Je planche donc je suis

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

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vendredi 27 décembre 2013
  • 5
    W.Schaw
    20 janvier 2014 à 23h38 / Répondre

    Cet argumentaire lapidaire vient en effet confirmer notre divergence de vision.

  • 4
    FRUNZ33
    20 janvier 2014 à 14h11 / Répondre

    Right.
    « Vanités, fadaises, platitude, ânonnements, incapables » ne font pas partie de la vision que j’ai de la Franc-Maçonnerie!

  • 3
    W.Schaw
    20 janvier 2014 à 13h35 / Répondre

    @FRUNZ33 : Pas de sentiments en la matière mais des questionnements et des constats. Drôles d’objectifs et curieuse vision étroite de la maçonnerie, de son histoire et de ses traditions. Ce qui se conçoit bien chez un maçon ne s’énoncerait-il plus clairement ? N’échangerait-t-on plus en écoutant les autres au lieu de lire leur production? Les contributions orales des frères ne nous ouvrent-elles donc pas d’autres pistes de réflexion ? Savons-nous encore écouter, puis entendre notre frère et notre prochain au sens large ? Le rituel dit avec le cœur au lieu d’être trop souvent ânonné (même à livre ouvert !!) ne remplit-il plus sa fonction ? On ne cesse de voir des officiers incapables de remplir leur office ou de conduire une cérémonie dès lors qu’ils ne peuvent plus s’accrocher à leurs sacro-saints livrets. L’art de la mémoire, qui constitue un des fondements de la maçonnerie spéculative, a été largement perdu de vue, tout en restant heureusement encore vivace en de nombreux autres lieux. Le savoir ou les savoirs ne sauraient en effet constituer ni un sujet ni un but de la franc- maçonnerie. Ou alors nous évoluons décidément sur des planètes bien différentes et en ce sens précis, la maçonnerie ne saurait donc pas universelle.

  • 2
    FRUNZ33
    20 janvier 2014 à 8h50 / Répondre

    @ Schaw : Drôle de commentaire qu témoigne de curieux sentiments… La planche n’a qu’un triple but possible : Eclaircir ses propres idées en s’obligeant à les coucher par écrit ; Partager ; Eventuellement acquérir des pistes supplémentaires lors d’augmentations.

  • 1
    W.Schaw
    31 décembre 2013 à 16h55 / Répondre

    Ah la planche!!! Quel superbe exercice de vanité , rendu de plus en plus aisé par le recours aux moteurs de recherche comme substitut à une lecture bien digérée ou à un rituel bien vécu . Combien de planches à passer et à repasser avant d’atteindre la Connaissance ?
    Avec toujours cette sempiternelle fadaise: à bonne planche bon maçon. Faut-il intellectualiser sa maçonnerie pour devenir meilleur et mieux aimer son frère et son prochain? Comme disait fort justement Jérôme Colin dans Trois Points et 400 Coups: « Le terme planche, d’origine opérative évidente, continue de s’employer de nos jours en hommage à la fréquente platitude du contenu des exposés ».

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