Critica Massonica italien

Encore un plagiat maçonnique…

Publié par Géplu
Dans Divers

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lundi 1 juillet 2019
  • 29
    kluck
    11 août 2019 à 8h40 / Répondre

    Bonjour
    Avez-vous eu contact entre vous finalement?

  • 24
    Désap.
    12 juillet 2019 à 16h21 / Répondre

    Question au frère FRANCESCO ANGIONI :
    Connaissais-tu la revue et le blog Critica Masonica avant de créer ta revue Critica Massonica ?

    • 25
      Francesco Angioni
      13 juillet 2019 à 19h29 / Répondre

      Nous avons créé le magazine Critica Massonica n° 0-2017 cette année-là et nous ne connaissions pas la précieuse revue Bacot « Critica Masonica ». Le magazine est bien connu en France mais pas dans le monde entier.
      En 2018 nous l’avons appris, mais nous avons pensé que puisque les titres sont différents et l’approche éditoriale « très différente », notre titre en langue italienne et l’autre titre en française, peut être en langue « gallo-latina », dont je ne sais pas de quelle heure, à condition qu’il soit présent dans un document ancien. En latin, évidemment, le mot « massoneria » n’existe pas. L’italiano « muratore » (maçon) a les deux formes latines: « caementarius » ou « structor ». Il y avait des guildes de maçonnerie, mais aucune d’entre elles n’était appelée « masonicus » o « massonicus ».
      Si nous avions voulu utiliser un titre latin, nous aurions dû écrire « Critica Caementaria » ou « Critica Structoria ».
      Dans le latin du Vatican d’aujourd’hui, est utilisé sur les documents officiels le mot latin « massonica » avec deux s. Poursuivant dans cette  » disquisition  » linguistique (utile seulement pour les quelques francs-maçons qui s’intéressent à la philologie maçonnique), en italien le mot « massoneria – massone » est une italianisation abrégée du mot français « franc-maçonnerie – franc-maçon ». La traduction italienne correcte de l’anglais (free masonry) et historiquement consécutive de français est « Libera Muratoria », que de nombreux Ordres maçonniques italiens préfèrent adopter.
      De plus, à ce moment-là, nous ne pensions pas que la similitude était « cruciale » et encore moins notre intention était de faire une opération absurde de faible concurrence, précisément en raison de la très différente approche rédactionnelle.
      Si quelqu’un dans le monde anglophone avait publié un magazine avec le titre « Masonic Critique » quelqu’un en France serait-il en colère et prétendrait que personne dans le monde ne pourrait adopter un titre similaire ?
      Un salut fraternel et chaleureux.

      • 26
        Désap.
        13 juillet 2019 à 20h18 / Répondre

        25 – Et tu as préféré « Critica Massonica » qui est une acceptation et qui donc n’a aucune réelle signification, au sublime latin « Critica Caementaria » ou « Critica Structoria » ??
        Quel dommage !
        Critica Caementaria, c’est magnifique mon frère, elogium Collegia fabrorum.

        • 27
          Francesco Angioni
          14 juillet 2019 à 0h45 / Répondre

          Cher Désap,
          Fabrorum en latin se trouve dans certains documents au sens général d’artisan, mais en latin il était utilisé spécifiquement pour « forgeron » ou « menuisier » (« Nonne iste est faber, filius Mariae ? ») Rien à voir avec « maçon ». Caementaria a un son en italien qui ressemble à celui d’un cimetière ou qui fait référence au béton (it. cemento). Une critique du cimetière ou du béton vous ferait rire, Structoria, toujours en italien, est semblable à « istruttoria » ( enquête ou instruction ), c’est-à-dire l’acte du juge qui instruit un procès. Mais aujourd’hui, avec le déclin général effrayant de l’éducation, qui connaît ces différences entre le latin et l’italien ou d’autres langues d’origine latine (français, espagnol, portugais) ? Mason en anglais vient du français maçon, comme vous le savez bien certains mots anglais viennent du français qui a occupé l’Angleterre pendant longtemps. C’est peut-être pour cette raison que nous préférons utiliser une latinisation moderne des mots dans notre propre langue, par exemple masonica plutôt que maçonnique ou masonic.
          Comme vous pouvez le voir, l’utilisation du latin est une chose complexe. Cependant, rien ne nous empêche de penser que « masonica » est peut-être apparu dans un document français ou anglais du 17e ou 18e siècle, mais ce n’est pas du latin classique.
          La philologie maçonnique est un domaine d’étude intéressant et pas facile, comme en témoignent les nombreuses et très mauvaises traductions des Constitutions d’Anderson.
          Avec une estime fraternelle

  • 20
    Francesco Angioni
    12 juillet 2019 à 0h21 / Répondre

    Cher Frère Géplu,
    en supposant qu’un numéro spécial de « Critica Massonica » consacré à cette affaire sera publié, j’aimerais avoir un contact personnel avec toi pour clarifier certains aspects de cette affaire, et à cet égard je voudrais vous envoyer, avant de le publier, le texte de ce court numéro spécial.
    J’imagine que dans une atmosphère de Fraternité Maçonnique, comme l’exige le frère Jean-Pierre Bacot, nous pouvons clarifier, expliquer et décider quoi faire.
    Toujours dans une atmosphère de Fraternité Maçonnique, je vous demande de me communiquer une adresse email (votre adresse personnelle ou celle du Blog, que je ne retrouve pas).
    Je serais vraiment désolé si je ne recevais pas ta réponse dans un court laps de temps.
    Sinceramente e Fraternamente
    Francesco Angioni

    • 22
      GépluAdministrateur
      12 juillet 2019 à 10h55 / Répondre

      Surprenante intervention « frère » Francesco. Mon adresse est pourtant facile à trouver sur l’onglet « à propos » du blog : geplu@hiram.be
      Tu as eu moins de mal à y trouver et reproduire sans mon autorisation ni celle d’Alain Bernheim l’interview réalisée en décembre 2014 La « régularité maçonnique » selon Alain Bernheim.
      Mais toi tu as au moins eu la décence de sourcer ton emprunt. Il y a quelques années j’ai du sévir contre un autre « frère » qui lui aussi pompait sans vergogne et régulièrement les articles d’hiram.be sans avoir lui la décence de dire d’où il tirait ses infos… Et quand je l’ai sommé de cesser ces pratiques douteuses, il s’est posé en victime. Le pauvre. 🙂
      Quant à Jean-Pierre Bacot, je ne peux parler pour lui.

      • 23
        Francesco Angioni
        12 juillet 2019 à 13h34 / Répondre

        Merci beaucoup. Je vous répondrai par e-mail.
        Je vous souhaite un joyeux travail maçonnique.
        Avec une estime sincère
        Francesco

  • 16
    Sedetiam
    3 juillet 2019 à 12h10 / Répondre

    Et voilà que vous confondez désormais les intentions du clergé (ces hommes prétendus bergers qui voudraient que leurs moutons soient dévots, à défaut, d’être détruits) de celles des religions (l’esprit des textes dans leur relecture – relegere – et de ce qu’il tendent à relier – religare – une humanité) que le bipède cité précédemment interprète à sa manière pour l’imposer à l’autre, en s’abstenant lui-même, et le plus souvent, de la rectitude de la règle.
    L’on trouve cela dans tous les temples, depuis ceux des origines jusqu’à ceux maçonniques. Là, pour le coup, c’est bien l’unique chose qui mériterait de ne pas être transmise, copiée et recopiée…

    • 17
      Désap.
      3 juillet 2019 à 15h48 / Répondre

      16 – je ne fais aucune confusion, le texte biblique n’a pas attendu son clergé, il condamne les traditions antiques, l’initiation, pour idolâtrie, ceci pour son système symbolique et la représentation multiple (nommé « les dieux) du Principe par toutes considéré unique.
      C’est d’ailleurs la même méthode de condamnation de la maçonnerie aujourd’hui, une révolte des non-initiés qui diabolisent ce qu’ils ne peuvent comprendre ; quant aux Hébreux, rien d’autre qu’égyptiens, leurs chefs par nécessité de faire peuple, créèrent un système accessible au plus grand nombre, par principe dégénéré.
      Les Juifs ont dévasté Canaan, terre égyptienne, de tous ses temples et représentations.
      Les chrétiens ont dévasté la Grèce et brûlé tous les rouleaux et codex qu’ils ont trouvé, sauf les quelques uns qui paraissaient d’importance à leurs chefs sans que cela ne les empêchât de les réécrire en ce qu’ils gênaient le dogme.
      Le paroxysme est atteint pas l’Islam qui interdit toute image, ses adeptes ont détruit tout les visages des sculptures et bas-relief qui leur tombaient sous la main ; étonnamment ils n’ont pas détruit les momies, la trouille superstitieuse sans doute.
      Conscient du désastre, Juifs et Chrétiens d’aujourd’hui tentent en effet de minimiser la réalité, cependant les faits sont là et dénoncés depuis la Renaissance, notamment par les scientifiques de l’époque (et pour cause !), du reste pour lesquels « athée » ne signifiait pas « nier l’existence d’un principe transcendant », mais ne pas croire aux approximations et erreurs bibliques, et pas seulement à celles de ses clercs.

      • 18
        Aigle59
        3 juillet 2019 à 21h17 / Répondre

        Quels sont les références écrites ou autres pour la dévastation des chrétiens? Juste pour comprendre

        • 19
          Désap.
          4 juillet 2019 à 0h28 / Répondre

          Tapez sur votre moteur de recherche préféré « chrétiens et Grèce antique », vous aurez accès à nombre d’occurrences universitaires et vous comprendrez.

      • 28
        Francesco Angioni
        14 juillet 2019 à 1h29 / Répondre

        Je ne comprends pas vraiment comment un commentaire irrité de Géplu a conduit à des sujets d’histoire ou de phénoménologie des religions. La grande chose à propos de ces commentaires est qu’ils sont typiquement maçonniques, ils expriment le besoin de « spéculer », de tout discuter ; une idée en tire une autre, avec les cerises. Bien sûr, nous devons toujours être très prudent, un franc-maçon doit respecter toute religion et donc utiliser les mots et les tons avec prudence, les Règles Maçonniques Anciennes interdisent de parler de politique et de religion (bien que les Grandes Loges ont fait beaucoup de politique et de conflits internes religions depuis les premières années de la franc-maçonnerie moderne). En passant, avez-vous déjà pensé que les deux mots français « Grand Lodge » sont un plagiat des mots anglais « Grand Lodge » ou mieux encore, que les Grandes Loges du monde sont un plagiat des loges et de la Grand Lodge anglaise ? Les Grandes Loges françaises n’existaient pas avant la Grand Lodge anglaise. La Franc-maçonnerie mondiale a plagié, imité, copié et contrefait les mots, titres, structures organisationnelles, etc. etc. de la Franc-maçonnerie anglaise sans demander aucune autorisation et a souvent inventé de fausses autorisations. Qui sait pourquoi j’ai eu l’idée ces jours-ci d’écrire un article intitulé « La Franc-maçonnerie un grand plagiat historique », à partir de l’imitation et contrefaçon des corporations médiévales pour arriver au plagiat maçonnique allemand de De Ramsay sur l’origine templière de la Franc-maçonnerie et ainsi de suite, plagiant degrés, rites, structures organisationnelles, idées et documents.

  • 15
    Désap.
    3 juillet 2019 à 11h58 / Répondre

    Constitutions 1723 :
    LE CHANT des APPRENTIS Enregistrés
    Par notre FRÈRE
    Mr. MATTHEW BIRKHEAD, défunt
    Pour être chanté quand toutes les Affaires sérieuses sont terminées, et avec la Permission du MAÎTRE.
    Extrait :
    Strophe V
    L’Orgueil de l’antiquité
    Nous l’avons de notre côté,
    Et cela fait des Hommes juste à leur Place :
    Il n’y a rien que ce qui est bon
    Pour être compris
    D’un Franc et un Accepté MAÇON.

  • 14
    ERGIEF
    3 juillet 2019 à 8h07 / Répondre

    La pensée du sage qui écrit sur les murs du Temple n’efface pas celle de celui qui l’y a précédé, elle la complète et l’enrichir. Ptahotep.

  • 12
    pierre noel
    2 juillet 2019 à 18h18 / Répondre

    Cet incident regrettable nous permet de relire l’interview d’Alain Bernheim par Géplu, publié le 10 décembre 2014 sur Hiram.be.
    Pour Bernheim, l’année 2014 était « fondamentale » parce que susceptible d’amener la réunification sinon de la franc-maçonnerie française, du moins « des loges qui travaillent d’une manière qui correspond aux règles qui sont appliquées dans la plupart des loges dans le monde ». Ce qui, ajoutait-il, « lui apparaîtrait souhaitable, c’est que … les loges qui travaillent de cette manière-là puissent s’unir ».
    Il faisait allusion à ce projet de Confédération unissant plusieurs obédiences françaises (pas toutes !) qui agita le monde maçonnique français pendant plusieurs années. On sait ce qu’il en advint : le projet n’aboutit pas et une obédience nouvelle vint s’ajouter à celles existantes.
    Cinq ans plus tard, la situation n’a guère changé d’après ce qu’on peut en savoir. Les arguments avancés par Bernheim sont toujours d’actualité (ils méritent d’être relus sans œillère). La réalité maçonnique française l’est aussi.
    On peut le regretter. On ne peut que le constater … sans commentaire, opprobre, condamnation ou invective déplacée (dans nos milieux).

  • 7
    lazare-lag
    2 juillet 2019 à 7h19 / Répondre

    Qu’il soit dit également – et ce sans ironie aucune – qu’on ne plagie ou qu’on ne contrefait que les marques de renom et à la notoriété clairement établie.
    D’une certaine façon, certes de manière totalement involontaire de la part des plagiaires, c’est une forme de reconnaissance de la valeur et de la qualité du travail de Critica Masonica.
    Revue et site auxquels nous souhaitons longue vie, et dont nous reconnaissons les qualités sans avoir à se vautrer dans la fange d’un pâle copiste.
    Ces mafieux italiens contribuent à donc à faire la publicité en faveur du modèle unique de Critica Masonica.
    Comme pour le Canada Dry, la contrefaçon n’aura jamais aussi bon goût que l’original.
    Approvisionnons-nous donc à la bonne source, pas à une autre frelatée.

    • 8
      Sedetiam
      2 juillet 2019 à 12h00 / Répondre

      C’est assez amusant comme commentaire puisque tout ce qui vient après l’origine des traditions et rituels, les cultures empreintes de la mise en exergue des cultes, tout n’est que plagiat sans cesse amélioré ou perverti, dont les archétypes ne sont qu’un seul et même héros, soit-il aux mille et un visages comme le soulignait Campbell. La Franc-maçonnerie découle tout autant de ces phénomènes d’emprunts jusqu’à s’inventer parfois des liens de filiation pourtant inexistants, quand la Genèse elle-même est une pâle copie péjorative des mythes sumériens antérieurs. La critique est donc facile: seul l’art est difficile: soit-il royal…

      • 10
        Désap.
        2 juillet 2019 à 13h15 / Répondre

        8 – C’est faux à la fois pour les traditions antiques, la religion et la franc-maçonnerie.
        Faux pour les traditions antiques dont le fondement et les valeurs qui résultent du principe universel d’initiation sont unitaires, seul le caractère extérieur, l’expression physique, de chacune diffère de sorte d’imprimer une identité territoriale et un style architectural ; il n’y a pas d’exemple de guerres basées sur des principes spirituels dans l’antiquité.
        Faux pour la religion parce que celle-ci s’établit dans l’antiquité contre et de principe inverse à l’initiation. Si elle reprend les mythes sumériens et égyptiens c’est pour mieux instaurer des dogmes et démontrer l’erreur d’interprétation des traditions antérieures qu’elle se donne pour objectif d’abattre et par là-même invente le « concept » de guerre spirituelle et plus tard de religions.
        Faux pour la Franc-maçonnerie dont le principe est l’initiation et non la religion.

        • 11
          Sedetiam
          2 juillet 2019 à 16h03 / Répondre

          L’on ne vous parle pas du but, ni du chemin, mais des reprises (à son propre compte) : il faudrait éviter de confondre l’outil de l’ouvrage.

          • 13
            Désap.
            2 juillet 2019 à 20h04 / Répondre

            11 – But et chemin sont identiques entre traditions antiques et maçonnerie puisqu’il s’agit d’initiation ; la maçonnerie ne prétendant rien s’approprier mais poursuivre, il n’y a aucun plagiat puisqu’il s’agit de la même chose.
            La religion ne plagie rien puisqu’elle s’approprie partiellement, dévoie à l’inverse et détruit l’antique ; le plagiat c’est lorsque l’on s’approprie à l’identique les mêmes causes qui produisent les mêmes effets.
            Le seul plagiat se trouve entre les religions.

  • 4
    Moe Aty
    1 juillet 2019 à 16h01 / Répondre

    Pourquoi se plaindre des uns des autres alors qu’ils sont tous actifs dans le domaine du plagiat et de la contrefaçon ? Les différents groupes constitués après que Salomon fils du roi David, le bâtisseur du temps de la Bible, ait commencé à bâtir, en construisant selon le modèle à lui donné par Dieu. Qui des nouveaux bâtisseurs ont révélé que l’origine des deux colonnes du temple à savoir JAKIN ET BOAZ, ou encore le fils de la veuve HURAM. tous ces ingrédients sont bibliques ?

    • 5
      Alain Jean
      1 juillet 2019 à 17h01 / Répondre

      « après que Salomon fils du roi David, le bâtisseur du temps de la Bible, ait commencé à bâtir, en construisant selon le modèle à lui donné par Dieu. »
      .
      Mazette ! Et c’est qui qui les avait refilés à ton copain le nommé Dieu, ces plans ?
      Personne ? Y avait personne avant dieu ? Pourtant il est bien sorti de quelque part ce dieu. Pour moi, c’est de l’imagination des hommes. Une crédulité exploitée depuis des millénaires par les castes successives de « prêtres » ou de « religieux » de toutes « confessions » (quel joli mot), qui sont les premiers et seuls vrais marchands du temple…
      .
      Et puis qui c’est qui t’as dit que c’était comme ça que ça c’était passé ? Ah ! La Bible ! Ce serait donc un livre d’Histoire plutôt que d’histoires ?…
      Faut vraiment être naïf pour prendre toutes ces légendes au premier degré. 🙂

    • 9
      Sedetiam
      2 juillet 2019 à 12h04 / Répondre

      Comme stipulé ci-dessus, pour prêter l’emprunt des Francs-maçons à la Torah, vous négligez le propre plagiat par le judaïsme des mythes sumériens et autres épopées antérieures…
      C’est trop facile.

  • 1
    lazare-lag
    1 juillet 2019 à 3h10 / Répondre

    Plagiat ou contrefaçon?
    En tout cas ni élégant, ni fraternel…
    D’ailleurs sont-ils vraiment frères sont qui sont à l’origine de ça?

    • 2
      Patrice
      1 juillet 2019 à 10h23 / Répondre

      Attention qu’eux ne déposent le nom Ils en seraient bien capables !!

      • 21
        Francesco Angioni
        12 juillet 2019 à 0h38 / Répondre

        Cher frère Patrice

        t’inquiète pas pour ça. Nous n’avons pas l’intention d’enregistrer le titre de notre magazine.
        Nous considérons cette solution, en ce qui concerne la « Critica Masonica », comme une véritable inconduite, non pas dans le sens « profane » mais dans le sens maçonnique.
        Profanément les coûts d’enregistrement seraient élevés et nous publions gratuitement, nous ne payons pas de royalty à nos collaborateurs ; nous ne sommes que trois honnêtes libres rédacteurs et sans subvention. Mais si l’on nous demandait une compensation financière pour une publication incorrecte, je ferais personnellement un effort et je paierais pour cela. C’est ma morale maçonnique.

    • 3
      le Flup
      1 juillet 2019 à 13h58 / Répondre

      Il serait en effet intéressant de connaître le « background » des éditeurs : ils se présentent TELLEMENT « officiels » qu’on peut commencer à en douter…

      Le vieux Régulier

    • 6
      GépluAdministrateur
      1 juillet 2019 à 17h09 / Répondre

      Oui, tu as raison Lazarre.
      Le procédé s’apparente plus à de la contrefaçon qu’à du plagiat. 🙂

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