L’Initiation en danger

Publié par Jiri Pragman
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dimanche 24 juin 2012
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  • 8
    Michel De Meyer
    23 janvier 2013 à 16h09 / Répondre

    J’ai eu en mains quelques vieux numéros de « L’Initiation ». Les articles intéressants sont trop peu nombreux, chose que l’on reprochera par ailleurs aussi aux publications maçonniques. Mais ce qui ne me plaît absolument pas, c’est le culte des ancêtres qui s’y pratique. Les Maîtres Passés sont une allusion aux vrais initiés, cependant que l’hagiographie de personnes contemporaines et apparemment communes, même pimentées de nobles sentiments, ne m’apprend rien d’utile. Bon vent quand même, mais revoyez la voilure en fonctio du but déclaré, svp!

  • 7
    Iacobus
    2 juillet 2012 à 8h24 / Répondre

    Bonjour,
    je connais bien cette revue et j’ai eu l’occasion de rencontrer pendant 2 ans son rédacteur en chef. Cette revue a eu le mérite d’exister et elle a pu apporter un éclairage sur la Maçonnerie ou le Martinisme de PAPUS, se présentant comme gérant sa succession éditoriale depuis ses 20 dernières années, mais les esprits ont évolué.
    Il est important de prendre en compte et ceci explique peut être cela, que le Martinisme n’est pas de la Maçonnerie comme cette revue pouvait le laisser penser et entrainer des esprits cherchant dans l’erreur.
    Non, la Maçonnerie a son histoire parfois très controversée, remplie de source différente, alchimique, mystique, confessionnelle, social, politique etc. et les obédiences françaises en sont la coloration.
    Alors que le Martinisme de Louis Claude de Saint Martin et non celui de quelques ordres martinistes qui se sont présentés comme étant les héritiers par défaut, n’est pas maçonnique mais profondément chrétien dans le patrimoine primitif du christianisme et sans doctrine sinon la voie cardiaque explorée dans le temple invisible de chaque honnête cherchant.
    Alors peut être je dis bien peut être, cette revue l’Initiation a terminé son cycle et intéresse de moins en moins le monde initié, car ces éditions ne sont plus en phase avec les attentes de ces abonnés qui la quitte progressivement.
    Quand à dire que l’Initiation est en danger, si on parle de la revue je veux bien le croire car les revues naissent et disparaissent, c’est le cycle normal, mais par contre le symbole du titre « L’initiation est en danger » ne peut s’en satisfaire, l’initiation est perpétuelle et intemporelle et tant que des hommes s’inscriront dans sa pensée spirituelle, elle ne peut disparaitre car elle est immortelle. En Christ Aimant. Iacobus

  • 6
    Jiri Pragman
    28 juin 2012 à 12h46 / Répondre

    Mon problème est que je n’ai pas eu cette revue en main. Je n’ai donc pas pu constater cette variété d’approche. L’évocation du martinisme, de Papus sont bien en italiques. J’ai repris les propos mêmes des éditeurs. Peut-être devraient-ils se présenter autrement (mais sans se « dissimuler » pour autant) pour séduire un public plus large que ces cercles particuliers.

  • 5
    Jean-Albert CLERGUE
    28 juin 2012 à 12h13 / Répondre

    Cher Jiri,
    Merci pour cette fraternelle relance en faveur d’une vénérable revue !!!
    Oui, elle fût papusienne d’origine. Elle connut une résurgence martiniste avec Philippe Encausse (de 1953 à 1984) et elle en a tenté un prolongement à travers les vicissitudes de ce mouvement de pensée…
    Mais qu’en est-il ces derniers temps ? Qu’en reste-t-il aujourd’hui ?
    Je collabore à L’Initiation depuis plusieurs années. A l’occasion d’une douzaine d’articles, représentant environ 250 à 300 pages de textes, je ne me suis jamais senti ni martiniste, ni en milieu du même nom !!! Quelques rappels de « grands anciens » de temps à autres, mais c’est tout.
    Aucun de mes « papiers » ne traite d’un martinisme, auquel je ne connais pas grand chose, et jamais je ne fus sollicité pour pratiquer cette voie. Par contre, j’ai tenté d’ouvrir, par des articles de 25 à 32 pages, à des horizons qui nous sont familiers et pour une lecture intermédiaire entre le trop de généralités et le trop d’érudition.
    Ainsi de « Henri Corbin franc-maçon » au « Retable d’Issenheim » (selon une vision initiatique) et en passant par les Ordres des Antonins ou de St-Lazare; où, dans les derniers numéros, « La quête d’un esprit de chevalerie spirituelle, universelle et mystique », je crois que l’éventail est largement ouvert…
    Ce serait donc très agréable de te voir légèrement réviser une appréciation sur la « coloration » actuelle de cette très ancienne revue. Comme un corps humain, elle évolue dans le temps et alors que plus d’un siècle la sépare de sa naissance.
    Une relance des abonnements doit aussi passer par une « révision » des attentes du lectorat, un réajustement en fonction des soucis du temps. L’approche citée, d’une chevalerie universelle et mystique, doit se prolonger sur les deux prochaines parutions. S’écartant largement des néotemplarismes divers, comme des chevaleries maçonniques d’apparat, c’est une quête des constantes de l’état chevaleresque, à travers les temps et les latitudes les plus variées.
    De ces constats, peut-on, aujourd’hui, retirer des éléments d’une éthique personnelle et intime ?
    Voilà ce que ce serait, éventuellement, un axe de recherches dans le cadre d’une revue L’Initiation prolongée…
    Qu’en penses-tu ???
    (…)
    Jean-Albert Clergue-Vila

    • 9
      philippe
      18 septembre 2015 à 15h35 / Répondre

      bonjour, je souhaiterai vous rencontrer, merci de votre reponse

  • 4
    Jiri Pragman
    25 juin 2012 à 22h40 / Répondre

    Je pense déjà avoir beaucoup écrit sur les dérives « politico-sociétales ». Je ne vais pas le répéter dans chaque article.

    Pour ceux qui concerne les enquêtes du commissaire Marcas, je ne vois pas le lien. Pour ce qui me concerne, je fais de la veille et de l’information, pas de la promotion. Je ne pratique pas du copié-collé des communiqués des éditeurs (je laisse cela à d’autres) mais je rédige des critiques. Tous les livres que je reçois ont donc droit non à une « promotion » mais à une critique personnelle. Certaines, je ne suis pas en mesure de tous les traiter dans la mesure. Qu’on me pardonne :
    1. je lis les livres avant de les critiquer
    2. je ne suis ni chômeur ni retraité ni rentier et ne dispose donc que d’un temps limité.

  • 3
    patrick37
    25 juin 2012 à 21h39 / Répondre

    OK, cher Jiri, même si je ne partage pas toutes tes options, elles me paraissent tout-à-fait raisonnables.

    Je n’ai pas eu du tout les mêmes expériences que toi:

    pour le 1: OK

    pour le 2: dérives occultistes, certes, mais il y a aussi les dérives « sociétales »; revenir au « Mot de maçon » me parait difficile, de nos jours! Toi-même, tu as fait mention de l’histoire de Marcas, (Le Rituel de l’Ombre en BD): je considère celà comme une dérive, d’autres ouvrages mériteraient une promotion.

    Pour le 3: j’ai eu la chance de rencontrer de nombreux martinistes et aucun faisant du prosélytisme…mais celà pourrait venir (:-)

    Fraternellement.

  • 2
    Jiri Pragman
    25 juin 2012 à 19h36 / Répondre

    Très simple :

    • je ne consacre normalement pas d’articles aux diverses croyances ou aux para-maçonneries
    • je pense que la Franc-Maçonnerie continentale a été obscurcie par toute une série de dérives occultistes françaises
    • le prosélytisme de certains Maçons martinistes m’agace
  • 1
    patrick37
    25 juin 2012 à 18h36 / Répondre

    Bonjour, cher Jiri,

    Quelles sont les raison qui motivent l’exclusion des articles relatifs au Martinisme?

    (…)

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