GLNF. La campagne est (vraiment) lancée!

Publié par Jiri Pragman
Dans Divers

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mardi 20 mars 2012
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  • 1
    Frédéric
    21 mars 2012 à 18h50 / Répondre

    Mail reçu ce soir.

    Pour info, je ne suis plus memebre de la GLNF depuis 5 ou 6 ans….
    Que fait la CNIL

    Des commentateurs plus ou moins bien intentionnés prétendent que je
    porte un faux nez, que je compte drainer des voix dans le seul but d’en
    faire profiter François Stifani au moment opportun…

    Je démens formellement cette supposition.

    Certes, mon amitié fraternelle pour François Stifani est entière.
    J’assume loyalement, depuis un an, les fonctions de Grand Secrétaire
    national qu’il m’a confiées. Je l’ai toujours considéré comme le Grand
    Maître légitime de la GLNF, régulièrement désigné et installé. Ma tâche
    n’a pas été de tout repos, dans le désordre ambiant et sous les
    accusations les plus injustifiées. Je l’ai accomplie sans
    arrière-pensées ni restrictions, parce que c’était mon devoir.

    Si j’avais eu l’une de ces ambitions qu’on voit tant fleurir, il aurait
    été plus simple de rallier l’opposition en temps utile et de faire
    assaut de promesses démagogiques. Les exemples ne manquent pas… J’ai
    préféré aller au bout de mon engagement. Non, je n‘ai jamais rêvé aux
    fonctions de Grand Maître en me regardant dans la glace, le matin. Mais
    les circonstances commandent souvent. Elles ont déjà franchi les limites
    de la profanation et sont à celles du chaos. Chacun doit prendre ses
    responsabilités.

    La mienne est de me porter candidat pour être élu, pour rassembler ce
    qui est épars et rendre à la GLNF sa dignité perdue. Une telle
    perspective ne se conçoit pas dans la compromission et les
    arrière-pensées. Si François Stifani avait une chance d’être l’homme de
    la situation, au soir du 30 mars, je me trouverais toujours à ses côtés.
    Mais nous savons tous, hélas, qu’il n’en est rien et que son élection
    est impossible, tant les rancœurs injustes se sont accumulées sur son
    nom. Elle ne ferait, au surplus, que prolonger le désordre.

    Ma résolution a été difficile à prendre. Elle est entière. Cette
    élection, voulue par la justice profane et sa représentante, totalement
    en marge de nos us et coutumes, est cependant la seule issue à la crise
    que nous traversons. Au soir du 30 mars, nous aurons un nouveau Grand
    Maître. Je ne me déroberai à mon engagement par aucune combinaison. Ce
    serait indigne de nos traditions maçonniques.

    Je te prie de croire, mon Bien Aimé Frère, à l’expression de mes
    sentiments fraternels.

    Bertrand-HEYRAUD
    http://www.bertrand-heyraud.com

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