans une recherche, surtout pour n’assouvir qu’égoïstement ma curiosité, à te lire on dirait que c’est ce que tu me suggères
      Donc, pour toutes ces raisons, mes questions ne sont pas forcément incongrues.

      Quant au fait que mes questions puissent être « faussement naïves », je te laisse développer sur cet aspect, je ne comprends absolument pas cette question.
      Pourquoi mes questions seraient fausses?
      Pourquoi seraient-elles naïves?
      Et pourquoi seraient-elle, rencontre des deux cymbales, faussement naïves?
      S’agissant des tiennes, à part le fait qu’elles sont interrogatives, pourquoi les qualifierai-je d’un quelconque attribut?
      Est-ce cet aspect formel qui doit être le principal dans un échange? Qui plus est un échange maçonnique?
      Personnellement ce n’est pas ainsi que je vois les choses.
      Mais je peux me tromper.
      Le doute n’est-il pas une vertu maçonnique?

  • 1
    lazare-lag
    3 septembre 2021 à 10h54 / Répondre

    Je ne vais pas ici évoquer l’impérieuse nécessité à continuer d’être européen sur le plan profane et politique.
    Certes, maintes choses se doivent d’être améliorées à ce niveau, on ne conduit pas un bateau à à 27 comme on pouvait le faire à beaucoup moins, à 12 par exemple.
    Mais surtout on l’améliore de l’intérieur, on ne file pas à l’anglaise, si je puis le dire ainsi.
    Ce qui m’intéresse davantage, en tant que franc-maçon, c’est ce qu’il advient de l’Europe maçonnique.
    Par exemple, sur 27 états membres, quelle est la situation maçonnique dans chacun des états de l’Union Européenne? Quelle implantation, quelles obédiences, combien de frères et de soeurs?
    Et quelles alliances et initiatives à proprement parler à la fois européennes et maçonniques?
    La question se pose, notamment, avec les anciens pays dits de l’Est.
    Où en sont-ils maintenant? Certains d’entre eux, je pense par exemple à la Tchéquie, avait une Franc-Maçonnerie active avant d’être successivement laminée par les occupations nazie et soviétique.
    Et l’Europe ce n’est pas que les 27 de l’Union. Ici il est assez souvent question de la Suisse, par exemple.
    Qu’en est-il également des pays européens tels l’Islande ou la Norvège?
    A ce propos, qu’en est-il d’une association comme l’Association Maçonnique Européenne (A.M.E.)?
    Il me semble me souvenir que lorsque le GODF a souhaité se retirer du CLIPSAS c’était pour favoriser une implication tournée vers l’Europe. On aimerait en savoir davantage de ce côté-là.

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