Pas de pédés en Loge?

Publié par Jiri Pragman
Dans Divers

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vendredi 23 décembre 2011
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  • 10
    floare.albastra
    23 décembre 2011 à 22h39 / Répondre

    @ Gabaon « La multi ani ! »

  • 9
    Flupke
    23 décembre 2011 à 19h00 / Répondre

    à Fred

    je disais « Le mot « T »radition est un mot bien utile, il permet des exclusions à géométrie très variable … »

    si le comportement négatif vis à vis de l’homosexualité est un préjugé social … il n’y a pas de raison de penser que d’autres comportements ne soient pas de la même eau.
    C’est un peu ce que je voulais signifier mais sans porter de jugement en suggérant que des comportements ont pu être induits par des nécessités d’un moment précis du développement de l’Humanité.
    En FM et dans le monde profane ils deviennent … « sataniques » quand ils persistent alors que les nécessités ont disparu.

  • 8
    perhouan
    23 décembre 2011 à 18h34 / Répondre

    je croies que notre ami devrai mieux se renseigner et ne pas faire d’erreur d’anachronisme sur la pédérastie des philosophes grecs…. et sur le cadre sociale dans laquelle elle s’inscrivait;
    quant à la notion « d’adaptation » de la maçonnerie à son « époque », cela mériterait une refléxion approfondie sur la nature et de la FM et de la société, des sociétées et des FM, mais pour l’heure depuis le XVIII et le XIX ,rituels , mythe et légendes, pratiques en loge, ne montrent pas de substantielle adaptation à la société ! peut être le GADLU pour certains et encore.

  • 7
    fred
    23 décembre 2011 à 16h18 / Répondre

    l’évolution des moeurs et les préjugés se retrouvent à mon avis dans les traditions sociales (avec unpetit « t ») et les usages du siècle dans le quel on vit sa maçonnerie en revanche la « T »radition se réfère plutôt à un état d’esprit et à un niveau de conscience face à la démarche que l’on entreprend; cette « T »radition est aussi le langage qui permet aux initiés de toute les époques de se comprendre au fil des siècles.
    c’est pourquoi la maçonnerie peut s’adapter à son époque sans perdre son âme.
    en ce qui concerne l’homosexualité il s’agit de mon point de vue de préjugés sociaux qui varient selon les âges et les lieux (la pédérastie des philosophes grecs, les interdits bibliques, les mignons d’Henri II, la condanation d’Oscar Wilde,ect..).

  • 6
    Flupke
    23 décembre 2011 à 15h01 / Répondre

    Le mot « T »radition est un mot bien utile, il permet des exclusions à géométrie très variable … on pourrait lister ici les groupes humains qui ont été exclus par la FM ou par certaines branches de la FM, voire qui le restent.

    La « T »radition est probablement essentiellement fondée sur des landmarks, des bornes qui en général étaient nécessitées par les sociétés des époques successives qu’a connu l’humanité.
    Les sociétés où les moyennes d’âge des hommes et des femmes étaient limitées à 30/40 ans, beaucoup plus basse pour les femmes (morts en couches) …. devaient avoir des règles permettant leur survie.
    Elles ne pouvaient pas permettre aux femmes d’avoir d’autres activités (sauf rares exceptions que l’on retrouve dans les mythologies) que l’élevage des enfants.
    Ces sociétés voyaient une mortalité des enfants énorme … elles ne pouvaient pas permettre à des activités sexuelles de se développer et qui n’auraient pas eu pour but la procréation, l’homosexualité ne pouvait sans doute qu’être marginale …et seulement « devoirs » remplis en quelque sorte.
    La longévité est devenue telle qu’il reste à vivre aux hommes et aux femmes de nombreuses années après le départ des enfants, « devoir » rempli vis à vis de l’espèce.
    Ces nécessités de survie de l’espèce ont donc déclinées mais les interdits ont perduré instrumentalisés religieusement et sont restés vivaces de ci de là jusqu’à nos jours.
    Pour en revenir au sujet les interdits restent plus « féroces » dans le cadre des relations sociales hommes/femmes que hommes/hommes.

    En FM est-on conscient, après avoir écarté les paroles substituées, de ce que l’on nomme « T »radition » ?

    De quoi parle-t-on, de « T »radition radicale, celle que je viens d’évoquer, de « T »radition rêvée par des littéraires ou par certains auteurs ésotériques vénérés par leurs fidèles francs-maçons etc. … cela n’est jamais précisé sérieusement par ceux qui utilisent ce mot.

    Je porte un regard naturaliste sur ce sujet mais il faut bien de temps à autre repasser ses idées à l’épreuve de la Terre « en passant par un souterrain étroit ». On n’en a jamais fini avec notre premier contact avec la FM ou si vous voulez qui veut faire l’ange fait la bête.

  • 5
    Fox7ans
    23 décembre 2011 à 12h14 / Répondre

    Et dire que certains s’honorent de respecter scrupuleusement la « tradition »…

  • 4
    Bleu-Ciel
    23 décembre 2011 à 11h24 / Répondre

    Et…en plus…..dans le premier manuscrit maçonnique « le Regius » de 1390,il est fait mention de « soeurs et de frères »!!!!

  • 3
    Gabaon
    23 décembre 2011 à 11h17 / Répondre

    Et puis, il y a l’exemple de Cambaceres…

    @ floare albastra : Sarbatori fericite !

  • 2
    maat-ieu
    23 décembre 2011 à 10h50 / Répondre

    Eh oui, il y avait ça ainsi que d’autres choses dans la même veine. La Maçonnerie fait corps avec la société dans laquelle elle est. Et elle a heureusement évolué en même temps. Elle à parfois été moteur de changement.
    Aujourd’hui je ne sais pas si la maçonnerie est « homophile, gay-friendly » ou autres mots qui créé les communautés. Je ne demande pas ses opinions ni avec qui il couche aux soeurs et frères qui travaillent auprès de moi.

  • 1
    floare.albastra
    23 décembre 2011 à 10h44 / Répondre

    Sans commentaire…

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